Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour :
07.02.2025
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Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.
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magnifique http://papillo nvolant.center blog.net
Par Koukla, le 22.12.2024
petit coucou du jour.amitiés http://papillo nvolant.center blog.net
Par Koukla, le 03.12.2024
les jeunes enfants ne se préoccupent pas de la couleur parce que leur nez est court et ainsi ils elles ne voie
Par Anonyme, le 19.11.2024
merci
Par Anonyme, le 25.02.2024
c
Par Anonyme, le 27.08.2023
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On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.
De mon enfance je garde le souvenir des grandes peurs , des attentes nocturnes , des quêtes insatiables des rêves qui s’enfonçaient dans les larmes profondes , des déchirements des nuits blêmes je réinventais le monde derrière les vitres closes, je traçais des chemins inconnus, escale à chaque « titubement ». une nuit sur mon univers, ma maman s'en est allée pour toujours.
Reconstruire des rêves , reconstruire la vie , je voulais trouver la continuité et ce soir j’ai l’âge de l’adulte fragilisé. Cheveux déjà blancs , rides du temps, rides des larmes. , je me souviens de cet automne , les visages émaillent la mémoire assoiffée et déchirent l’épaisseur des ombres lunaires .
Mon pas crisse sous les feuilles mordorées qui me regardent passer comme je regarde le temps emporter l’ombre de tout ce qui a fait de moi celui qui écrit ces pages d’automne à jamais inachevées . Pas de fin à cette quête de soi, chemin qui remonte aux sources de ce qu’on fut mon automne .
Plus tard sans doute reviendrai-je écrire les silences qui bruissent doucement au creux de l’âme . Pour le moment ils frémissent encore les souvenirs qui brunissent à l’automne de la vie.
horobindo
Les coccinelles sont appelées familièrement «les bêtes à bon Dieu».
Ce surnom est tiré d’une légende remontant au Xème siècle.
L’histoire raconte qu’au Moyen-Age, un homme a été accusé d’un crime qu’il n’avait pas commis.
Condamné à mort pour ce meurtre commis à Paris, cet homme, qui clamait son innocence, a dû son salut à la présence du petit insecte.
En effet, le jour de son exécution publique, le condamné devait avoir la tête tranchée.
Mais une coccinelle se posa sur son cou.
Aussi le bourreau enleva la coccinelle très délicatement et releva sa hache afin de trancher le cou du jeune homme.
Quelle ne fut pas alors sa surprise lorsqu'il constata que la coccinelle était de retour sur le cou du pauvre jeune homme !
Le bourreau eut beau insister, mais la coccinelle était obstinée, à tel point que le roi d’alors (Robert le Pieux) intervint, considérant que l’événement était un miracle et que la coccinelle accomplissait là une mission divine.
Le roi Robert II (972-1031) décida de gracier l’homme.
Quelques jours plus tard, le vrai meurtrier fut retrouvé.
Les spectateurs persuadés que le Tout-Puissant avait envoyé la coccinelle pour sauver cet innocent, lui donnèrent le nom de «Bête à Bon Dieu».
Dès lors les gens de Paris parlaient de la «bête du bon Dieu» et plus personne n’aurait écrasé ce petit insecte au risque de commettre un sacrilège.
Aujourd’hui, la coccinelle est connue pour porter chance et elle est aussi la meilleure amie des jardiniers !
Cette histoire s’est très vite répandue et la coccinelle fut dès lors considérée comme un porte-bonheur.
Cette histoire s’est très vite répandue et la coccinelle fut dès lors considérée comme un porte-bonheur ...
Il repose au cimetière de Valciviére , sa tombe , il l'avait choisi , haut perché , une simple croix pour faire plaisir au curé ,
le curé dit de lui qu'il était brave homme et que Dieu l'accueillerait , il fait face au souffle du vent qui chaque printemps répand les parfums des fleurs renaissantes.
Alphonsine. 1892.
J’ai vu en toi mes rêves,
COMME UNE FLEUR QUI TRAVERSE LA TERRE DURE.
Un jour se meurt, un autre va naître.
Comme une fleur qui traverse la terre dure.
Une nouvelle vision prend naissance.
Une plus grande conscience se déploie.
Une force nouvelle naît de la souffrance.
Palpite dans les veines.
Une sympathie et une compréhension.
Naîtra de la souffrance passée.
Un plus grand désir de voir les autres moins souffrir.
S'ils doivent souffrir, de veiller à ce qu'ils le supportent noblement.
J'ai pleuré...je ne veux pas que les autres pleurent.
Mais s'ils le font, je saurais ce que cela signifie.
Sans cesse, je cherche un peu de vérité.
Je ne sais qu'aucune religion qu'aucune science.
Ne me montreront le chemin.
Je sais enfin, qu'il n'existe aucune route.
La société ne pourra émerger, qu’à partir d'un changement radical et individuel de l'individu.
Puisque la société est le produit des interactions entre les individus.
Un jour se meurt, un nouveau naît, c'est ça notre vie, notre réalité.
Sans cesse je cherche un peu de vérité.
Les années passent et je n'ai plus de peurs.
Même plus la peur de mourir.
Sans doute une nouvelle conscience.
Celle d'être moi-même l'éternité.
Chaque soir, que je regarde le ciel.
Je me dis que je suis ce ciel.
Le ciel des enfants, des enfants de hier.
Le ciel des enfants de demain.
La vérité n'a pas de chemin.
La vérité c'est comme la trace que j'ai laissé hier.
Elle n'existe plus, elle n'existe pas.
La vérité est le reflet de ce néant.
La vérité est le reflet d'une mer de possibles.
Un néant qui s'ajoute a du vide.
Un rien qui fera que demain sera à vous.
Avec la sensation de vivre hier qui s'appelle aujourd’hui.
J'ai marché sur le sable, j'ai regardé la mer.
J'ai levé les yeux, je n'ai vu que du ciel.
J'ai vu l’univers, et j'ai enfin compris.
J'ai mélangé le bleu de la mer avec le bleu du ciel.
J'ai enfin compris que j'étais l’univers.
J’ai fais pleurer le ciel.
J’ai inventé la mer.
J’ai fini par dessiner tout l'univers.
C'est la parole du poète.
Qui invente du concept.
Pour habiller les mots.
Pour que demain, l'univers ce soit vous.
Écrit par horobindo