Musique et Interprétation

Julian RENAN

Texte et Vidéo

Jacqueline LABEYRIE

Après un long combat il a brisé sa chaine

Et il s’en est allée sans même se retourner

Il se croyait sauvé et bien loin de la haine

Loin de tous les humains qui l’avaient maltraité

Il ne se doutait pas que cette liberté

N’allait pas lui offrir une vie bienheureuse

Sa vie de chien errant aujourd’hui commençait

Une vie solitaire et bien souvent odieuse

Quand ils donnent de l’amour

Ils ne mentent jamais

Leurs yeux en disent long

Sur leur fidélité

Il va errer longtemps dans les rues de la ville

Il a faim il a soif et il est harassé

Il voudrait bien trouver un petit coin tranquille

Pour fermer ses paupières et pour se reposer

Mais c’était sans compter sans la bétise humaine

Car à coup de bâtons il va se faire chasser

Il doit être sur ses gardes sa rémission est vaine

Et une fois de plus il devra se sauver

Quand ils donnent de l’amour

Ils ne mentent jamais

Leurs yeux en disent long

Sur leur fidélité

Le corps bien amaigri et les oreilles basses

Il se couche près d’un banc sans penser au danger

Il ne voit pas cet homme avec sa canne blanche

Qui tend la main vers lui pour mieux le caresser

Il est tellement meurtri qu’il n’a plus aucun doute

Et par la main de l’homme il se laisse cajoler

Ils vont partir ensemble pour faire un bout de route

Car ils débordent d’amour ils se sont adoptés

Quand ils donnent de l’amour

Ils ne mentent jamais

Leurs yeux en disent long

Sur leur fidélité

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Musique et Interprétation

Julian RENAN

Texte et Vidéo

Jacqueline LABEYRIE

Tu danses dans ta tête

Personne ne te voit

Les yeux fermés c’est la fête

Il y a toi et toi

Tu n’oses pas montrer

Ton envie de danser

Tu n’oses pas te lâcher

Tu préfères rêver

Danse ! Danse

Léger comme le vent

Danse comme tu vis

Danse comme tu aimes

Danse ! Danse !

Léger comme le vent

Danse comme tu ris

Danse pour oublier tes peines

La peur du jugement

La peur du regard des gens

T’empêche de vivre pleinement

De livrer tes sentiments

La vie est belle et courte

Nous devons en profiter

Si l’angoisse l’écourte

L’expérience l’a ranimé

Danse ! Danse

Léger comme le vent

Danse comme tu vis

Danse comme tu aimes

Danse ! Danse !

Léger comme le vent

Danse comme tu ris

Danse pour oublier tes peines

Alors ouvre les yeux

Et laisse-toi aller

Pour être vraiment heureux

Et ne rien regretter

Tu danses dans ta tête

Tu danses sur les ondes

Autour de toi c’est la fête

Il y a toi et le monde

Danse ! Danse

Léger comme le vent

Danse comme tu vis

Danse comme tu aimes

Danse ! Danse !

Léger comme le vent

Danse comme tu ris

Danse pour oublier tes peines

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Musique et Interprétation

Willy COLLAS

Texte et Vidéo

Jacqueline LABEYRIE

L’oiseau baisse la tête

Il est très fatigué

Il voudrait que s’arrête

Sa souffrance d’affilée

Il ne peut plus voler

Voler de ses propres ailes

Il reste là figé

Comme une sentinelle

Il en a plus qu’assez

Ce jour sera fatal

Il sait qu’il va tomber

Tomber du piédestal

Il lève un peu la tête

Résiste encore un peu

Secoue ses ailes fluettes

Et ouvre enfin les yeux

Dans un élan de vie

Il vole de guingois

Se pose sans soucis

Sur le rebord d’un toit

Il regarde le monde

Avec peur et envie

Ses pensées vagabondent

Vers de lointains pays

Il n’ira plus voler

Aux pays du soleil

Un hiver assuré

Loin des glaçants réveils

Il reste sur son toit

Et il résiste encore

Il se dit pourquoi pas

Pour que la fin l’ignore

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Interprétation Musique et Vidéo

Patrick MOLTALDO

Texte

Patrick MOLTALDO /Jacqueline LABEYRIE

Vivement la retraite , vivement qu’on fasse la fête!
Pour célébrer fièrement ce jour, qui marque le top du "non-retour".

Mais d'abords encore quelques années ,
Quelques longues années à trimer !
Avant de vivre , d’être libérée de ce rythme lassant, effréné!

Je pourrai à cet instant me faire la promesse,
De changer Le mot de "travail" par la «paresse» !

et Dev'nir touriste à plein temps avec des journées bien remplies,
Des journées d' repos également ; Une retraite bien... réussie !

Vivement la retraite , vivement qu’on fasse la fête!
Pour célébrer fièrement ce jour qui marque le top du «non-retour».

Pour le moment ce n’est qu’un rêve . Encore du temps avant la trêve !
Pour mettre les pieds en éventail et ne plus penser ... au travail !

Les week-end sont déjà pour moi «douces caresses».
Les fins de mois sont douloureuses même si j'encaisse !

J'ai pas encore ma revanche , j'ai encore «du pain sur la planche» !
J'ai encore un boulot «de taille» : Faut qu'je finisse ... MON «travail» !

Vivement la retraite , vivement qu’on fasse la fête!
Pour célébrer fièrement ce jour, qui marque le top du "non-retour".

Mais d'abords encore quelques années ,quelques longues années à trimer !
Avant de vivre , d’être libérée de ce rythme lassant, ... effréné!

Finalement ... ce s'ra chouette !: On restera au chaud sous la couette !

Pour le matin plus de «réveil» : Mes rêves seront «monts et merveilles» !

Vivement , qu'ç'a s’arrête ! : Pouvoir enfin faire mes emplettes !
Pour reprendre le cours de ma vie : Courir après l’temps ... c'est fini

Vivement la retraite , vivement qu’on fasse la fête!
Pour célébrer fièrement ce jour, qui marque le top du "non-retour".

Mais d'abords encore quelques années ,
Quelques longues années à trimer !
Avant de vivre , d’être libérée de ce rythme lassant, effréné!

http://www.copyrightdepot.com/cd41/00051806.htm

Interprétation et création vidéo DANYEL D.

Musique RIVERSIDE DRIVE

Texte Jacqueline LABEYRIE

Vidéo YORGEN THE ARTIST

Images FREEPIK

Est-ce que je dis ce que je pense

Est-ce que je pense ce que je dis

Je veux garder la bienveillance

Quoi qu’il arrive quoi que je crie

Est-ce que je dis ce que je crois

Est-ce que je crois ce que je dis

Je réfléchis bien à tout ça

Et vous avez-vous tout compris

Vous avez très envie d’entendre

Si j’ai bien toutes mes facultés

Ce que vous croyez sous-entendre

Est-ce vraiment la vérité

Ce que vous voulez bien comprendre

Est peut-être la réalité

Mais ne vous laissez pas surprendre

Par toutes ces difficultés

Pas facile de communiquer

Nous allons essayer quand même

Surtout quand l’auteur veut jouer

Avec les mots et les dilemmes

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Interprétation et Vidéo

Patricia D.

Musique

Patrick MOLTALDO

Texte

Patrick MOLTALDO / Jacqueline LABEYRIE

Vivement la retraite , vivement qu’on fasse la fête!
Pour célébrer fièrement ce jour, qui marque le top du "non-retour".

Mais d'abords encore quelques années ,
Quelques longues années à trimer !
Avant de vivre , d’être libérée de ce rythme lassant, effréné!

Je pourrai à cet instant me faire la promesse,
De changer Le mot de "travail" par la «paresse» !

et Dev'nir touriste à plein temps avec des journées bien remplies,
Des journées d' repos également ; Une retraite bien... réussie !

Vivement la retraite , vivement qu’on fasse la fête!
Pour célébrer fièrement ce jour qui marque le top du «non-retour».

Pour le moment ce n’est qu’un rêve . Encore du temps avant la trêve !
Pour mettre les pieds en éventail et ne plus penser ... au travail !

Les week-end sont déjà pour moi «douces caresses».
Les fins de mois sont douloureuses même si j'encaisse !
J'ai pas encore ma revanche , j'ai encore «du pain sur la planche» !
J'ai encore un boulot «de taille» : Faut qu'je finisse mon travail!

Vivement la retraite , vivement qu’on fasse la fête!
Pour célébrer fièrement ce jour, qui marque le top du "non-retour".

Mais d'abords encore quelques années ,quelques longues années à trimer !
Avant de vivre , d’être libérée de ce rythme lassant, ... effréné!

Finalement ... ce s'ra chouette !: On restera au chaud sous la couette !
Pour le matin plus de «réveil» : Mes rêves seront «monts et merveilles» !

Vivement , qu'ç'a s’arrête ! : Pouvoir enfin faire mes emplettes !
Pour reprendre le cours de ma vie : Courir après l’temps ... c'est fini !

http://www.copyrightdepot.com/cd41/00051806.htm

Musique et Interprétation

Julian RENAN

Texte et Vidéo

Jacqueline LABEYRIE

Bien installée sous ma tonnelle

Bien à l’abri du grand soleil

Je trouve que la vie est belle

Le paysage m’émerveille

Sous ma tonnelle chantent en duo

Tous les oiseaux en sérénade

Les rossignols et les moineaux

Échangent de belles roucoulades

Sous ma tonnelle un doux parfum

De fleurs de feuilles se mélangent

Toutes les odeurs du jardin

Exhalent des senteurs étranges

Le soir venu sous ma tonnelle

J’attends l’amour jusqu’au matin

La vie me semble si cruelle

Tu ne viens pas dans le jardin

Au loin une ombre se dessine

Mon cœur s’emballe, un peu d’espoir

Semble renaître sous la glycine

Je suis heureuse de te revoir

Mais ce bonheur n’était qu’un rêve

J’ouvre les yeux sous la tonnelle

Tu n’es pas là , le jour se lève

Et la douleur est bien réelle

Demain j’irai sous la tonnelle

Bien à l’abri du grand soleil

Je trouverai la vie très belle

L’espoir au cœur dans mon sommeil

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Musique et Interprétation

Julian RENAN

Texte et Vidéo

Jacqueline LABEYRIE

J’ai dans la tête des mots qui dansent

Qui se mélangent et qui se posent

Des mots d’amour et d’espérance

Qui voudraient bien créer la prose

Des mots d’amour des mots caresse

Tout en douceur délicatesse

Des mots que l’on pourrait chanter

S’ils voulaient bien là se poser

Il suffirait de quelques pieds

Bien découpés et bien rangés

Pour qu’apparaisse la bonne rime

Et que la poésie s’anime

Des mots qui chantent à l’oreille

Du compositeur qui sommeille

Et qu’il fredonne dans la nuit

En habillant les mots de vie

Et quand la musique résonne

Au son des mots , du microphone

Mon cœur s’emballe au gré du son

Je viens d’écrire une chanson !

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Interprétation et Musique

Julian RENAN

Texte et Vidéo

Jacqueline LABEYRIE

J’ai envie de te croquer

Chocolat que je savoure

En tablette noir ou au lait

Je crois que je t’aime d’amour

Tu es bon pour le moral

Quand mon cœur est affligé

Même si tu me fais du mal

Tu vas vite me consoler

Je ne peux pas résister

A ta forme ta couleur

Je le sais je vais craquer

Toi mon antidépresseur !

J’ai envie de te croquer

Chocolat que je savoure

En tablette noir ou au lait

Je crois que je t’aime d’amour

Je sais que la gourmandise

Que le plaisir d’un instant

Même si c’est une bêtise

Me rappelle mes joies d’enfant

Que tu sois doux ou amer

En dragées ou aux noisettes

Ces duos font bien la paire

C’est toujours toi la vedette

J’ai envie de te croquer

Chocolat que je savoure

En tablette noir ou au lait

Je crois que je t’aime d’amour

Ma balance va crier !

Va me pousser au régime

Je vais culpabiliser

Mais c’est juste pour la rime !

A ta vue à ton odeur

Sans complexe et sans honte

Je retrouve le bonheur

Et je craque , je grignote

J’ai envie de te croquer

Chocolat que je savoure

En tablette noir ou au lait

Je crois que je t’aime d’amour

http://www.copyrightdepot.com/cd41/00051806.htm

Interprétation

DANYEL D.

Musique

FOREST DANCE

Texte et Vidéo

Jacqueline LABEYRIE

Ils meurent par milliers

Les combats incessants

Détruisent leur passé

Et répandent leur sang

Leurs maisons sont en ruine

Et ils n’ont plus d’espoir

Ceux qui les exterminent

Abusent de leur pouvoir

Ils n’ont pas de pitié

Les femmes les enfants

Des familles décimées

Des hommes inconscients

Même quand le jour se lève

Ils vivent dans le noir

Plus de sourire aux lèvres

Plus la force d’y croire

Ils ont le cœur en ruine

Tout comme leur maison

Ils n’ont plus de racines

Ils n’ont plus d’horizon

Ils ne croient même plus

A la fin de la guerre

Ils se sentent perdus

Exclus de cette terre

Certains prennent la route

Pour un monde meilleur

Croyant trouver sans doute

Un peu de paix ailleurs

D’autres préfèrent mourir

En restant sous leur toit

Pourquoi doit-on choisir

Entre vie et émoi ?

Pourquoi cette injustice

Pourquoi tant de misère

Peut-être qu’un jour viendra …

Mais ça je n’y crois pas

http://www.copyrightdepot.com/cd41/00051806.htm