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A l'honneur maintenant Fable 2. Jeu de rôle sorti fin 2008, ce second opus nous laissait penser que le jeu avait grandement mûri par rapport à son prédécesseur. D'un certain point de vue ce n'est pas faux, mais d'un autre côté il n'y a pas tant de nouveauté que ça. Vous pouvez toujours, bien sur, choisir le côté sombre de la force où le côté lumineux. Ceci n'a pas changé. Vous pouvez privilégier la force et dans ce cas votre personnage deviendra un tas de muscles ambulant, qu'il soit de nature masculine ou féminine et entre nous les filles deviennent vite laides ^^. Vous pouvez en faire un fin arbalétrier et de ce fait, votre personnage restera plutôt mince comparé au tas de muscle qu'il peut devenir ou choisir le côté magique de ses capacités et en ce cas, votre personnages verra sa peau se transformer et ce n'est pas très chouette à voir. Le côté obscur peut vous permettre de faire de nombreuses victimes et d'avoir de nombreuses femmes. A savoir également que dès le départ du jeu, vos actions auront des conséquences sur l'avenir du royaume. Donc si on est méchant, le royaume est pauvre et désolé et si on est gentil, tout le monde est heureux. 

Les paysages sont vraiment très beaux dans ce second opus mais ils l'étaient déjà dans le premier.  Les scènes de combat sont plutôt intéressantes aussi et elles peuvent donner ça :

Intéressant n'est-ce pas? A savoir qu'il peut y avoir bien plus de gens qui souhaitent votre peau et pas forcément des pirates. Bon sinon ce jeu a l'air bien non? Qu'est-ce qui peut clocher? Tout d'abord la durée du jeu est très limitée dans le sens ou si vous faite l'aventure sans vous soucier des quêtes annexes et des métiers à accomplir au niveau maximum, le jeu se finit plutôt vite. Autre problème, le personnage que vous incarnez devient très vite laid et parfois obèse si vous ne faite pas attention à votre nutrition. Quoique ce point ci c'est du positif parce qu'entre nous c'est jouissif de voir son personnage changer au fur et à mesure. Venons en au toutou. Bah ui vous n'êtes pas seul! Votre toutou va vous suivre partout et vous aider à avancer! Elle est pas génial la vie? 

Autre chose d'intéressant : la vie sentimentale! Quel plaisir de flirter avec tout le monde! A vous de vous choisir un époux, ou une femme, voir les deux ou autant que vous le voulez car tout est permis! Attention simplement à ce qu'ils ne se rencontrent jamais.

Après une petite ellipse où vous êtes en filature pour sauver un ami et que vous revenez chez vous, vous apprenez que votre mari ou femme principale vous a déjà remplacé! ( la garce! A butter!). En bref, si le jeu possède d'énormes possibilité il en reste pourtant vite ennuyeux car tout à une limite. C'est le genre de jeu qu'on termine une fois et où on ne revient plus dessus, contrairement à d'autres. Reste à espérer que le troisième opus à venir sera supérieur en tout point à ses prédécesseurs parce qu'on commence vraiment à trouver qu'ils se ressemblent tous.

Changeons un peu de genre de jeux vidéo et intéressons nous à Bully. Ce jeu sorti sur xbox 360 et sur playstation 2 sous un autre nom fait parti de mes petites lubies. Il me prend souvent l'envie d'y jouer parce que je sais que je vais vraiment me détendre.

On y incarne un jeune garçon que sa mère décide de placer dans un internat scolaire pour profiter de son nouvel époux, homme que Jimmy ne peut pas voir en tableau. On voit de suite le caractère très fort de l'ado et c'est loin d'être un ange. 

Vote mission si vous l'acceptez c'est d'être respecté par les différentes classes sociales que composent le pensionnat. Il y a par exemple les sportifs, de vrais durs à cuire, les fayots, une sous marque des geek, les bourges, les blousons noirs... Autant de groupe qui devront apprendre à vous respecter. 

Ce jeu même si les graphismes commencent à se faire vieillot comparé aux nouveaux arrivants est un réel plaisir. Le gameplay est des plus faciles à prendre en main. Les missions sont toutes sympas et permettent de vous transformer en leader. Vous y trouverez les missions pour gagner de l'argent, celles pour avancer dans l'histoire et surtout les cours! Photographie, science, math, anglais, géographie... autant de matières où on vous fera travailler vos neurones.

Il y a donc les cours, les clans et... les filles bien sur! A vous de vous montrer à la fois viril et dangereux avec un soupçon de romantisme et elles tomberont toutes dans vos bras. Beaucoup de possibilités dans ce jeu loin d'être linéaire puisque vous faite ce que vous voulez! Pas étonnant me direz-vous quand on sait qu'il nous vient droit de chez Rockstar Game créateur de GTA et de Red Read Redemption. Seulement voilà, je l'ai trouvé beaucoup plus agréable que GTA. Une histoire de goût et de couleur certainement.

Je ne pense pas avoir réellement besoin de vous expliquer de quoi parle ce jeux vidéos sorti en 2006. C'est une suite du très célèbre final fantasy 7 et cela se passe 3 ans après les événements du 7 permettant d'en savoir davantage sur Vincent Valentine un personnage mystérieux qui intègre votre équipe au cours du 7. S'inspirant des RPG mais davantage comme un jeu de tir, un shooter RPG, ce jeu est étonnement bien. 

Comme en témoigne l'image si dessus, les graphismes ne sont pas à négliger et d'ailleurs pas si moche que ça. Ce jeu qui n'est hélas pas multijoueur mais qui est en français est vraiment intéressant. La durée de vie est longue, on peut également augmenter le niveau de ses armes avec de l'argent et en acheter de nouvelles. On peut également choisir à chaque fin de niveau entre deux solutions : récupérer en Gils son exp ou alors l'utiliser pour améliorer Vincent Valentine et certaines de ses caractéristiques.

L'histoire est vraiment bien, sans trop d'incohérences et les ennemis que vous allez rencontrer sont nombreux mais rien d'insurmontable.

Cet ennemi ci par exemple rejoindra vos troupes un peu plus loin dans l'aventure suite à une tragédie qu'elle aurait voulu éviter. Ici pas d'équipe, juste un personnage que l'on peut jouer : Vincent. Ce qui colle plutôt bien avec son image de créature solitaire. Les personnages de final fantasy 7 feront quelques petites apparitions comme Yufie, Tifa, Cloud et bien d'autre encore. 

Les cinématiques sont à tomber par terre pour un jeu de playstation 2 je pense qu'elles font partie des plus belles sur la plateforme comme en témoigne la vidéo suivante ( attention SPOILER DE LA FIN)

Alors une bonne histoire, de bons personnages qu'on commence à bien connaître, un gameplay facile à prendre en main, des cinématiques à couper le souffle pour l'époque et une durée de vie plutot longue, on peut sans conteste dire que Dirge of Cerberus est un bon jeu même s'il se finit plutôt vite contrairement aux autres FF de la saga.

On ne lit pas un roman de Stepehn King, on le dévore. Avec différentes saisons, notre plaisir est quadruplé, car King nous ofrre cette fois quatre histoires qui sont en fait des romans à part entières.

Un innocent condamné à perpétuité cherche à s'évader; un jeune garçon démasque un ancien nazi dans une ville de Californie; des gamins partent à la recherche d'un cadavre; un médecin raconte l'histoire d'une jeune femme célibataire et enceinte dans les années 30... Rien de commun, en apparence, entre ces quatre thèmes. Mais derrière ces héros d'âges et de milieux très différents, c'est la société américaine que dissèque Stephen King, avec le souci du détail et du mot juste, le sens de l'observation, du suspense et de l'humour noir qui le caractérisent. L'Amérique ne sort pas indemne de cette vivisection. Nous non plus...

Les quatre nouvelles présentes dans ce recueil ou novellas sont vraiment différentes les unes des autres par leur manière de se présenter pour au final avoir le même point commun : une critique de la société. La première nouvelle m'a plutôt emballé dans le sens où le milieu carcéral en Amérique est quelque chose de violent et différent de par chez nous. Autant dire que j'ai adoré ce que l'auteur nous raconte et cette manière de jouer sur la présomption d'innocence, car nous-même lecteur nous doutons de la culpabilité du personnage.

La seconde nouvelle est ma favorite. Quand on remarque à quel point l'enfant se montre cruel avec le vieil homme, c'est jubilant. Leur relation commence par de la curiosité mais petit à petit on se rend bien compte qu'ils sont liés l'un à l'autre et qu'il n'y aura pour eux, aucune échappatoire. Si l'un des deux y reste, il assure la plongée en enfer du second! Et c'est un grand soulagement de voir que même en colère chacun d'eux à la même idée : s'en prendre à des clochards pour passer leur haine. 

La troisième nouvelle est elle aussi intéressante mais j'ai un peu moins accroché que la précédente. Ce n'est en rien à cause du style de l'auteur ou de sa façon de raconter, du tout. C'est l'intrigue en elle-même. Le début est assez long, monotone, il ne se passe pas grand chose et soudain : le voyage des enfants commence.Et là, l'histoire prend tout son sens. J'aurais aimé que les enfants gardent un peu de leur innocence parce qu'ici ce n'est pas le cas du tout. Ils savent ce qu'ils font, ce qu'ils veulent et surtout ils savent faire la différence entre le bien et le mal et ont déjà choisi leur camp : l'entre-deux.

La dernière nouvelle m'a rendu perplexe de premier abord. Je me demandais où cela aller nous mener. Petit à petit on comprend que le but de cette nouvelle c'est d'y encrer une autre nouvelle raconté par un personnage le soir de noël. Et cette dernière se montre des plus intéressante. On monte petit à petit dans une angoisse et un questionnement concernant les personnages et surtout l'héroïne de l'histoire. La fin est sublime!

En bref, L'auteur une fois de plus nous charme avec ce recueil de quatre longues nouvelles qui sont pour moi de minis romans. Magnifique!

Pour échapper à son frère toute juste monté sur le trône, Yoshitsune et son domestique trouvent refuge dans une maison perdue au beau milieu de la montagne. Une chaumière qui, d’aspect extérieur, a l’air tout à fait ordinaire. Bizarrement, c’est une jeune femme qui y vit seule: elle accueille cordialement ses invités mais leurs impose seulement une requête. Au fond du couloir se trouve une chambre, celle où elle dort, et elle demande aux voyageurs de ne jamais y aller. Le mystère s’amplifie autour de cette charmante femme, qui semble avoir un passé bien obscur et sinistre.

Attention anime dangereux! 12 petits épisodes seulement pour un anime qui vaut le détour pour de nombreuses raisons. Tout d'abord la qualité des graphismes. Un régal! Les personnages sont soignés sans tomber dans le stéréotypé ni le shojo. Les personnages sont matures, cruels, adultes et très beaux ( surtout Kuro le héros et j'aime aussi beaucoup Rai la jolie blonde qui intervient par la suite).

Les décors collent parfaitement avec l'ambiance glauque et sombre de l'anime de même que les couleurs de l'anime suivent parfaitement avec l'état d'esprit du héros et de ses proches. Une petite histoire de vampire vient semer le doute dans l'histoire qui a tout d'un vrai casse-tête. Mais pas des vampires comme on a l'habitude d'en voir, loin de là! Ceux-ci ne boivent pas tant de sang que ça et surtout ils ne doivent leur immortalité qu'à un procédé vraiment étonnant et jamais exploité jusqu'à maintenant. Kuromitsu est aussi un personnage magnifique. Elle est d'une beauté sauvage, dangereuse. Et elle l'est.

Je vous met en garde contre cet anime parce qu'une fois commencé, on ne peut faire autrement que le finir et il en vaut la peine. La violence est le mot clef de cet anime. Tout le monde s'entretue sans se poser de questions, les combats sont d'ailleurs très bien rythmés, entre sabres et armes à feu, voir à main nue. Le sang gicle et regicle au rythme des balles qui se perdent sur les personnages. Tout le monde y passe! Personne n'est épargné par cet anime d'une violence incroyable. J'étais même un peu en colère vers la fin quand l'un des protagoniste principal meurt, après avoir été torturé par un monstre de manière malsaine, tué par quelqu'un qu'on ne soupçonne pas retourner sa veste pour l'ennemi. 

Le second côté malsain c'est ces passages où Kuromitsu enlace la tête du héros, amoureusement... Sadique!!

En bref, cet anime très gore et violent n'est pas à mettre entre toutes les mains pour de nombreuses raisons. De plus si vraiment vous ne comprenez pas la fin, c'est normal j'ai eu du mal à la saisir aussi et à tout remettre bout à bout mais au final ça en vaut la peine!

Malice Doll est un robot conçu pour se prostituer ; elle fait partie des derniers êtres vivant au sein d'une ville fantômatique d'où les hommes ont disparu depuis longtemps pour des raisons inconnues. Chaque jour, elle se réveille un peu plus usée, mais cela ne l'empêche pas de rendre visite à ses amies, des robots du même type, et de croiser les gardiens robotisés de ce lieu abandonné.
Cependant, un jour, tout bascule, elle pénètre dans un endroit qu'elle n'avait jamais vu avant ; elle est alors saisie par des tentacules jaillis d'une sorte de statue étrange, qui pénètrent en elles et lui infusent d'étranges capacités.

Le lendemain, comme chaque jour, elle se réveille, mais elle est devenue humaine, et par de simples baisers elle devient capable de contaminer les autres robots pour les transformer en monstres humanoïdes ...

Wahou! Un véritable bijou que j'ai pu voir là! Certes l'animation laisse légèrement à désirer et pourtant. On a l'impression de voir de réelles poupées qui tentent de survivre dans un monde abandonné de tous. L'histoire peu sembler perverse au premier abord avec ces poupées conçues pour satisfaire l'appétit sexuel des Hommes. Pourtant petit à petit on entre dans un état d'esprit bien différent. Ces poupées sont-elles si différentes des filles qui se prostituent au final? Elles ne font que satisfaire des Hommes sans jamais ressentir de plaisir. Elles ne deviennent même plus humaines pour leur plus grand malheur. Seulement c'est l'inverse qu'il se produit dans ce film d'animation. Les poupées deviennent humaines et ressentent pour la première fois d'étranges sensations. Certes ce film n'est pas à mettre dans les mains de tout le monde, car certain passage sont au limite du supportable tant au niveau horrifique que sexuel! Alors ceux qui en ont le courage, sautez sur l'occasion pour voir ce bijoux!

Par une nuit fatale, dans le merveilleux pays d’Alasea, frappé par une malédiction, trois mages firent un ultime acte de résistance, sacrifiant tout dans l’espoir de préserver le bien.
Cinq cents plus tard, au jour anniversaire de cette nuit sinistre, une petite fille hérite d’un pouvoir perdu depuis longtemps.
Mais avant qu’elle puisse comprendre son terrible don, le Seigneur Noir lance ses monstres ailés pour la capturer et lui rapporter la magie embryonnaire qu’elle détient.
Fuyant les hordes des ténèbres, Elena est précipitée vers une issue terrible… et vers la compagnie d’alliés inattendus. Formant avec eux une bande de parias et de hors-la-loi, elle va tenter de combattre les forces inexorables du mal et de secourir un empire autrefois glorieux…

J'ai eu un peu de mal à accrocher au départ à cause des noms des persos qui sont je trouve à coucher dehors et compliqués au possible. Il est d'ailleurs fort difficile de les retenir, voir impensable. L'histoire démarre lentement et sans crier gare, l'intrigue se met en place avec la trame principale. Je n'ai pas trop accroché au protagoniste principal Elena. Je la trouve sans intérêt, plate et très froussarde même si c'est un peu normal vu son jeune âge. D'autres personnages sont bien plus intéressant qu'elle comme les deux frères Si'luhra qui ont sur eux une malédiction les condamnant à rester sous leur forme actuelle : un homme et un loup. Et c'est d'ailleurs la multitude de personnages bien différents les uns des autres et le portrait que l'auteur dresse d'eux à tour de rôle qui m'ont fait m'accrocher à ce premier tome. Les péripéties que chacun d'entre eux se voient à mener, leur propre passé et présent en font des protagonistes tout à fait attachant, même l'ogre. Puis sans crier gare, on est obsédé par le roman, ou plutôt par l'histoire et l'action qui commence à prendre toute son ampleur. L'histoire au premier abord semble lourde, complexe et déjà vu mais au fond, non. Elle est captivante. Si j'aurais une chose à changer se serait les noms des personnages, et absolument rien d'autre! 

Richard Castle est un écrivain à succès spécialisé dans les thrillers. La police s'intéresse de près à lui lorsqu'un tueur copie les meurtres mis en scène dans ses romans. Une fois cette affaire résolue, Castle devient consultant pour la police de New York...

Excellente série qu'est Castle! C'est frais, énergique et non sans rappeler par certains côtés le mentalist avec un consultant qui n'aura de cesse de mettre la main sur le suspect. Les personnages sont vraiment très bien, de Beckett à Castle, et même le supérieur de Beckett est génial. Mais qu'est-ce qui peut bien nous plaire réellement dans cette série? Tout d'abord les enquêtes, comme tout série du même ordre, elles sont plutôt bien construites même si je trouve pour ma part très vite qui est le criminel ^^. Ensuite les personnages et surtout Richard. Il est tellement charmant, agaçant, égocentrique! On regrettera cependant la courte durée de la première saison avec seulement 10 épisodes, mais les deux saisons suivantes en comporteront davantages.

Bref à voir!

Traquée, prise au piège d'une manipulation manifestement très planifiée... Lisbeth va devoir affronter son passé. Elle pourra compter sur l'amitié infaillible de Mikael Blomkvist, qui fera tout pour prouver qu'elle n'est pas la tueuse en série que les médias et la police dépeignent.

Aussi bon que le premier opus, voir meilleur, millénium 2 n'a pas fini de nous surprendre. Toujours aussi efficace, le scénario est un véritable bazar où il faut savoir mettre bout à bout toutes les informations que les deux protagonistes trouvent chacun de leur côté, pour au final révéler une histoire troublante et surtout pleine de rebondissements! Les acteurs sont toujours aussi bons même s'il faut attendre la fin pour qu'ils se retrouvent et ils ont encore plus dangereux que dans le premier opus, de véritables détectives! Certaines scènes sont une fois encore violentes surtout au final, mais n'en demeurent pas pour autant inutiles. Cette fois-ci, notre jolie Lisbeth n'aura qu'une seule personne dans sa couche, sa petite amie et les démons de son passé n'auront de cesse de ressurgir pour la hanter et surtout pour lui permettre de mener à bien son enquête! Un final des plus réussi, un scénario et une continuité par rapport au premier opus qui tient la route!

Vivement le troisième!

Lorsque Masklinn, seul chasseur dune tribu de gnomes pénètre dans le grand magasin Arnold frères, quelle n'est pas sa surprise de découvrir que ses rayonnages abritent des centaines de ses congénères, invisibles au regard des hommes !Son arrivée crée, cependant la panique, car pour les résidents, le "dehors" n'est pas censé exister. De plus l'intrus est venu avec le truc, un objet doué de parole qui prétend connaître l°origine du petit peuple. Et qui fait surtout cette révélation : le magasin est sur le point d'être détruit !

Il n'y a dès lors plus qu'une solution : l'exode. Tâche titanesque pour des êtres de dix centimètres de haut, dont Masklinn est devenu le prophète involontaire ....

Ce que j'ai pu adorer ce roman! Premier tome d'une trilogie vraiment drôle, le grand livre des gnomes nous permet de nous voir à travers les yeux de petits gnomes! Ils sont drôles, ingénieux,intelligents et surtout ils aiment critiquer chacun de nos faits et gestes! Je pense que Terry Pratchett a bien voulu de nouveau offrir une petite critique de notre civilisation par le biais de ces gnomes, et personnellement, j'en redemande volontiers! C'est drôle, frais, plein d'actions et d'aventures! Les gnomes dans ce roman ont tout pour faire rire! Ils trouvent que nous sommes lents et bêtes, un peu comme du bétail, ils critiquent chacun de nos faits et gestes, chacune de nos créations pour pourtant apprendre à s'en servir par la suite. ( le passage de l'apprentissage du code de la route en camion est vraiment un passage horripilant!). Enfin je ne pense pas avoir besoin d'en dire davantage, ce roman, à prendre au second degré, plaira à tout le monde! 

A lire d'urgence pour avoir un moment de rire et surtout apprécier la critique faite sur notre civilisation!