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j ai tout enregistré merci!!!
bonj our mon amie brigitte
une bonne fête a toutes les mamies
un tout beau d
Par douceuretdetente, le 02.03.2025
bonsoir après une très longue absence je vais essayer de revenir parmi vous en attendant je te souhaite une bo
Par puce, le 01.03.2025
bon w end a toutes les 2
a lundi on sera deja en mars
bisous http://lescock ersdemaryse.ce nterblog.net
Par lescockersdemaryse, le 28.02.2025
j ai adoré ton texte précédent
l estime de soi et oui je médite bizzzzzzzzz
c hristiane http://douceur etde
Par douceuretdetente, le 28.02.2025
bonjour mon amie brigitte
aure voir février
et mars nous arrive avec
la joie de revoir le printemps bient
Par douceuretdetente, le 28.02.2025
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Date de création : 13.06.2011
Dernière mise à jour :
02.03.2025
11573 articles
Si le cerveau des personnes âgées est lent, c'est parce qu'ils savent déjà tellement de choses.
La mémoire des gens ne diminue pas avec l'âge, si cela leur prend plus de temps à se rappeler des faits, c'est, d'après les scientifiques, parce qu'ils ont plus d'informations dans leur cerveau.
Tout comme un ordinateur rame quand le disque dur est trop plein, les humains prennent plus de temps pour accéder aux informations lorsque leur cerveau est plein.
Les chercheurs disent que ce processus de ralentissement n’est pas le même que le déclin cognitif.
Le cerveau humain fonctionne plus lentement à l’âge avancé, a déclaré le Dr Michael Ramscar, seulement parce que nous avons stocké plus d'informations au fil du temps.
Le cerveau des personnes âgées n'est pas faible, bien au contraire, ils en savent tout simplement plus...
Lorsqu'une personne âgée va dans une autre pièce pour y chercher quelque chose, qu'elle y arrive et se demande ce qu'elle est venue chercher, ce n’est pas un problème de mémoire, c’est un moyen naturel pour l'obliger à faire plus d'exercice.
ALORS, maintenant, quand je cherche un mot ou un nom, je me dis :
"Mon disque est plein!"
J'ai probablement d'autres amis à qui je devrais envoyer ce message, mais en ce moment je ne me souviens pas de leurs noms.
Aussi, s'il-vous-plaît, faites-le suivre à vos amis, il se pourrait qu'ils soient aussi les miens ..."
Un beau partage rassurant ...
Il suffit de sourire et de se dire "Juste mon disque qui est plein!"...
Mais ayant reçu ce beau partage...j'ai eu envie d'en savoir plus...
Et plus scientifiquement?
Mémoire
Dossier réalisé en collaboration avec le Pr. Francis Eustache, Directeur de l'unité Inserm-EPHE-UCBN U1077 "Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine" – Octobre 2014
La mémoire permet d'enregistrer des informations venant d'expériences et d'événements divers, de les conserver et de les restituer. Différents réseaux neuronaux sont impliqués dans différents types de mémorisation. La meilleure connaissance de ces processus améliorent la compréhension de certains troubles mnésiques et ouvrent la voie à des interventions possibles dans l’avenir.
La mémoire repose sur cinq systèmes de mémoire
Image : sciences et vie
La mémoire se compose de cinq systèmes de mémoire impliquant des réseaux neuronaux distincts bien qu’interconnectés :
La mémoire de travail (à court terme) est au cœur du réseau.
La mémoire sémantique et la mémoire épisodique sont deux systèmes de représentation consciente à long terme.
La mémoire procédurale permet des automatismes inconscients.
La mémoire perceptive est liée aux sens.
Cet ensemble complexe est indispensable à l’identité, à l’expression, au savoir, aux connaissances, à la réflexion et même à la projection de chacun dans le futur.
La mémoire de travail
La mémoire de travail (ou mémoire à court terme) est en fait la mémoire du présent. Elle permet de retenir des informations pendant quelques secondes, voire quelques dizaines de secondes. Nous la sollicitons en permanence à chaque instant, par exemple pour retenir un numéro de téléphone le temps de le noter. Dans la plupart des cas, les mécanismes neurobiologiques associés à la mémoire de travail ne permettent pas le stockage à long terme de ce type d’informations : leur souvenir est vite oublié. Néanmoins, il existe des interactions entre le système de mémoire de travail et ceux de la mémoire à long terme. Elles permettent la mémorisation de certains événements et, ainsi, de se remémorer des souvenirs anciens face à certaines situations présentes, afin de mieux s’adapter.
7, le nombre magique
Le chiffre 7 serait le "nombre magique" de la mémoire de travail.
Il s’agit du nombre d’éléments pouvant être mémorisés simultanément à court terme, avec une marge de plus ou moins deux événements.
En moyenne, nous sommes donc tous capables de retenir pendant quelques secondes entre 5 et 9 items.
Par exemple, la suite [7, 9, 6, 4, 0, 9, 2] représente 7 chiffres.
Elle peut aussi se lire [796, 409, 2] ce qui n’en représente plus que trois (et laisse la possibilité de retenir quatre autres items).
De même, une suite de mots longs et compliqués comme [perroquet, colibri, araignée, diplodocus, chimpanzé, kangourou, ornithorynque] représente 7 mots que l’on peut retenir, bien qu’elle soit composée d’un bien plus grand nombre de lettres.
Divers procédés mnémotechniques utilisent cette propriété de notre cerveau pour élargir les capacités de la mémoire de travail.
La mémoire sémantique
La mémoire sémantique permet l’acquisition de connaissances générales sur soi (son histoire, sa personnalité) et le monde (géographie, politique, actualité, nature, relations sociales ou encore expérience professionnelle).
C’est la mémoire du savoir et de la connaissance.
Elle concerne des données personnelles accessibles à notre conscience et que l’on peut exprimer.
La mémoire épisodique
La mémoire épisodique est une forme de mémoire explicite.
Elle permet de se souvenir de moments passés (événements autobiographiques) et de prévoir le lendemain.
En effet, lorsqu’on demande à une personne d’évoquer un souvenir qui s’est déroulé au cours des derniers mois ou de penser aux prochaines vacances afin d’imaginer ce qui va s’y passer, ce sont les mêmes circuits cérébraux qui sont activés.
Les détails des souvenirs épisodiques se perdent avec le temps (où, quand et comment l’événement s’est-il passé ?).
Les traits communs aux différents événements vécus s’amalgament les uns aux autres pour devenir des connaissances qui ne sont plus liées à un événement particulier.
La plupart des souvenirs épisodiques se transforment donc, à terme, en connaissances générales.
La mémoire procédurale
La mémoire procédurale est la mémoire des automatismes.
Elle permet de conduire, de marcher, de faire du vélo ou du ski sans avoir à réapprendre à chaque fois.
Cette mémoire est particulièrement sollicitée chez les artistes ou encore les sportifs pour acquérir des procédures parfaites et atteindre l’excellence.
Ces processus sont effectués de façon implicite, c’est à dire inconsciente.
La personne ne peut pas vraiment expliquer comment elle procède, pourquoi elle tient en équilibre sur ses skis ou descend sans tomber.
Les mouvements se font sans contrôle conscient et les circuits neuronaux sont automatisés.
La mémoire perceptive
La mémoire perceptive dépend des modalités sensorielles, notamment de la vue pour l’espèce humaine.
Cette mémoire fonctionne beaucoup à l’insu de l’individu.
Elle permet de retenir des images ou des bruits sans s’en rendre compte.
C’est elle qui permet à une personne de rentrer chez elle par habitude, grâce à des repères visuels.
Cette mémoire permet de se souvenir des visages, des voix, des lieux.
La mémoire fonctionne en réseaux
Du point de vue neurologique, il n’existe pas "un" centre de la mémoire dans le cerveau.
Les différents systèmes de mémoire mettent en jeu des réseaux neuronaux distincts, observables par imagerie médicale au cours de tâches de mémorisation ou de récupération d’informations diverses.
Ces réseaux sont néanmoins interconnectés et fonctionnent en étroite collaboration : un même événement peut avoir des contenus sémantique et épisodique et une même information peut être représentée sous forme explicite et implicite.
Face latérale (à gauche) et face interne (à droite) de l'hémisphère cérébral droit. © Inserm, F. Koulikoff
La mémoire procédurale recrute des réseaux neuronaux sous-corticaux et dans le cervelet.
La mémoire sémantique implique des réseaux neuronaux disséminés dans des régions très étendues ainsi que dans les lobes temporaux, notamment dans leurs parties les plus antérieures.
La mémoire épisodique fait appel à des réseaux neuronaux dans l’hippocampe et plus largement dans la face interne des lobes temporaux.
Enfin, la mémoire perceptive recrute des réseaux neuronaux dans différentes régions corticales, à proximité des aires sensorielles.
Des souvenirs multiples naissent les raisonnements
Les mémoires s’appuient les unes sur les autres !
Si vous savez qu'un 4x4 est une voiture, vous pouvez dire qu'un 4X4 a des freins, même si personne ne vous l’a dit et que vous ne les avez jamais vus. Vous déduisez cela du fait que toutes les voitures ont des freins.
Ce type de raisonnement utile dans la vie quotidienne se fait essentiellement à partir des connaissances stockées en mémoire.
Ainsi, plus les connaissances mémorisées sont importantes, plus il est facile de faire des analogies.
Encodage et stockage de l’information, une affaire de plasticité synaptique
L'activation de l'hippocampe se maintient pour les souvenirs épisodiques, mais baisse quand les souvenirs se sémantisent.
Les processus de stockage sont difficiles à observer par imagerie cérébrale car ils relèvent de mécanismes de consolidation qui s’inscrivent dans la durée.
Néanmoins, l’hippocampe semble jouer un rôle central dans le stockage temporaire et plus durable des informations explicites, en lien avec différentes structures corticales.
La mémorisation résulte d’une modification des connexions entre les neurones d’un système de mémoire : on parle de « plasticité synaptique » (les synapses étant les points de contacts entre les neurones).
Lorsqu’une information parvient à un neurone, des protéines sont produites et acheminées vers les synapses afin de les renforcer ou d’en créer de nouvelles.
Cela produit un réseau spécifique de neurones associé au souvenir qui se grave dans le cortex.
Chaque souvenir correspond donc à une configuration unique d’activité spatio-temporelle de neurones interconnectés.
Les représentations finissent par être réparties au sein de vastes réseaux de neurones d’une extrême complexité.
L’activation régulière et répétée de ces réseaux permettrait dans un second temps de renforcer ou de réduire ces connexions, avec pour conséquence de consolider le souvenir ou au contraire de l’oublier.
Il est important de préciser que l’oubli est associé au bon fonctionnement de la mémoire en dehors de cas pathologiques.
Des travaux suggèrent le rôle d’une molécule appelée PKM zêta dans le maintien de la mémoire à long terme.
Chez l’animal, elle permet d’entretenir les molécules modifiées pendant l’encodage et d’empêcher qu’elles ne se dégradent avec le temps, consolidant ainsi les réseaux associés aux souvenirs.
La libération de neurotransmetteurs, notamment celle de glutamate et de NMDA, ainsi que l’expression d’une protéine qui augmente la libération de glutamate, la syntaxine, sont associées à la plasticité synaptique.
Sur le plan morphologique, cette plasticité est associée à des remaniements des réseaux neuronaux : changement de forme et de taille des synapses, transformation de synapses silencieuses en synapses actives, croissance de nouvelles synapses.
Au cours du vieillissement, la plasticité des synapses diminue et les changements de connexions sont plus éphémères, pouvant expliquer des difficultés croissantes à retenir des informations
. Par ailleurs, dans les rares formes familiales de la maladie d’Alzheimer, des mutations sont associées à des défauts de plasticité des synapses qui pourraient expliquer, dans ce cas, les troubles majeurs de mémoire.
Le sommeil consolide la mémoire
Une leçon s’apprend mieux le soir avant de dormir, c’est un fait !
Des expériences de rappel d’informations montrent que le fait de dormir améliore la mémorisation, et ce d’autant plus que la durée du sommeil est longue.
A l’inverse, des privations de sommeil (moins de quatre ou cinq heures par nuit) sont associées à des troubles de la mémoire et des difficultés d’apprentissage.
Par ailleurs, le fait de stimuler électriquement le cerveau (stimulations de 0,75 Hz) pendant la phase de sommeil lent (caractérisée par l’enregistrement d’ondes corticales lentes à l’encéphalogramme) améliore les capacités de mémorisation d’une liste de mots.
Plusieurs hypothèses pourraient expliquer ce phénomène : Pendant le sommeil, l’hippocampe est au repos et cela éviterait des interférences avec d’autres informations au moment de l’encodage du souvenir.
Il se pourrait aussi que le sommeil exerce un tri, débarrassant les souvenirs de leur composante émotionnelle pour ne retenir que l’informationnelle, facilitant ainsi l’encodage.
Et encore plus sur ce lien...
J'avoue être ...fasciné par le cerveau et la mémoire...C'est une merveille de l'être vivant...
Donc, ça finit par bouchonner ! Comment saurai-je si j'ai fait le plein ? Il y aura bien toujours une petite place...
Mais oui Fripouille, tant que tu viens voir les amies blogueuses ça ira! sourire...et bisous
http://brigitisis.centerblog.net
Super ton article...
Mon mari enseignait l’anglais avec une méthode suggesto-pedagogique élaborée au point par une chercher canadien,(hélas décédé, lui aussi )
Il avait écrit un ouvrage très intéressant que je vais essayer de retrouver dans le commerce 'il s'agit de' la science des rythmes et la vie quotidienne' Gabriel Racle. Editions Retz .La mémoire y était bien expliquée tout comme dans son autre livre la' pédagogie interactive '
Cela me ramène à des années en arrière et je vais essayer de retourner ces ouvrages,n disparus au gré de mes déménagements...
Bonne journée Brigitis .....
http://cattea4.centerblog.net
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