Le chemin d'une vie inachevée...
Je me prénomme Gérard, je vous parlerais de tout ce qui m'est arrivé. Mon handicap! Etc..ma vie !
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mai qui a fait toutes ces modifications ???? c'est bien bravo !
http://ageh eureux.centerb log.net
Par ageheureux, le 29.05.2013
hello, je passe encore ici pour avoir de tes nouvelles ! depuis le temps ...!!!qui peut me répondre ici ?????
Par ageheureux, le 29.05.2013
toujours pas de nouvelle!!!!!!
helloooo ,c'est moooaa ..oui la reinette ,lol! comme il neige un peu!!!
(pa
Par ageheureux, le 31.01.2012
hellooo,me voilà enfin!!! j'avais à faire un long voyage pour vous souhaiter à tous un très joyeux noel ,
Par reinette, le 23.12.2011
je suis vraiment inquiète de ce silence trop long de ta part!!!!!!!!!! http://ageheur eux.centerblog .net
Par ageheureux, le 16.08.2011
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Date de création : 01.05.2010
Dernière mise à jour :
03.06.2010
46 articles
Bienvenue dans mon monde.
Ravi de vous voir ici sur mon blog. Je m'appelle Gérard. Souvent c'est GG. Prenez le temps d'en savoir plus sur moi et apprenez à me connaître. Afin que je puisse savoir qui m'a rendu visite, vous pouvez également ajouter un commentaire...
Toutes les images utilisées à des fins décoratives sur mon blog, ont été trouvées au gré de mes recherches sur le net. Malheureusement, il est souvent difficile, voire impossible, d'en retrouver le créateur original, les images étant présentes sur de nombreux sites. Si vous êtes le créateur d'une de ces images, et que vous souhaitez soit que je la retire de mon blog, soit que j'ajoute un lien vers votre site, merci de me contacter grâce au lien " contacter l'auteur " se trouvant tout en bas de cette page.
Une histoire remplie de méchanceté, de violence gratuite, d'alcoolisme, de douleur durant ma jeunesse. A l'adolescence l'amour, la fidélité, la confiance, la gloire ont été la bienvenue...
L'histoire vraie d'une vie... Chaque jour est un renouvellement, la vie peut s'arrêter à tous instants. Alors que faisons nous de nos précieuses heures, minutes et secondes quotidiennes. La vie est courte même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue. Il faut profiter de la vie et des choses qu'elle nous offre. La vie est si vite perdue.
Pour commencer, un peu d'amusement.
Clique sur le lien en bas que je t'envoie, écris ton prénom et ton nom, clique sur lancer le reportage, tu vas rire !!! http://www.monfestival.fr/
A mon Amie,
C'est une histoire comme parmis tant d'autres...
Celle-ci débute ainsi...
Avant de commencer, je voudrais te dire que la vie n'est pas
un long fleuve tranquille.
Certains mènent une vie décente, d'autres
sont plus chanceux, d'autres sont misérables,
la pauvreté est partout dans le monde...
La détresse nous envahie peu à peu...
En larmes et en douleur, je ne fais que crier...
Pour moi, la vie sur terre est une chose étrange et mystérieuse.
Portes-tu le coeur de la paix?
Pour moi, la vie sur terre est une chose étrange et mystérieuse... Nous sommes ici, c'est ainsi.
Que faire de notre vie, commet la mener, à quoi nous intéresser, où mettre notre énergie ?
Quel sens à la vie ? Nous mourrons tous un jour et tout ce que nous aurons accompli et accumulé ne nous suivra pas...
Alors que faire du temps que nous passons sur terre?
Tout d'abord, je me présente:
Gérard, bien souvent c'est (Gégé). J'ai eu un accident cérébral que l'on surnomme (locked-in syndrome) une maladie très rare selon les statistiques.Cette nouvelle vie, je ne l'a supporte pas. D'ailleurs, je ne l'ai jamais accepté.
Hello, c'est moi, Gégé...
Tout a commencé le jour ou je suis sorti du ventre de ma mère. Je m'imagine encore ce jour. J'étais bien au chaud, quand soudain j'eus un sentiment de fraîcheur me parcourir le corps. Un instant plus tard, un imbécile trouve le moyen de me donner une claque sur mes fesses. Hé, ho! La haut ça ne va pas, non? J'étais peinard, et voila qu'on s'amuse avec mon cul, merde...
A mon Amie
C’est une vraie vie vécue qui commence comme toutes les autres....
Celle-ci débute ainsi.
Un petit garçon, du nom de Gérard, ((moi-même)) qui est né dans un charmant village, qui s’appelle : Montmorency.
Un petit bourg réputé par ses cerises sauvages ! Les fameuses cerises que l’on déguste entre amis, surtout en famille par grandes occasions. Qui n’a pas goûté à ces superbes fruits rouges farouches du Val d’Oise !!! Devant la mairie se dresse la statue de Jean Jacques Rousseau.
Dès l’age de cinq, je réalise que je suis un petit gars de famille divorcé.
Certains souvenirs se remémorent dans ma tête. Je fus heureux pendant cette période vécu avec ma mère et mon père.
Je me souviens de mes sœurs, on jouait souvent avec notre chien dans le jardin. Ce qui ne plaisait pas à mon père. Il était du genre autoritaire, mais quand il s’agissait de son chien et de nous, ((il criait)) :
_ Allez jouer dans la cour…
On le faisait tout de suite. On savait qu’il ne nous gronderait jamais. Il nous aimait, et souvent il jouait avec nous, en nous donnant une petite tape sur les fesses. C’était un père en or, grand, toujours habillé en bleu de travail, la cigarette toujours pendante à ses lèvres. Souvent, il revenait de son travail avec sa jument. Tous les midis en rentrant de l’école, je l’attendais dans la cour de la maison. Je l'écoutais arriver au bruit des fers du cheval, sur les pavés du chemin qui mène à la maison. Je courrais à l’entrée de la cour. Mon père s’arrêtait, me montait avec lui sur le cheval. La cour était longue de cinquante mètres environ. Etant petit, je ne savais pas que ce fût une « voie sans issue »C’était un beau cheval de trait blanc. Tous les dimanches, il m’emmena chercher le lait avec son cheval, et l’après midi, on allait faire un tour avec toute la famille dans la charrette. Parfois, on allait dans les champs, ramassait des pommes, des poires, des prunes, toutes sortes de fruits et de légumes… Tout ça en raison des saisons. Ce fût une époque que j’ai beaucoup adorée. Ces souvenirs me sont vague.
Le drame arriva, quand mes parents divorcèrent. Ce que je ne comprenais pas, pourquoi j’allais voir ma mère tous les mois, pendant deux jours ?
La venue de ma belle mère fût le calvaire le restant de mon adolescence. Du moins une portion. A partir de ce moment là, toutes les misères du monde tombèrent sur moi, comme une grosse masse. Mon père, c’était donc remarié. Je quittais ma mère, mes sœurs, tout ce que j’aimais, les voisins…Je pleurais à l’idée de perdre tout ce monde.
Mon père m'entraîna dans sa nouvelle maison. Dans la cour, il y avait une porte, il me disait : '' n’ouvre jamais cette porte''..
Plus tard, j’appris que derrière celle-ci, (était la ferme ou il œuvrait).J’avais remarqué dans la cour un robinet couvert de paille. On entra dans la nouvelle demeure. Il y avait une grande cuisine, le sol était carrelé de carrelage hexagonale rouge,((que l’on appelle de nos jours)) « la tomette » Au bout de cette cuisine un poil à charbon qui servait de chauffage et pour cuisiner. En face une grande ouverture, faisait voir la chambre.
Il ni avait que deux lits.((((( J’écris tous les détails, mon Amie, pour que tu sois dans l’atmosphère.
Quand mon père me présenta, il ne se passa rien, juste un croisement de regard.
Mes misères commencèrent. La belle-mère, avait deux enfants, Chantal et Didier, ((lui avait la Poliomyélite)) il ne fallait pas leur dire un mot de travers, ni les toucher.
C’était ses chouchou x. Mon père partait à son travail. Je ne savais pas ou me m’être. La belle mère me dit : Prend un tabouret, assis toi et ne bouge plus.
Un tabouret que j'ai dessiné avec mon bras articulé...
La peur m’envahie, je pris le tabouret, et je m’assied près de l’entrée, en attendant mon père. J’avais hâte qu’il rentre. Souvent je me levais, regardais la porte d’entrée vitrée en haut de quatre vitres. Soudain, une voix me crie :
(Arrête de bouger, donne moi le tabouret, reste debout sans remuer et ne tourne pas la tête.
Elle était assise près du fourneau, les jambes allongées devant la porte ouverte du four. Elle tricotait, ses deux mômes, jouaient dans la chambre. Jamais elle m’appela par mon prénom.
Tient dit-elle (prend la clé en face de toi, viens chercher le pot à charbon, et va à la cave le remplir.)
Madame dis-je, elle est ou la cave ? Idiot, elle est en bas ! Tout tremblotent, je descendais. J’avais la frousse, ((pas de la cave, seulement de cette bonne femme, qui n’était pas ma mère.) Je remontais son pot à charbon, et me dit retourne à ta place !!! Elle m’avait pris en grippe. Le soir venu, j’étais heureux. Mon père était là. J’ai vite déchanté, elle me faisait les yeux méchants, qui voulait dire : (retourne à ta place)
Mon père assis devant la table, buvait son verre de vin. Il m’appela, me prenait sur ses genoux et m’embrassa. Il me dit : (tu es content de ta nouvelle maison ? Je haussais les épaules (bofff). Allez, dit-il va jouer. Je partis dans la chambre voir Chantal et Didier ma demi sœur et mon demi frère. A peine que je commençais à jouer, Chantal cria : (maman, on ne veut de pas lui !) Je partis aussitôt en courant à ma place. Mon père ne disait rien. Il continua à boire son vin. Avec ma mère, il était autoritaire, il criait. La, rien ! Quelques jours plus tard, je ramenais mon bulletin scolaire.
Elle me disait : « tu vas va ton père ! »
« En attendant, apprend moi tes leçons, je t’interrogerai avant que ton père arrive. »
Toujours debout dans mon coin, je faisais semblant d’étudier, j’avais peur. Un peu plus tard, elle m’appelle, prit mon cahier et me dit : Je t’écoute !Je récitais la première phrase, puis plus rien. Je la voyais mettre le tisonnier dans le foyer du poêle. Dépêche toi, je pers patience. Je tremblais, une sensation désagréable me poursuivait.
Elle sortait le tisonnier, et me dit :
( donne ta main et présente moi tes doigts)
Elle sortit le tisonnier rouge et l’approcha de mes doigts. Je ne pensais qu’à fuir. Elle continua. Attention la prochaine fois…
Je retournais à ma place et je ruminais. Mon père arriva, elle lui dit (ton fils ne fou rien à l’école !!) Il ne disait toujours rien, il s’assied comme d’habitude, buvant son vin. Il sortit de sa poche sa paye et la donna à sa femme, qui s’écria : (on ira pas loin ce mois-ci !) La vie continuait. Elle prenait plaisir à me taper. Un jour, sortant de l’école, je m’attardais sur le chemin. En arrivant devant le grand portail vert, je tirais la ficelle de la cloche. Ma belle mère arriva en criant. Elle me prit par les deux oreilles, me souleva, et m’entraîna les pieds dans le vide. Me posa, me déshabilla et me lava à l’eau glacée du fameux robinet couvert de paille (que je t’avais parlé)
J’étais pétrifié par le froid, elle me faisait un mal terrible.
Elle me tira les choses de la vie… Ses mômes regardaient, ils rigolèrent en me montrant du doigt. Je n’avais qu’une hâte, pourvu que mon père arrive !!!
Je pensais fuguer, aller le plus loin possible. Ne plus la voir mêmes ses salopards de mômes de merde. Je n’en pouvais plus. Vivre dans la peur (non) . J’allais faire les courses à (l’union commerciale) magasin de l’époque. Comme je prenais cinq bouteilles vides de vin de la maison, je les faisais remplir dans ce magasin. J’allais chez le crémier avec mon pot à lait en aluminium, prenais du beurre, des œufs, et le bon lait de ferme. (Le patron ou mon père travaillait, n’avait pas de vache)) Puis à la boulangerie, un très grand pain. Tous les commerçants, me trouvait trop jeune pour porter toutes les courses. Ils jasaient entre eux. Le lendemain, mon père m’emmena voir maman, j’étais heureux. Pendant le trajet, je dis à mon père (la dame est méchante avec moi, papa !!!) Il fût semblant de ne pas m’écouter. Il était préoccupé, ma mère avait déménagé, il ne voulait pas me le dire de suite. Il préférait l’effet de surprise !
En arrivant dans la cour, je ne voyais pas mes sœurs jouer. Arrivé devant la porte de la maison, il y avait une pancarte ou était écrit (partie sans laisser d’adresse)
à suivre...
Je partis en courant, sans réfléchir ou aller. Je revins sur mes pas, en sautant dans les bras de mon père tout en sanglotant. Il me faisait la morale. La belle mère n’arrêtait pas de me frapper pour un oui ou pour un non. Auparavant, mon père avait fait une demande de logement. Il a été convoqué à Sarcelles visiter un appartement, et de signer les papiers. Il revînt à la maison de bonne humeur, embrassa sa femme, en lui donnant les clés. On déménagea dans une semaine. Le patron de la ferme où travaillait mon père, nous aida à nous installer. Mon père et ma belle mère, n’avait pas le permis. Le grand jour du déménagement arriva. Le patron de mon père venait boire un café (goutte) avant de commencer le boulot.
En arrivant à l’appartement, les voisins étaient à leur fenêtre. J’étais content de voir tout ce monde. Les deux mômes et la belle mère visitaient l’appartement, tandis que nous trois, on commençait à décharger la camionnette. On n’avait pas loin à aller, juste au rez-de-chaussée.
Dans tous les cas, il n’y avait pas grand- chose. A ma surprise générale, la belle mère avait déjà installé ses meubles qu’elle avait stocké chez sa sœur. Quand tout fût terminer, on passa à table, les hommes prenaient l’apéritif, les deux sales mômes regardaient la télévision, installés sur un fauteuil. Tandis que moi je restais à table. Le patron partit, la belle mère me dit : met toi au bout en face de ton père, Chantal et Didier, mettez-vous du côté fenêtre. Je n’avais pas le droit de regarder la télévision… Eux, oui ! (Bien sûr). Mon père me regarda, il devait comprendre le manège. C’était étrange, il ne disait rien, il buvait, ne mangeait rien pour ainsi dire. Il regarda l’heure, plia son couteau, il alla dans l’entrée, mit sa veste, son béret, prit sa musette, (dans celle-ci, il y avait toujours une bouteille de vin et un casse croûte) embrassa sa femme dans l’entrée que l’on ne voyait pas. La porte claqua. J’entendis le bruit du moteur de sa mobylette et partit au travail. C’était une vielle moto bleue. Il devait parcourir trois kilomètres (aller et retour).Certes, à partir de ce moment, la galère commença de plus belle.
A peine fini de manger, elle s’écria : débarrasse la table, lave la vaisselle et va à ta place. Avançant doucement pour regarder la télévision, elle me surprit, et vena en courant la langue pliée entre ses dents, (signe d’une dame méchante) et mit ses mains autour de mon cou, et serra si fort que mes pieds se mirent à piétiner le sol. Voyant mon comportement, elle me donna deux gifles, pour me remettre d’aplomb. Connaissant les symptômes, cela ne l’empêcha de continuer plus tard. Je criais, pleurais fort pour alerter les voisins. Sans sucés !un jour, en faisant la vaisselle, Je cassa un plat allant au four. Elle me frappa avec le balai sur la tête, sur le corps et le bas ventre. En esquivant une fois, le balai fût un trou dans la porte du sellier.(elles étaient creuses à l’intérieur) Elle était folle de rage. Je saignai de la tête, elle m’examina, et me soigna. Le lendemain, elle avait une course à faire, elle m’attacha sur mon lit et partait tranquille. Forcément, je faisais mes besoins sur moi.
Quand elle arriva, elle me corrigeait, me disait : (tu dormiras dans tes draps, ça t’apprendra et va laver ton slip dégueulasse). Mon père n’était pas au courant, je ne pouvais pas lui parler. Elle était toujours la. Mon père demande : (il reste des cigarettes) ? Non : dit-elle. Envois ton fils ! Je partis en courant, et revenais en courant car on était à table. Tous les soirs, mon père rentrait à 19 heures. Il prit comme tous les soirs, ses deux trois quatre verres de vin, et s’endormit à table. Au moment de manger, elle me disait : (va au lit). La nuit, je me levais sans faire de bruit. J’allais dans l’entrée regarder dans la musette de mon père, et pris le restant du casse croûte qu’il ne finissait jamais. Le lendemain, elle me dit : (viens ici, je vais te laver !) Je rentra dans la baignoire et me lava, je ne voyais plus rien, le savon me piquait les yeux, elle me faisait mal, je hurlais, plus je criais, plus elle plongeait ma tête sous l’eau. Je me débattais, les voisins du dessus tapaient sur leur plancher. Le drame arriva.
Elle me secouait, et me disait, (c’est de ta faute) elle mit ses mains autour de mon cou, et le même phénomène se produisit. Mon corps se mit à piétiner le fond de la baignoire, me donna une paire de gifle. Je tombais le menton sur le rebord de la baignoire. Elle prît peur à la vue du sang, vite elle prit une serviette, la metta sous mon menton et me dit (tais toi). On n’avait pas le téléphone. Elle alla chez le voisin en face pour demander d’appeler un médecin en disant : (mon fils est tombé sur le bord de la baignoire, il a le menton ouvert). Le médecin arriva, m’appliqua une pâte verte, puis me fit mal en m’agrafant le menton. (J’en ai encore les cicatrices). Mon père demanda : « qu’est ce qu’il a eut ? » Sa femme répondit : « il est tombé le menton sur le bord de la baignoire, il faisait l’imbécile ». J’avais peur de dire « non » à mon père. Je l’aimais tant, je me demandais (comment a-t-il pu se marier avec ce monstre ?) Je lui en voulais terriblement. Le lendemain, je commençais l’école, j’étais heureux. En entrant tous les jours à la maison, les coups, les étranglements, s’amplifiaient.
à suivre...