En ce temps là.

Il y a la difficile sortie du néant.

Il était une fois, il y a longtemps , le ciel offrit aux peuples de la terre , un créateur , un sorcier , un confident , l'histoire raconte que dans la nuit des premiers temps , l'être humain perdu dans les immensités glacés , les déserts arides se mis à genoux en criant mon Dieu  c'était la naissance de l'Unique à l'aune des polythéismes , commençant vers le multiple .

De la méditerranée à l’Indus, entre le Tigre et L’Euphrate, il y avait l'écriture et la transmission par le livre , il y a Marduk, puis Aton , un pharaon ignoré peut être roi des lépreux qui allait ensemencer la terre d'un nouveau Dieu, d'un seul Dieu  en chassant les divinités du temple.

Qui parle D'Amarna la première Jérusalem d'Egypte qui ne dura que 13 ans, qui allait donner, loin dans le temps ; à Moise une raison d'espérer.

Aton la lumière de moise ou d'Akhénaton le pharaon, mais surtout ne le dites à personne ce secret des temps des cavernes ou des déserts est pourtant la trace qui allait illuminer la terre entière et qui pourrait jeter de l'ombre sur nos croyances bananières.

Présentant environ 4 milliards de fidèles les religions monothéiste , musulmanes , chrétiennes , judaïsme , zoroastrisme et constituent le plus grand groupe religieux actuel dont le père fondateur n'est rien d'autre qu'un oublié de l'histoire dont on aurait même effacé le vrai non , je cite : Osarsiph , refoulé de la mémoire égyptienne pour réapparaître des années plus tard dans l'esprit du fondateur du judaïsme , l'histoire millénaire égyptienne est t'elle reliée à celle du peuple Juif , nous le savions déjà.
DERRIERE LE MIROIR, il y a le mystique endormi, le fruit d'un arbre millénaire où se cachent les premiers temps d'une époque oubliée dans la mémoire, remonter à l'origine des religions, le reste du noir de fumée imprimé sur les parois des cavernes et du cerveau, la mémoire d'une lente ascension vers la lumière.

Les grandes peurs ancestrales imprègnent , la toile tissée par deux cent milles ans de lutte pour la naissance d'une réalité , il y a la difficile sortie du néant , là ou rien cohabite avec le possible .Un principe mystique , née dans la contrainte , parce qu'il faut à l'être en devenir un support , un peu ce qu'est ; le un pour le deux , le passage du virtuel vers le réel , celui qui devient notre vérité. Entre le ciel et la terre, un monde  étrange à hanté nos ancêtres, le bruit et souvent la fureur des éléments  a donné naissance à la peur, l'être conscient et créateur a inventé un maitre, aujourd’hui nous héritons de la nuit des premiers temps.

Il y a les peurs ancestrales, origine de mythes multiples avec pour seule raison, un ciel de ténèbres, ou les ombres se disputent avec des anges, fruits de rêves glacés. Derrière le miroir l'inconcevable de ce qui n'est pas née et vient le principe ou l'infini se mêle à tous les possibles. Sa réalité, est le seul but d'un devenir.

Loin dans le temps, il y avait un principe mystique, la mémoire de cette époque est inscrite, dans la fumée que porte encore les parois des cavernes, pas à pas un être fragile à inventé une réalité pour ce qui n'était pas née. Miroir sans teint , l'homme a tissé la toile de la conscience , et de l'intelligence pour faire naître à chaque instant un monde  qui devient le sien .Un rien qui voulait devenir , pour être le temps d'une vie , du temps de l'espace , de l'énergie qu'on habille de couleurs , pour faire croire que l'éternité c'est nous.

Derrière le miroir, là ou il n'y a plus de conscience, ce n'est plus la vie, ce n'est plus ce monde, notre réalité n'existe pas, n'existe plus, l’avant, l'après n'est plus justifié, il n'y a que le non née et l'infinitude de tous les possibles. Derrière le miroir de " l'être , il y a le sans teint , nous avons inventé le concept d'un quelque chose , la vie , et la conscience sont la symbiose la plus réussie qui nous donne l'impression d'une permanence de ce que nous avons depuis l'aube de l'humanité intégré dans nos gènes , notre chimie et nos sens .
Pourtant c'est un leurre, qui a prit toute son ampleur dans les ténèbres des premiers temps. Je me rappelle, il y a plusieurs années, j'ai parcouru des textes indien, des textes anciens, les 108 upanishads, les Védas, dont la bhagavad gîta, des véritables chefs d'œuvres de la spiritualité Hindoue et là est traité de manière fantastiques la vraie " nature  du " soi «.
Ce sont des mythes et des légendes, naturellement, mais quand on rencontre, la vraie nature de la syllabe "om " on découvre ce qu'il y a derrière le miroir.

Il n'y a rien derrière ce miroir des " sages " ont effleuré une des vérités possibles , et comme pour toutes les illuminations , la légende et le mythe en ont fait des religions aux mains de gourous intéressé par le pouvoir , beaucoup d'écrits de l'inde ancienne ont donné l'eau et la source pour la venue d'autres religions . Le cœur des humains à besoin de mythes de légendes pour habiller son besoin mystique, son désir de voir, ce qu'il y a derrière le miroir. Horobindo.
Les humains ont besoin de mythes, de légendes, alors ils ont habillé " le rien " qui se trouvent derrière le miroir, ils ont inventé des ombres, fruits de leurs rêves glacés, née avec la conscience de " soi" dés l'aube de l'humanité.

Horobindo.