- Pas du tout : n'ai-je pas démontré que, quand deux personnes s'aimaient, l'une des deux devait disparaître pour rétablir le singulier?
- Vous n'allez pas me dire que vous avez tué Léopoldine pour respecter votre idéal grammatical?
- La cause vous paraît-elle si futile? Connaissez-vous nécessité plus impérieuse que la conjugaison? Apprenez, petit avatar, que si la conjugaison n'existait pas, nous n'aurions même pas conscience d'être des individus distincts, et cette sublime conversation serait impossible.