LEGAL...




LEGAL est finalement annoncé pour le 10 SEPTEMBRE 2014 chez CASTERMAN.



LEGAL se passe fin 2018, début 2019, donc de quelle PROHIBITION parlons-nous ? Vous avez remarqué cette jolie fumée marron sur l'image du dessus ? Rajoutez-y une musique de CYPRESS HILL et vous serez dans l'ambiance "INSANE IN THE BRAIN".





LEGAL parle de la légalisation du Cannabis. Oui, de la drogue.

Dans un futur proche en région Parisienne et plus particulièrement NANTERRE (92) et LA DÉFENSE. Je sais ce que vous pensez...

Vous allez me dire pourquoi la La Défense et Nanterre, il ne se passe jamais rien de bien en banlieue.

LEGAL n'est pas une BD qui veut vous poussez à fumer ou vous retirer le joint du bec. Ce que vous faites avec votre vie après les cours ou à la sortie du boulot, ne nous regarde que vous.

Le sujet lui est absolument fascinant et il dépasse de loin, l'ado qui va scorer une barette de teuch pour déstresser avant de faire ses devoirs...
... car il concerne tout le monde. Oui, même ceux qui ne fument pas de drogues.

 On a déjà entendu les arguments de ceux qui sont pour une politique plus répressive contre les consommateurs de cannabis (c'est a dire 1 million de personnes au quotidien avec une pointe à plus de 10 millions occasionnels, avec dedans un bon 70% de mineurs)


On a vu ce que donnait la politique du tout répressif...
 Alors il serait temps de trouver autre chose.

 


Les études scientifiques sur le sujet (ne croyez pas qu'on a fait un livre sur le sujet sans faire nos devoirs...) ont prouvés que le cannabis est autant nocif que le TABAC ou l'ALCOOL. Voire parfois moins...
l'exemple qui revient le plus souvent est celui de la CONDUITE.
          • Conduite sous cannabis : risque d'accident X 3.
          • Conduite sous alcool : risque d'accident X 8.
          • Conduite sous cannabis + alcool : risque d'accident X 15.
           • Conduite en envoyant un sms : risque d'accident X 20...

Déjà commençons par arrêter de raconter des conneries. Trouvez-moi une personne qui n'a jamais AU MOINS UNE FOIS, gouter, fumer, humer ou même comme BILL CLINTON "fumer mais pas avaler"... Bonne chance.


Ensuite le CANNABIS concerne autant les djeuns qui veulent des clopes pour rire encore plus bêtement que d'habitude...


... que leur parent qui pour la bonne moitié (né dans les années '70) rigolent bêtement quand ils entendent parler de l'appel du 18 JUIN du Général DeGAULLE... Je sais c'est marrant ça fait 2 homophonies approximatives dans la même phrase.

Comment parler aux gamins ou interdire une drogue que beaucoup de parents ont utilisé... voire utilisent encore. Là, le spectre des personnes concernés par le sujet, c'est gravement élargi. Mais malheureusement pour vous LEGAL n'est pas un GUIDE pour AIDER LES PARENTS à gérer la consommation de stupéfiants de leur enfant...
 

... mais plutôt un POLAR SOCIAL bien sympa à lire pendant que vos enfants sortent en boite et se bourrent la gueule "à la cool".

 LEGAL est un livre divertissant et sans concession. On y montre le ballet médiatique et politiques qui va déclencher la légalisation et ses conséquences.
 On y voit les errances d'une police nationale condamnée à faire du chiffre à défaut d'une strétégie à long terme qui n'a qu'un seul effet remplir les prisons.


N'ayez pas d'inquiétude, LEGAL est aussi un POLAR bien ficelé qui va vous tenir en haleine entre les fusillades, les explosions...


des dealers tarés et du suspens.

 Nous sommes certains que le cannabis sera légalisé un jour en France, car il l'est déjà dans de nombreux pays, et ils n'ont pas sombrés dans la guerre civile.


Mais ce n'est pas le soit-disantcoté FUN du shit qui nous fait penser cela...

... non, et nous n'occultons pas non plus les problèmes sanitaires et d'addiction liés à une consommation excessive de cette plante.


 Nous pensons que c'est la manne financière, estimé dans sa fourchette basse à 1 MILLIARD d'euros par an... c'est cette argument qui fera la différence dans un futur proche.

 Voilà c'est tout pour aujourd'hui, je reviendrais avec d'autres infos very soon.




LISEZ LEGAL
Une histoire de AMAZING AMEZIANE & CÉDRIC GOUVERNEUR.





RAMBO - the LOVE STORY -

RAMBO - le premier sang ou la perte de l'innocence en temps de guerre -

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DEVENIR UN VRAI MÂLE - SPECIAL BONUS DVD -
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Vous ne pouvez pas savoir à quel point je suis heureux de pouvoir réhabiliter ce chef d'œuvre du cinéma mondial qu'est RAMBO, The First Blood (Le Premier Sang" en langue de chez nous), sachant toutes les villénies que ce film a dû subir au cours de ces 3 dernières décennies, mainte fois injustement villipendé, son contenu raillé, son message ignoré. Aujourd'hui je le crie haut et fort :

INT. NUIT - THE ROOM STUDIO
- AMAZING MOI -
-"RAMBO est le LOVE STORY dans années 80".


Vous savez LOVE STORY, Ryan O'Neal, Ali Mc Graw amoureux et POUF, elle a un cancer. C'est dur, hein. Je sais maintenant à part dans LES FEUX DE L'AMOUR "le coup du cancer, leur amour est impossible" plus personne n'ose le faire. Mais avant on pouvait. Si, si je vous jure, il y avait même des films qui basaient leur intrigue sur le fait que le personnage principal n'avait JAMAIS dit à personne qu'il avait un jumeau... ou une jumelle (dans LES RIVIÈRE POURPRES de KASSOVITZ ou NOLAN... hum...). C'est un temps que les moins de 40 ans ne pouvaient pas connaître... Bon, revenons nos RAMBO.


Je crois avoir parfaitement saisi la quintessence du récit, son implication dans le contexte socio-culturel de l'époque reaganienne, sa pluralité déconstructiviste et l'éblouissante clarté de son sous-texte, parfaitement contenu dans ce dialogue délivré avec une justesse et une interprétation toutes en retenues (surtout dans la scène de la prison) :
- Rambo John J. -

—" C'est pas moi qui ai versé le premier sang, Colonel ! "

Mis à part l'évidente redondance du titre, ce dialogue résume tout le film, tout est dit et pourtant je l'ai regardé quand même en entier. Mais arrêtons-nous davantage .

Le premier sang est à l'évidence un passage à l'acte, une allusion à peine dissimulée de la perte de l'innocence, ainsi l'entrée dans le monde des adultes par le chemin étroit du sexe. La perte de la virginité qui propulse l'individu dans le monde des adultes où s'entrechoque des "je t'aime" avec "alors t'as joui?", les "descendez du véhicule" avec "mon chéri, je suis en retard...de 3 semaines", les "vous êtes priés de combler votre découvert ou bien..." avec les " pourquoi t'as laissé traîner les chocolax, le chien va redécorer l'appart en marron, allons au cinéma et passons la nuit chez ta mère, on pourra toujours nettoyer demain". Bref la vraie vie d'adulte, quoi...


C'est cette phrase que prononce RAMBO JOHN J., celle qui commence par l'utilisation de la négation, "Ce n'est pas MOI" où Il révèle que non... "Ce n'est pas LUI qui a commencé".
Rambo John J. proclame alors son statut de victime et l'on sent bien là toute la détresse d'un homme qui a dû balancer des tonnes de bombes sur des paysans qui eux non plus n'avaient pas versé le premier sang (tient le titre encore, troublant non ?) bien qu'ils eurent déjà mis une vilaine correction aux Français en nettoyant le fond de la cuvette à Tiens-bien-le-fou. Et en mettrons aussi une après aux Chinois parce qu'ils étaient chaud bouillant...

RAMBO JOHN J. aurait voulu être Viet, c'est évident. C'est un homme qui est parti se battre pour l'honneur de la Mère Patrie, et quand il est revenu, il ne l'a pas reconnu avec ses faux seins, ses gigolos en short qui font de la muscu dans le salon et ses fuseaux moulants qui arrivait à peine à contenir son gros cul. RAMBO JOHN J. c'est la perte de l'innocence, il croit être un héros, il pilotait des engins de plusieurs milliers de dollars mais une fois de retour au pays, on lui crache dessus et il n'est même pas capable de trouver un emploi de gardien de parking. Alors RAMBO JOHN J. devient un HIPPIE, il se laisse pousser les cheveux et il marche sur les routes comme CAINE dans KUN FU, en espérant revoir l'être qu'il aime. RAMBO JOHN J. refuse la société de consommation et ses excès, lui il ne possède que ce qu'il est capable de faire tenir dans son sac et il avance serein. C'est d'ailleurs à cause de cette attitude de jean-foutre qu'il va se faire serrer par le gros con de shérif du coin, qui affirme que comme à NICE, les vagabonds sont indésirables dans la ville. Le héros devient un paria, un être abject qu'il faut soumettre par la force pour faire valoir sa masculinité et si possible avec des objets contondants et phalliques. DAVID CARUSO sera particulièrement dégoûté par le comportement de ses collègues bas de plafond, qu'il montera à la ville pour ne plus travailler qu'avec des experts.


RAMBO JOHN J. est devenu l'ennemi de cette Amérique reagienne où tout ceux qui refusent la norme capitaliste sont suspects. RAMBO JOHN J. est devenu un Viet aux yeux de tous. Et c'est comme un VIET qu'il va se défendre, retournant la nature contre ses agresseurs, usant de l'arme blanche et se cachant sous la terre dans des tunnels. Dans les autres opus de sa trilogie, il traîne toujours autour du VIETNAM et il semble particulièrement sensible aux charmes exotiques des jeunes fleurs asiatiques aux yeux verts. Cela nous amène à penser que Rambo John J. n'a pas dû avoir beaucoup de relations avec ces beautés locales car des Vietnamiennes aux yeux verts, il n'y en a pas beaucoup. LO PAN avait le même problème avant de tomber sur la copine de JACK BURTON.


RAMBO JOHN J. n'est pas parti à la guerre de son propre chef, il a été engagé et formé par le Colonel TRAUTMAN. JOHNNY, comme l'appelle affectueusement Trupman (le colonel), dira et je cite : — " AVOIR VERSÉ LE SANG".







Notre JOHNNY a en effet un langage assez imagé, ce qui laisse penser que ses lectures ne se sont pas bornées aux seuls modes d'emploi de l'hélicoptère HUEY ZXT, au manuel d'instruction du lance roquette BMG 105 ou au livre de recettes pour cuisiner les animaux à fourrures en milieu tropical et autres trucs qui feraient vomir un sanglier. Si l'on analyse les dialogues du plus haut gradé présent à l'écran et je dis bien plus haut gradé pas le gradé qui monte le plus haut car RAMBO JOHN J. en fait voler deux ou trois dans le film à plusieurs mètres du sol, seuls les dialogues du COLONEL TRAUTMAN ont une teneur informative en ce qui concerne JOHNNY. Le Colonel Trupman semble avoir tous les bons dialogues dans ce film de fiction qui n'a rien à envier à un documentaire (car nous y voyons de façon assez réaliste -sans trucage, sans 3D- une poursuite en moto, un accident d'hélico, une mine qui explose et une ville qui goûte aux joies d'être jumelée avec Kaboul).

Nous apprenons donc que RAMBO JOHN J. et le COLONEL "ont été dans la même merde". Oh douloureux aveux pour nos chastes oreilles. Allusion homosexuelle évidente presque insoutenable dans un film comme on les aime, c'est à dire sans gonzesse qui font chier parce qu'elles ont mal à la tête, que leurs ongles sont fragiles ou qu'elles trouvent TOUJOURS que le sanglier cru est pas assez cuit.

 
Si l'on en juge par la répartie du Colonel dans des dialogues comme " Ce que vous appelez l'enfer, il appelle ça chez lui" on est certain qu'ils ont fait les 400 coups ensemble. Le Colonel occupant la place du mentor, du Yoda  (-> Yoda qui malgré ses 900 ans était encore capable de sortir un : - " Un grand guerrier ? Personne par la guerre ne devient grand". Ah, le petit con de Luke. Là, Yoda, il lui avait bien claqué sa gueule).

Là encore, nous imaginons le COLONEL TRAUTMAN initié RAMBO JOHN J. à des pratiques sexuelles innommables que l'église réprouve même au sein du mariage. Mais qui est toléré dans ceux qui se tiennent dans les mairies maintenant. D'ailleurs lors de leur seule conversation radiophonique RAMBO JOHN J. n'avoue-t-il pas avoir été au Fort Bragg afin d'y rejoindre les bras chauds et musclés de son supérieur (sic!!) et ami.

Cela est plus qu'un homme ne peut le supporter mais il nous reste alors à révéler la VRAIE nature du film. C'est une histoire d'AMOUR. Les amants ont été séparé par les sursauts de l'Histoire qui a une fois de plus a balayé l'amour qui unissait des corps pleins de vigueur rompu aux caprices du terrain et de la moiteur tropicale.



Au début du film, RAMBO JOHN J. est seul, le coeur brisé, il cherche tant bien que mal de soulager son amertume en rendant visite à ses derniers copains de régiment mais ils sont tous morts. Dans un ultime geste auto-destructeur, il s'enfonce dans l'Amérique profonde et dans une spirale de vagabondage routier, le tout sous une musique triste qui nous laisse entrevoir la plaie ouverte qu'est devenu le coeur déchiré de notre amant meurtri.



RAMBO touche le fond quand arrêté, maltraité et déshabillé de force, il est obligé de se laver devant des inconnus en uniformes pas comme lui. Des bribes de son passé reviennent à la surface, tout d'abord la douleur de se raser pour la première fois et de se tromper de sens avec la lame, puis toutes ses mains d'hommes sur son corps. Traumatismes enfouis. Les officiers de police zélés veulent couper la belle chevelure ondoyante de RAMBO JOHN J., celle-là même qui avait tant plus au Colonel.
Tel SAMSON dans un ultime effort, il redevient le surhomme qu'il était en compagnie de son unique amour et il leur claque le donut rapidos. Et il s'enfuit à moto pour une équipée sauvage dans les bois, les banjos en moins, c'est une délivrance.



RAMBO JOHN J. sait que s'il fout assez de bordel, cela remontera peut-être aux oreilles de TRAUTMAN si celui-ci est devant sa TV. Et oui, tout cela pour ça, le bruit, le sang, le feu. Tout cela est peut être excessif mais en amour comme à la guerre, il n'y a pas de règle. Et il faut pas sous-estimé l'ardeur d'un Marines amoureux.


À la fin du film, RAMBO JOHN J. en larmes, est enfin réunit avec le COLONEL, il dépose les armes à ses pieds et ouvre son âme dans une tirade sublime qui arracherait une larme au plus sauvage légionnaire kosovar. RAMBO JOHN J. peut enfin avoir ce qu'il a tant désiré, ne fût-ce qu'un instant - marcher la tête haute aux cotés de son colonel d'amour. Et ils s'en vont sur une musique émouvante, sous les flashs crépitants des médias qui savent reconnaître une bonne histoire. Du bruit, du sang, du feu et du sexe.







Mais leur histoire ne s'arrête pas là. Et pour cela nous pouvons remercier JAMES CAMERON pour avoir écrit le scénario de RAMBO, The First Blood part two.

 
JOHNNY est en prison pour avoir exploser façon puzzle toutes une ville de rednecks et comme tout le monde le sait les relations passionnelles ne résistent pas aux longues distances. Le Colonel ne cesse de vouloir renouer des liens licencieux avec RAMBO JOHN J. mais celui-ci refuse le temps de de son incarcération, soit 78 ans. Le Colonel Kurtz le savait, il connaissait le sort de ceux qui mettent un uniforme et les affinitées qui unissent les hommes à la guerre,  "THE HORROR…THE HORROR". Une nouvelle fois, le colonel viendra sortir RAMBO JOHNNY de prison pour qu'il retourne gagner la guerre du Viet Nam à lui tout seul et après le torse gonflé d'orgueil, il le rejoindra dans la moiteur de la nuit. RAMBO JOHN J. est tout de suite bardé de tonnes de matériel technologiques modernes, mais aucun ne marche. RAMBO JOHN J. sera fi de toute cela et se finira à la main comme d'hab. Il  butera des tonnes de Russkofs, explosera des Viets à la pelle avec un arc à flèches explosives, jouera à PREDATOR dans la boue et tentera sa chance avec une jolie jeune asiatique qui a décidé de trahir son pays pour que des méchants ricains vendent du COCA COLA© partout dans le monde.

Elle payera sa trahison vêtue de sa plus belle robe, elle qui se voyait déjà grosse dans la banlieue de DENVER (avant que RAMBO JOHN J. puisse lui coller un bisou) et les méchants ricains auront une vilaine fessée déculottée quand RAMBO JOHN J. va leur redécorer leur base façon feng shui au M60. À la fin, le COLONEL et RAMBO JOHN J. s'en iront sans dire un mot, sans oser se toucher car les liens les plus étroits peuvent parfois de distendre, et c'est  ensemble qu'ils iront vers un repos du guerrier bien mérité pour JOHNNY.



Mais la preuve ultime de leur idylle ne sera finalement révélée que dans le troisième opus de la série (LE PREMIER SANG - TROISIÈME PARTIE) quand le Colonel TRAUTMAN se laissera capturer par des enfoirés de communistes rouges pour obliger RAMBO JOHN J. à quitter son monastère bouddhiste pour autre chose que de jouer à "l'ULTIMATE FIGHTING" asian edition et à vendre des colliers de fleurs au marché. RAMBO JOHN J. apprendra la nouvelle de la capture du COLONEL et il ira le délivrer aussi sec, telle une demoiselle en detresse à la robe camouflage. Nous observons ici un changement notable dans les habitudes concubines de ce couple illégitime.


"Un jour… mon prince viendra… un jour… le camp explosera…". Cette fois-ci, HERE COMES JOHNNY, c'est RAMBO JOHN J. qui viendra délivrer le COLONEL et du même coup aider les Talibans à mettre les ROUGES dehors. Car avant, c'est toujours RAMBO JOHN J. qui se foutait dans la merde comme un jeune chien fou et c'est le COLONEL qui venait sauver son JOHNNY aux yeux humides et à la peau tendue et tannée luisante de sueur.

 
Pendant des années, des cinéastes ont tenté de nous faire comprendre l'absurdité de la guerre, son horreur et sa douleur, mais seul RAMBO avait mis le doigt dessus en appuyant assez fort pour qu'on en ait les larmes aux yeux. RAMBO est l'un des film les plus anti-militariste qu'il m'ait été donné de voir et gràce à lui, je suis fier d'être P3. Je suis fier que mes amis soient P3.

Pour finir, je dirais:
FAÎTES L'AMOUR, PAS LA GUERRE
MAIS PAS AVEC DES MILITAIRES.


 

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★。\|/。★

 -extra bonus- 
 ★。/|\。★
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 RAMBO the TV series (2015- )
source IMDB 
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BARBUDOS #1

Few times ago, i dug in the bottom of my hardrives to find some materials to post in here since i'm working on comics projects i can't show right now. After opening hundreds of files, something strange came up... i saw a lot of bearded men in my images, and when i say A LOT, believe me.
I work mostly on crime stories and those manly men stuff, so it's not a big surprise to see an high amount of facial hair on those comics pages, but my SCI FI stories are also filled with facial hair and also my funny stories. TWO of my last THREE books had bearded men on the cover.
So as a game, i start to putting in a folder all my BEARDED ILLO, and may be one day paste them on the same page. A man must not fight his obsession, even the graphic ones. So i did just that and it filled one full page of 12 square picts... and i wasn't even finished. Before i had finished i did TWO more, i'll show them to you later...
I choose the theme of this first GRAPHIC OBSESSION series, it's called "BARBUDOS", which means of course BEARDED MEN in Spanish, and most precisely in CUBAN. FIDEL CASTRO and most of his compadres in the SIERRA MAESTRA didn't took time to shave when they did the revolution hidden in the moutains, they had too little time for vanity, they just wanted (at the beginning) just get rid of Batista the dictator. When they won (you can see that part in THE GODFATHER PART 2 and in CHE part 1 & 2), they were the Men. To blow up steam, they play BASEBALL. FIDEL & his men out together a team and named it "BARBUDOS" because that's who they were. They didn't shave after the victory.
Many years later, when i worked on the comics adaptation of the novel , CUATRO MANOS (FOUR HANDS) with his author PACO IGNACIO TAIBO 2, he told me that story, and suggest that one of the character (JULIO, the mexican journalist) should wear a BASEBALL shirt of this particular Cuban team.
Then here we are 10 YEARS later, with a series of details of my illustrations.
People, i'll give you "BARBUDOS" part 1.


pict 1 > 3 - BRONSON (BAGMEN) / ICEBERG (BAGMEN) /AKUMYO (GAT - DIRECTOR'S CUT)
pict 4 > 6 - HARAKU (GAT - DIRECTOR'S CUT) / SANBON-NO-YUBI  (GAT - DIRECTOR'S CUT) / BYRON (CHARGER)
pict 7 > 9 - ##### (#####) / McQUEEN  (CUBA LIBRE) / CHUCK NORRIS (BE A REAL MAN)
pict 10 > 12 - BRONSON (HAPPY 2013) / JERRY SIMPSON  (I, MOBSTER) / DARK SAID (COMICSHOP)

HAPPY 2014 (c)

HAPPY 2014


HAPPY 2014 (b)

HAPPY 2014
NOH MASK- National Museum TOKYO -

HAPPY 2014 (a)

 HAPPY 2014


 >> after JAIME HERNANDEZ - LOVE & ROCKETS cover 50 ^^

no comment...

On why they are no comment on this blog...
sometime people ask me why in our days an age, i don't allow comments here. I found this answer on the MAISON IMMONEN on TUMBLR and it resume the situation, why add something more.

STUART IMMONEN: To the extent that I'm on Twitter, I would see comments, but it's generally best practice not to go digging for it. If people liked it, great, I'm really glad. We want to entertain. If they didn't, well, I probably already know how I fell short and have criticized myself for it and have silently promised to do better next time. I try to put it all on the page, every page. If it's not a reader's cup of tea, that's OK, but it's not for lack of effort. Each issue takes at least a solid month to produce; for my part, it's 6-8 hours a day, 6 or 7 days a week — that's... um... at least 150 hours for a 15 or 20 minute read. If someone put that much effort into their tweet or message board post, then maybe we'd have something to say to each other.

I'm on facebook (sometime) and not on Tweeter, if you want to comment or ask something.
I give no kiss or free work.

LEGAL

Parmi les lecteurs de BAGMEN... les plus observateurs d'entre vous avaient remarqué les deux TEASERS que j'avais collé à la fin du livre. Beaucoup de questions à propos de ça, et bien aujourd'hui vous allez avoir la réponse...

Mon second projet pour CASTERMAN/KSTR sera... LEGAL ^^



Le pitch est simple.
"Et si on légalisait le cannabis à Nanterre (92) juste à coté de PARIS en 2019 ?"
Comment cela va changer la vie de cette ville, ainsi que celle de la capitale toute proche ? Qui va profiter de cette initiative ? Et qui en subirat les conséquences ? Comment les politiques et médias vont réagir ? Et surtout... surtout comment les principaux concernés ; dealers et fumeurs, vont voir leur monde changer... pour le meilleur et pour le pire...
Vous le saurez en lisant les 110 pages de LEGAL. Un ONESHOT de 110 pages

LEGAL est un polar social et j'avais besoin de coller le plus possible à la réalité. Donc j'ai été cherché Cédric Gouverneur (journaliste) pour écrire cette histoire avec moi. Nous avons dû produire un travail de qualité car l'homme politique qui a écrit la préface du livre, y a reconnu les accents d'une vérité qu'il connait que trop bien. Il nous a d'ailleurs expliquer comment LEGAL aurait pu voir le jour dans sa ville. Cela nous a été d'une aide précieuse pour peindre le tableau le plus complet et réaliste sur ce sujet sans jamais oublier que nous sommes aussi là pour vous divertir. ^^

LEGAL sera publié en SEPTEMBRE 2014, mais attendant vous verrez ici une multitude de cases, d'images et de work in progress durant les prochains mois.

Mes amis m'ont toujours demandé pourquoi moi (qui ne fume même pas de clope et je ne bois pas une goutte d'alcool), je suis autant obsédé par les addictions. C'est peut-être parce que je pense qu'elles sont la partie la plus visible de notre comportement social. Nous sommes tous "accro à quelque chose", que cela soit les SMS, le POKER, la BOUFFE ou TINTIN. Nous avons un comportement excessif que nous laissons hors de contrôle et que nous nourrissons avec ferveur. Les addictions sont des drames, parfois terribles ou parfois juste comiques. Cela dépends de la nature de votre addiction, êtes-vous accro à la GONFLETTE (THE WRESTLER), au PORNO (DON JON) ou à l'HÉROÏNE (REQUIEM FOR A DREAM). La drogue concerne autant ceux qui en prennent, ceux qui n'en prennent pas que ceux qui en vendent ou ceux qui les empêchent d'en vendre...
Dealers, clients, riverains, policiers, politiciens, journalistes, paysans, avocat, ministres, présentateur TV, ils sont tous dans LEGAL.

Donc si vous voyez des images funkys ICI, pas d'inquiétude... non, je ne suis pas tombé dans la drogue. Je suis seulement accro aux SÉRIES TV de HBO ^^.



COMING SOON...

Voila des news pour vous >>


#1 • LEGAL, mon POLAR made in France signé en deux parties de 54 pages est devenu un ONESHOT de 110 pages. Bien... ça va faire un bon gros volume et ça vous coutera moins cher. Elle est pas belle la vie? C'est prévu chez CASTERMAN/KSTR pour SEPTEMBRE 2014.

#2 • Mon POLAR made in JAPAN sera aussi un gros pépère de 130 pages. Je m'amuse comme un petit fou à faire cette histoire. Je surfe entre le COMICS et le MANGA. Je posterai très bientôt quelques images pour vous montrer à quoi cela ressemble.
C'est prévu chez LOMBARD en 2015.

#3 • ENFIN... un WESTERN, même si BAGMEN était une sorte de WESTERN moderne, rien de tel que de voir écrit 1868 en haut d'un scénario. Je vous donnerai plus d'infos là-dessus...

#4 • Écrit par PACO IGNACIO TAIBO 2, un projet que je porte depuis des années. Je garde le silence absolu sur cette histoire. Vous avez un TEASER sur la HOME du MEXICOMICS et c'est tout. Il n'y a pas de mot pour décrire mon impatience à travailler sur ce projet...

#5 • Commencé il y a 11 ans. GAT (dierctor's cut) a subit une série d'opérations de chirurgie esthétique et narrative quand il a été signé chez KSTR. 110 pages ont été produite, j'en ai encore 40 inédites (dont 36 avec un putain de combat de GOLGOTH)... encore quelques dizaines et c'est plié. Le projet a été mis en "stand by" par l'éditeur, le temps de finir BAGMEN et l'ambitieux "POLAR made in France". Dés que ça recommence, vous serez les premiers au courant.

Of course, il y a un #6 et un #7, et même un #8 mais cela sera pour plus tard...


INFLUENCE MAP


GAINSBOURG & BIRKIN paparazzi shot

 when i did this image, i had too many color choices. so i animated them and voila ^^
SERGE GAINSBOURG and JANE BIRKIN are now flashed by paparazzi.

ZATOICHI and PINATA



 image used as a HAPPY BIRTHDAY card
©Amazing Ameziane