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Date de création : 13.01.2009
Dernière mise à jour : 03.03.2025
18365 articles


POLITIQUEMENT VOTRE

Pas de fumée sans feu

Publié le 08/06/2021 à 18:53 par roseedujour Tags : message sur france saint homme

Le chef de l'Etat a été giflé mardi par un individu lors de son déplacement dans la Drôme, à la rencontre des restaurateurs.

© Fournis par franceinfo

Si Emmanuel Macron poursuit sa visite comme si de rien n'était, la gifle qu'il a reçue mardi 8 juin en marge de son déplacement dans la Drôme, indigne les responsables politiques. Dès le début des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, le Premier ministre a pris la parole pour dénoncer cette agression. "La politique, ça ne peut en aucun cas être la violence, l'agression verbale, et encore moins l'agression physique. J'en appelle à un sursaut républicain, nous sommes tous concernés, il en va des fondements de notre démocratie", a déclaré Jean Castex.

Le président de la République a été frappé au visage par un homme poussant le cri de guerre royaliste "Montjoie Saint Denis", puis "A bas la macronie !", alors qu'il s'approchait pour saluer un groupe de personnes présent à la sortie du lycée hôtelier de Tain-l'Hermitage.

 

La gauche exprime son soutien et pointe "les menaces de l'extrême droite"

 

Jean-Luc Mélenchon a immédiatement réagi à l'agression. Sur Twitter, il a exprimé sa solidarité avec le chef de l'Etat, en évoquant le passage à l'acte d'individus "violents". Dans la foulée, d'autres représentants de La France insoumise, parmi lesquels les députés Alexis Corbière et Eric Coquerel, ont condamné cette agression, en pointant du doigt l'extrême droite et les royalistes, selon eux à l'origine de l'événement. Eric Coquerel fait également le lien dans son message avec la récente affaire de Papacito.

Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a affirmé que "la République doit être unie pour combattre toutes les violences".

"Intolérable", "inadmissible"... A gauche comme à droite, les responsables politiques condamnent unanimement l'agression d'Emmanuel Macron (msn.com)

Le Point
Gifle à Macron: Damien Tarel condamné à quatre mois ferme et incarcéré
SOURCE AFP - Il y a 3 h

Bernard Tapie hospitalisé : son état "épouvantable"

Publié le 28/05/2021 à 11:38 par roseedujour Tags : cadre sur france homme article mort
Bernard Tapie hospitalisé : son état "épouvantable"

Bernard Tapie est hospitalisé, a révélé Laurent Tapie sur BFM TV. Le fils de l'homme d'affaires explique que son père est dans un état préoccupant et ne pourra pas assister à la fin de son procès...

Bernard Tapie hospitalis&eacute;&nbsp;: son &eacute;tat &quot;&eacute;pouvantable&quot;

 

[Mis à jour le 27 mai à 11h56] Laurent Tapie, très inquiet pour son père, a décidé de partager son "incompréhension" sur BFM TV concernant la décision de la cour d'appel de Paris de rejeter la demande de report du procès de son père pour des raisons de santé. Et pour cause, Bernard Tapie est actuellement hospitalisé, a annoncé son fils.
"De nouvelles tumeurs sont apparues. Aujourd'hui, il en a une au cerveau, soignée par radiothérapie, deux dans les reins, dans l'abdomen, il en a un peu partout de petites tailles. Il a de la chimiothérapie, de l'immunothérapie. Il a eu une intervention chirurgicale." Et d'ajouter: "Les chances statistiques à ce stade-là sont épouvantables".

 
Bernard Tapie, au plus mal : "deux nouvelles tumeurs"

Pascal Praud a donné des nouvelles peu rassurantes de Bernard Tapie. Il a révélé que l'homme d'affaires souffrait de deux nouvelles tumeurs...

Bernard Tapie est actuellement poursuivi pour escroquerie et détournement de fonds dans le cadre de l'arbitrage de son contentieux avec le Crédit lyonnais en 2007. Terriblement affaibli par la maladie, l'homme d'affaires, atteint de multiples cancers, a demandé le report de son procès pour subir de nouvelles interventions médicales. Une requête rejetée mardi 25 mai par la cour d'appel de Paris, contraignant l'homme de 78 ans à ne pas assister à la fin de son procès.

Aides d'Etat : Plus que quelques mois pour profiter de l'isolation sans frais

 

"Il souffre de nouvelles tumeurs aux reins et au cerveau"

Si l'ancien président de l'Olympique de Marseille mène un combat acharné depuis plusieurs années contre maladie, les dernières nouvelles sont mauvaises.

Selon Pascal Praud, qui s'est exprimé dans son émission L'heure Des Pros, le 25 mai, Bernard Tapie souffrirait de deux nouvelles tumeurs: "Je l'ai eu il y a cinq minutes. Il a demandé un report parce qu'il souffre de nouvelles tumeurs aux reins et au cerveau. C'est un homme qui mène un combat contre la mort depuis des semaines, depuis des mois. Il y a deux nouvelles tumeurs qui sont apparues".

 

Selon le journaliste de Cnews, il y a urgence. "Les professeurs de médecine lui disent qu'il faut soigner ça tout de suite", a-t-il révélé.

  • Bernard Tapie : le traitement interdit qui le plonge dans un "état végétatif"

    Bernard Tapie a révélé qu'il était au "plus mal". L'homme d'affaires de 77 ans, atteint d'un double cancer, subit un traitement en Belgique, interdit en France, dont les effets secondaires le plongent dans un "état végétatif".

 
Une décision qui passe mal

Bernard Tapie n'assistera pas à la fin de son procès. Pascal Praud n'a pas caché sa colère concernant la décision de la cour d'appel qui a refusé le renvoi du procès.

"Il a assisté à la première semaine du procès. Et pour la deuxième semaine, il veut sauver sa peau. Donc il veut subir ces traitements et demande un report de son audience. Que fait cette justice ? Elle dit non. Elle refuse le report", s'est-il offusqué.

Vladimir Poutine promet de

Publié le 21/05/2021 à 10:36 par roseedujour Tags : image png article sur monde pouvoir
«Vladimir Poutine promet de casser les dents» de ceux qui s'en prendraient à la Russie
 
 
Vladimir Poutine, qui est coutumier de ce genre de propos, s'exprimait lors d'une visioconférence avec des organisations patriotiques.© AP - Sergei Ilyin Vladimir Poutine, qui est coutumier de ce genre de propos, s'exprimait lors d'une visioconférence avec des organisations patriotiques.

Vladimir Poutine a fait cette déclaration au cours d’une visioconférence avec des organisations patriotiques. Des propos à prendre avec précaution, car le président russe est coutumier de ce type de formules chocs.

Avec notre correspondant à Moscou, Daniel Vallot

« Dès que la Russie devient forte, un prétexte est trouvé pour limiter son développement. C’était le cas hier et c’est le cas aujourd’hui », estime Vladimir Poutine lors d'une visioconférence avec des organisations patriotiques. Aux yeux du président russe, même amputé d’un tiers de son potentiel depuis la chute de l’URSS, la Russie continue d’être trop grande et puissante pour certains. 

« Publiquement, ils osent dire que c’est injuste qu’un seul pays puisse avoir autant de richesses. Et donc tout le monde veut nous grignoter ou nous mordre. Mais ceux qui ont cette intention doivent savoir que nous leur casserons les dents ! C’est une évidence. Et la garantie de cela, c’est le développement de nos forces armées », fait-il valoir.

La déclaration est d’autant plus fracassante qu’elle intervient juste après une rencontre qualifiée de « constructive » entre les ministres russes et américains des Affaires étrangères. Un premier entretien à ce niveau depuis l’arrivée au pouvoir de Joe Biden, qui laissait espérer un apaisement des tensions entre Moscou et Washington.

Pour autant, la formule très agressive de Vladimir Poutine ne signifie pas forcément que le président russe a l’intention de renoncer à ce début de dialogue. Le président russe est en effet coutumier de ces phrases chocs, prononcées parfois sur le ton de la blague. Sans que l’on sache réellement s’il faut les prendre au pied de la lettre. 

viol -Prescription O. Duhamel

Publié le 15/04/2021 à 15:52 par roseedujour
viol -Prescription O. Duhamel

PRESCRIPTION POUR CE VIOLEUR / NON NON ET NON 

DATI -MACRON

Publié le 15/04/2021 à 15:49 par roseedujour
DATI -MACRON

politiquement votre

fiestas" à l'Assemblée nationale

Publié le 15/04/2021 à 09:22 par roseedujour Tags : image france png mode article mort message sur air
VIDEO TPMP : une députée affirme qu'il y aurait des "fiestas" à l'Assemblée nationale
 
VIDEO TPMP : une députée affirme qu'il y aurait des "fiestas" à l'Assemblée nationale© C8 - SCREENSHOT VIDEO TPMP : une députée affirme qu'il y aurait des "fiestas" à l'Assemblée nationale

Mercredi 14 avril, Martine Wonner, députée du Bas-Rhin, exclue de La République en Marche en mai dernier, était invitée sur le plateau de Touche pas à mon poste. Elle a affirmé que des députés organiseraient des "fiestas" à l'Assemblée nationale.

Martine Wonner, députée du Bas-Rhin, exclue du parti La République en Marche en mai dernier, s'est illustrée depuis le début de la pandémie pour ses propos polémiques. Et cela n'est visiblement pas près de s'arrêter. Récemment, c'est en participant à un rassemblement anti-vaccin où le port du masque n'était pas respecté, à Quimperlé, dans le Finistère, qu'elle s'est fait remarquer. Lors de cette manifestation, elle a qualifié les vaccins à ARN messager, Pfizer et Moderna, "d'espèce de cochonnerie génétiquement modifiée". Elle a également déclaré que les personnes se faisant vacciner étaient des "cobayes". Des propos qu'elle est venue expliciter sur le plateau de Touche pas à mon poste, mercredi 14 avril. "Je ne suis pas du tout anti-vaccin", a précisé Martine Wonner à Cyril Hanouna, ajoutant : "Il faut être prudent. Ces vaccins ont été fabriqués extrêmement rapidement, et on n'a pas de recul".

 
 
VOICI VIDEO TPMP : une député affirme qu'il y aurait des "fiestas" à l'Assemblée nationale
 
"Petites fiestas dans les bureaux de l'Assemblée nationale"

Depuis la participation de Martine Wonner, non masquée, à la manifestation dans le Finistère, plusieurs députés ont demandé à ce qu'elle ne revienne pas à l'Assemblée pendant une semaine, afin d'éviter tout risque de contamination. Ce qu'elle ne comprend "pas du tout". "Parce que cette manifestation à Quimperlé s'est tenue au grand air, et même le professeur Flahault, qui est un grand épidémiologiste, a encore redit qu'il n'y avait aucun cluster à l'extérieur", a-t-elle argué. Et la députée en a profité pour tacler ses confrères au passage : "Ce qui est absolument incroyable c'est que je suis stigmatisée par mes collègues parlementaires, et les mêmes qui souhaiteraient que je ne revienne pas à l'Assemblée ou qu'on m'interdise de revenir font quelques petites fiestas dans les bureaux. Et le lendemain on retrouve des cadavres de bouteilles…" "Ils ne sont peut-être pas plus de six ?", a indiqué Cyril Hanouna"J'ai pas été vérifier… Mais enfin, six à boire autant d'alcool…", a-t-elle rétorqué. Des accusations graves.

il aurait perdu ses nerfs......

Publié le 08/04/2021 à 10:21 par roseedujour Tags : image sur monde png couples chez article femme photos maison rose heureux livre
Emmanuel Macron "ulcéré" par Brigitte Macron : il aurait perdu ses nerfs après une remarque de sa femme
 
imageEmmanuel Macron "ulcéré" par Brigitte Macron : il aurait perdu ses nerfs après une remarque de sa femme© ABACA Emmanuel Macron "ulcéré" par Brigitte Macron : il aurait perdu ses nerfs après une remarque de sa femme

Dans son livre Le Jour d’après, paru ce mercredi 7 avril, Philippe de Villiers revient sur un dîner qu'il a partagé avec Emmanuel et Brigitte Macron bien avant la crise sanitaire. Au cours de celui-ci, une tension se serait fait ressentir entre les deux époux.

Tout n'est pas si rose dans le merveilleux monde de Brigitte et Emmanuel Macron. Ils ont beau s'afficher heureux et unis depuis treize ans cela ne les empêche pas, comme tous les couples, de connaître quelques tensions. Ce fut vraisemblablement le cas en octobre 2018, lorsque l'affaire Alexandre Benalla était au cœur de l'actualité. Dans une rage folle en raison des multiples polémiquesla première dame aurait flanqué "une déculottée" au président de la République. "Il faut arrêter les co******* maintenant !", lui aurait-elle lancé lors d'un huis clos. Manque de chance des officiers de sécurité, qui ont rapporté l'affaire, ont tout entendu. Ils ne sont les seuls à avoir la langue bien pendue puisque l'ancien député européen Philippe de Villiers vient de sortir un livre, Le Jour d’après, dans lequel il évoque lui aussi un prise de bec entre les deux époux. Celle-ci se serait déroulée bien avant la pandémie de Covid-19, à un moment où le trio aurait eu l'occasion d'échanger sur des sujets tels que l'islamisme ou la colonisation.

Emmanuel Macron aurait perdu ses nerfs

Ce jour-là, Philippe de Villiers aurait profité de sa proximité avec Emmanuel Macron pour lui exposer franchement son point de vue. Une entreprise dans laquelle il aurait été encouragé par la première dame, laquelle aurait lancé : "Il lui manque des chiens d’avalanche. Il le sait et s’en désole". Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que le fondateur du Puy du Fou n'y serait pas allé de main morte. "Emmanuel, si vous me permettez, vous êtes le Charles Martel du pauvre, qui part avec une épée en carbone bénir la mosquée de Poitiers", aurait-il déclaré selon un extrait dévoilé par Le PointDe quoi décontenancer le chef de l'Etat, qui aurait eu "un drôle de regard", comme "halluciné".

Si Emmanuel Macron aurait perdu ses moyens, c'est aussi car son épouse Brigitte Macron aurait soutenu Philippe de Villiers. Au cours du dîner elle aurait en effet déclaré qu'on "peut ne pas toujours être d'accord avec son mari". Un désaveu public qui aurait fait enrager le successeur de François Hollande. "Emmanuel est ulcéré. Le coq a le dessous. Il se braque, il perd ses nerfs (…) D’un bon, il se lève, il va quitter la table… Il a déjà repoussé sa chaise en arrière", écrit dans son livre Philippe de Villiers, selon lequel Emmanuel Macron "n’est pas à la hauteur de sa fonction"...

Française de l’ONU menacée, Paris muet

Publié le 27/03/2021 à 16:14 par roseedujour Tags : chez monde image png mode article sur france place travail fete mort maison
Une rapporteuse française de l’ONU menacée, Paris muet
 
 
 
Pierre Alonso
 
Il y a 6 heures
imageAgnès Callamard, ancienne rapporteuse spéciale de l'ONU, ici le 26 juin.© Fabrice Coffrini Agnès Callamard, ancienne rapporteuse spéciale de l'ONU, ici le 26 juin.

Dans le huis clos d’une réunion onusienne à Genève, un haut responsable saoudien a menacé, en son absence, la Française Agnès Callamard, rapporteuse spéciale des Nations unies sur les exécutions extrajudiciaires. La scène s’est déroulée en janvier 2020, quelques mois après la publication de son rapport d’enquête sur l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Selon le Guardianles diplomates saoudiens ont d’abord critiqué ce travail de Callamard, et répété l’accusation infondée selon laquelle la rapporteuse spéciale aurait reçu de l’argent du Qatar, alors en guerre froide avec Riyad.

Interprétés comme «une menace de mort»

L’un des officiels saoudiens a ensuite prétendu avoir reçu des coups de téléphone de personnes se disant prêtes à «s’occuper d’elle». Face aux réactions indignées, la délégation saoudienne a tenté de minimiser. Mais un membre a réitéré à la fin de la réunion. Selon Agnès Callamard, qui s’est confié au quotidien britannique, ses collègues présents ont interprété ces propos comme «une menace de mort». Le porte-parole du bureau des droits de l’homme de l’ONU a confirmé ces informations après leur publication cette semaine.

Riyad a démenti cette interprétation, par l’intermédiaire de son chef de la commission des droits de l’homme : «Bien que je ne me souvienne pas des conversations exactes, je n’aurais jamais voulu nuire à une personne nommée par l’ONU, ou à qui que ce soit d’ailleurs.» «Je rejette cette suggestion dans les termes les plus forts», a écrit sur Twitter Awwad Alawwad, ancien ministre, se désolant que ces propos aient pu «être interprété [s] comme une menace».

Un diplomate occidental en poste à Genève, cité anonymement par Reuters, estime que les faits décrits sont suffisamment graves et précis pour mériter une «enquête approfondie par les autorités adéquates des Nations Unies». La France, elle, est restée muette. Aucune déclaration ni communiqué n’avaient été publiés vendredi en fin de journée. Sollicité, le ministère des Affaires étrangères ne nous a pas répondu.

Affaires sensibles

Agnès Callamard, dont le mandat à l’ONU vient de se terminer, a dénoncé vendredi sur Twitter «la menace éhontée à [son] encontre par l’Arabie saoudite» : «Les tactiques d’intimidation ne devraient être nulle part possibles. Elles n’ont pas leur place à l’ONU», a-t-elle plaidé, critiquant les «Etats qui se comportent comme des voyous à New York ou Genève».

A ce poste depuis 2017, Agnès Callamard, qui deviendra la semaine prochaine secrétaire générale d’Amnesty Internationale, a eu à traiter d’affaires sensibles, comme l’assassinat ciblé du général iranien Qassem Soleimani, qualifié d’«arbitraire» au vu des justifications insuffisantes fournies par Washington. Elle avait aussi dénoncé les mensonges de l’Iran à propos de la destruction par deux missiles d’un avion civil de la compagnie Ukraine International Airlines, en janvier 2020. Aux côtés d’Irene Khan, rapporteuse spéciale sur la liberté d’expression, elle avait demandé une enquête internationale sur l’empoisonnement d’Alexeï Navalny, dont la Russie «est responsable».

Son enquête sur le meurtre en 2018 à Istanbul de l’éditorialiste saoudien Jamal Khashoggi avait mis en cause le prince héritier Mohammed ben Salmane, et lui avait attiré les foudres de Riyad. D’autant qu’Agnès Callamard appelait les Etats-Unis à mener leurs propres investigations. Il faudra attendre l’arrivée à la Maison Blanche de l’administration Biden pour que les résultats, incriminant là aussi MBS, soient publiés. Sans que le tout-puissant prince héritier ne soit inquiété.

Nicolas Sarkozy

Publié le 03/03/2021 à 21:15 par roseedujour Tags : article png coupable image sur france photo homme belle coeur annonce fille message
Nicolas Sarkozy condamné à de la prison ferme : la réaction cash de sa belle-mère Marisa Bruni-Tedeschi
Nicolas Sarkozy condamné à de la prison ferme : la réaction cash de sa belle-mère Marisa Bruni-Tedeschi© BestImage Nicolas Sarkozy condamné à de la prison ferme : la réaction cash de sa belle-mère Marisa Bruni-Tedeschi

A quelques heures de l’interview de Nicolas Sarkozy sur TF1, à la suite de sa condamnation dans l’affaire “des écoutes téléphoniques”, sa belle-mère Marisa Bruni-Tedeschi lui a adressé un gros message de soutien sur Instagram.

C’est la deuxième fois qu’un événement d’une telle ampleur se produit en FranceNicolas Sarkozy a été condamné à de la prison ferme le lundi 1er mars, dans l’affaire dite “des écoutes téléphoniques”. Deuxième ancien chef de l’Etat à être condamné sous la Vème République après Jacques Chirac, il s’exprimera ce mercredi 3 mars en direct dans le 20 heures de TF1. Un entretien assuré par Gilles Bouleau et qui sera retransmis sur LCI. Le mari de Carla Bruni a été reconnu coupable de trafic d’influence et de corruption et a été condamné à trois années de prison dont une ferme. Une peine qui pourrait être aménagée avec un port de bracelet électronique à domicile.

Connu pour sa détermination, Nicolas Sarkozy a annoncé son intention de faire appel par la voix de son avocate“Il n'est ni groggy, ni abasourdi. Nicolas Sarkozy est quelqu'un qui réagit avec beaucoup de calme, beaucoup de détermination. Il est au contraire de ça, il est dans l'étape suivante. Le jugement est derrière, il n'existe plus. Il est frappé d'appel, il est anéanti par l'appel. La peine qui a été prononcée n'existe pas. La déclaration de culpabilité qui a été prononcée n'existe plus. Nous sommes dans l'appel”, a indiqué Me Jacqueline Laffont sur le plateau de BFM.

« Ils auront honte »

Depuis l’annonce de cette condamnation, les soutiens se font rares mais sont toutefois bien présents pour Nicolas Sarkozy. Si Carla Bruni et Cécilia Attias ont soutenu le prédécesseur de François Hollande, il a également pu compter sur Gérald Darmanin, dont le message a provoqué un tollé sur les réseaux sociaux. A quelques heures de l’interview de Nicolas Sarkozy sur TF1, sa belle-mère Marisa Bruni-Tedeschi a elle aussi tenu à le soutenir. Sous un portrait de l’ancien locataire de l’Elysée, la mère de Carla Bruni a écrit : “Ils auront honte. Ils ne connaissent pas le mot respect”. Sous une autre publication, elle a ajouté : “Dommage qu'Émile Zola ne soit pas là. Tu les écraseras”. Et enfin, sous une troisième publication, Marisa Bruni-Tedeschi a ajouté : “Comme ces choses que les chiens laissent sur les trottoirs et que l’on écrase avec un pied”. Ça a le mérite d’être clair.

À la suite du passage de son époux au 20h de TF1, l'ex première Dame a dénoncé une "injustice" et publié une image de la Marianne, symbole de la République, en larmes...

DERNIÈRE MINUTE - Carla Bruni "en larmes" et le "coeur brisé" sur Instagram : la publication qui veut tout dire...DERNIÈRE MINUTE - Carla Bruni "en larmes" et le "coeur brisé" sur Instagram : la publication qui veut tout dire...

Quarante huit heures après l'annonce de sa condamnation à de la prison ferme dans l'affaire dite des "écoutes", Nicolas Sarkozy était reçu par Gilles Bouleau sur le plateau du JT de 20H de TF1. Ce mercredi soir, l'ancien président de la République a en effet répondu aux questions du journalistes et donné sa version des faits.

"Cela fait 10 ans que des moyens considérables sont mis en œuvre pour trouver quelque chose à me reprocher. Je suis venu dire aux Français que j'ai toujours assumé mes responsabilités. C'est une injustice, et je ne baisserai pas la tête. En 2021, comment peut-on peut condamner un homme après 7 ans d'enquête sans l'ombre d'une preuve ?", a-t-il notamment déploré à l'antenne.  

"Comment peut-on, dans une affaire de corruption où il n'y a pas un centime, pas une victime, pas un trouble à l'ordre public, mobiliser le tribunal correctionnel pendant 3 semaines ?", s'est ensuite interrogé le papa de Louis et compagnon de Carla Bruni. 

Carla Bruni qui, après cette intervention, s'est ruée sur son compte Instagram pour le soutenir, une nouvelle fois. L'ex-mannequin et chanteuse a publié une image de la Marianne en larmes et un coeur brisé dans une légende très claire : "À tes côtés pour toujours @nicolassarkozy #injustice."

  Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par Carla Bruni (@carlabruniofficial)

 

Guerre d'Algérie

Guerre d'Algérie : quatre questions sur la reconnaissance par la France de l'assassinat de l'avocat et dirigeant Ali Boumendjel
 
 
 
Franceinfo
© Fournis par franceinfo

Emmanuel Macron a reconnu auprès des descendants d'Ali Boumendjel le crime perpétré par l'armée française, suivant les préconisations du rapport de l'historien Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d'Algérie.

La France avoue un mensonge d'Etat. Emmanuel Macron a reconnu, mardi 2 mars, que l'avocat et dirigeant nationaliste Ali Boumendjel avait été "torturé et assassiné" par l'armée française, pendant la guerre d'Algérie, en 1957. A l'époque, son assassinat avait été maquillé en suicide. Franceinfo revient sur cette annonce en quatre questions.

 

Qu'a déclaré Emmanuel Macron ?

 

"Au nom de la France", Emmanuel Macron a annoncé en personne cette reconnaissance à quatre petits-enfants d'Ali Boumendjel reçus à l'Elysée, mardi. "Au cœur de la Bataille d'Alger, il fut arrêté par l'armée française, placé au secret, torturé, puis assassiné, le 23 mars 1957"détaille l'Elysée dans un communiqué.

En 2000, "Paul Aussaresses [ancien responsable des services de renseignement à Alger] avoua lui-même avoir ordonné à l'un de ses subordonnés de le tuer et de maquiller le crime en suicide", écrit l'Elysée. L'avocat a été jeté du sixième étage d'un immeuble, après avoir été "assommé d'un coup de manche de pioche derrière la nuque", racontait le général dans son livre Services spéciaux, Algérie 1955-1957 (publié en 2001).

 

Que disait la France à l'époque ?

 

En 1957, la version officielle affirme que l'avocat s'est suicidé en se jetant de la terrasse du sixième étage d'un immeuble. Ni sa famille ni ses proches dans les cercles militants ne croient à cette thèse, dans ce qui devient aussitôt "l'affaire Boumendjel". De plus, la thèse du suicide a connu plusieurs versions. Lorsque sa famille apprend sa mort, "on nous avait prétendu qu'Ali, arrêté par l'armée quarante-trois jours plus tôt, avait fait une tentative de suicide. Il avait prétendument essayé de se couper les veines avec ses lunettes"avait raconté au Monde (article abonnés), en 2001, Malika Boumendjel, la veuve de l'avocat.

La famille d'Ali Boumendjel reçoit en 1957 de nombreuses lettres de condoléances, dont celles de Pierre Mendès-France et François Mauriac, "qui s'excusèrent dès le lendemain au nom de la France". L'ami et professeur de droit d'Ali Boumendjel, le juriste et homme politique René Capitant, démissionne de la faculté de droit, pour protester contre "de telles pratiques, auxquelles, même en pleine guerre, nous n'avons jamais soumis les prisonniers allemands".

"En mars 1957, la presse annonce la mort d'un 'petit avocat musulman'"a rapporté France Culture, citant un livre de l'historienne Malika Rahal, Ali Boumendjel : une affaire française, une histoire algérienne"Qui a tué Maître Boumendjel ?" titrait aussi France Observateur, alors qu'émergeaient déjà les interrogations sur un faux suicide.

 

Pourquoi une telle annonce maintenant ?

 

La reconnaissance de ce crime par la France fait partie des préconisations du rapport Stora sur la colonisation et la guerre d'Algérie, afin de résoudre les tensions autour de la mémoire de ce conflit. Ce document, remis le 20 janvier, a soulevé de vives critiques, aussi bien en France qu'en Algérie, notamment pour ne pas avoir préconisé des "excuses" de Paris pour la colonisation.

"La génération des petits-enfants d'Ali Boumendjel doit pouvoir construire son destin, loin des deux ornières que sont l'amnésie et le ressentiment, explique l'Elysée, dans son communiqué du 2 mars. C'est pour eux désormais, pour la jeunesse française et algérienne, qu'il nous faut avancer sur la voie de la vérité, la seule qui puisse conduire à la réconciliation des mémoires."

"Aucun crime, aucune atrocité commise par quiconque pendant la Guerre d'Algérie ne peut être excusé ni occulté. Ils doivent être regardés avec courage et lucidité."

l'Elysée

dans un communiqué

Ce "geste de reconnaissance" "n'est pas un acte isolé", prévient l'Elysée, ajoutant que "ce travail sera prolongé et approfondi au cours des prochains mois, afin que nous puissions avancer vers l'apaisement et la réconciliation".

"Nous ne privilégierons pas de bonnes relations au détriment de l'histoire et de la mémoire, mais les problèmes se règlent avec intelligence et dans le calme, et non avec des slogans", a affirmé lundi soir le président algérien Abdelmadjid Tebboune. A l'approche du 60e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie et de la fin de la guerre, en 2022, Paris et Alger ont fait de cette "réconciliation des mémoires" un dossier prioritaire, sur lequel Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune se sont engagés à travailler ensemble.

 

Quelles sont les réactions ?

 

L'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault a "salué" la décision d'Emmanuel Macron. "Regarder l'histoire en face, c'est être plus fort ensemble", a-t-il écrit sur Twitter. Karim Bouamrane, maire de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), a évoqué sur le même réseau social un "moment historique pour les relations entre la France et l'Algérie""Notre République en sort grandie", a-t-il jugé.

"Quand donc l'Algérie du FLN avouera-t-elle aussi ses crimes horribles enfermés dans une époque de terreur ?" s'est interrogé Gilbert Collard, député européen, apparenté au Rassemblement national, critiquant Emmanuel Macron.

De son côté, l'historien Benjamin Stora s'est contenté de partager sur Twitter des articles rapportant l'annonce d'Emmanuel Macron, sans davantage de commentaire.

 

AUSSI SUR MSN - Algérie : "le système Bouteflika est toujours là", déplore l'opposante Zoubida Assoul

 
 
 
Algérie : "le système Bouteflika est toujours là", déplore l'opposante