Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour :
30.01.2025
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Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.
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magnifique http://papillo nvolant.center blog.net
Par Koukla, le 22.12.2024
petit coucou du jour.amitiés http://papillo nvolant.center blog.net
Par Koukla, le 03.12.2024
les jeunes enfants ne se préoccupent pas de la couleur parce que leur nez est court et ainsi ils elles ne voie
Par Anonyme, le 19.11.2024
merci
Par Anonyme, le 25.02.2024
c
Par Anonyme, le 27.08.2023
%3Cp%3E%3Cem%3EUn%20terrible%20hiver%20glacial%20long%20de%20dizaines%20de%20millions%20d%27ann%E9es%20prenait%20fin%20%2C%20un%20hiver%20provoqu%E9%20par%20le%20cycle%20de%20%22%20n%E9cessit%E9%22%20et%20un%20volcanisme%20effr%E9n%E9%20avait%20vol%E9%20le%20ciel%20%2C%20la%20nuit%20s%27%E9tait%20mari%E9e%20avec%20le%20jour...%29%20%3C/em%3E%3C/p%3E
On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.
Histoire
Avant cette grippe de 1918, des pandémies de grippe se produisaient dans le monde en moyenne trois fois par siècle2. Les flambées de grippe s'accélèrent au fur et à mesure des siècles : « de 1700 à 1889, l'intervalle moyen entre deux pandémies est de cinquante à soixante ans. À partir de 1889, cet intervalle n'est plus que de dix à quarante ans. Cette accélération peut correspondre à une plus facile propagation du virus, entre autres liée à l'accroissement de la population, à l'urbanisation et à la plus grande fréquence des échanges internationaux »3.
L'origine de la pandémie a d'abord été difficile à établir, plusieurs hypothèses ayant été émises :
L’historien Pierre Darmon enfin a signalé plusieurs épidémies de pneumonies ayant touché les travailleurs annamites en France en 1917 et 19187.
Au fil des années, des travaux scientifiques ont été publiés, affinant l'origine géographique du virus, et semblant valider scientifiquement les États-Unis : le rapport de l'Oxford Academy, publié dans le magazine Evolution, Medicine, and Public Health, volume 2019, étudie les trois thèses qui avaient jusque là été évoquées (États-Unis, France et Chine), et réfute la Chine arguant que les écrits de l'époque s'appuyaient uniquement sur des données symptomatiques, et non sur la science, la microbiologie en 1918 étant peu développée. Le rapport valide donc, données à l'appui, une origine vraisemblable au Kansas8.
Loring Miner, un médecin du Kansas rural, rencontra des cas dans les premières semaines de 1918. Miner, alerté par le taux de mortalité envoya un rapport aux autorités sanitaires. Quelques semaines plus tard, l'un des premiers foyers épidémiques aurait éclaté, vers la base militaire de Fort Riley au nord-est de l'État. L’épidémie se serait propagée ensuite à la fois en Amérique du Nord et vers l’Europe, lors du débarquement de la force expéditionnaire américaine à Bordeaux en avril 19186.
Les débuts de cette pandémie sont discrets, car le virus n'est pas initialement mortel : l'origine du virus-père de la grippe de 1918, dite « grippe espagnole », est restée pendant longtemps incertaine.
Dès les années 1916-1917, la « pneumonie des Annamites » fait des ravages parmi les ouvriers ou soldats d’origine indochinoise présents en France, qui meurent de façon fulgurante de syndromes respiratoires aigus. Il est suspecté que cela soit la première vague de cette grippe9.
Le premier cas est officiellement enregistré le 4 mars 1918 dans le camp militaire de Funston (en) dépendant de Fort Riley au Kansas. Le patient zéro aurait été un certain Albert Gitchell, un fermier appelé sous les drapeaux, contaminé par l'un de ses oiseaux, lui-même contaminé par un oiseau sauvage10. La maladie s'y étend, et dès avril elle apparaît dans un cantonnement britannique à Rouen11. L'épidémie se répand rapidement, par le biais des mouvements de troupes alliées, d'abord à Glasgow en Grande-Bretagne, au mois de mai,12 puis aux États-Unis, et enfin en Italie et en Allemagne, atteignant son apogée durant le mois de juin 1918, moment où les premiers cas sont signalés en Nouvelle-Écosse (Canada)12.
Ces pays sont en guerre et censurent les informations sur la maladie pour ne pas affecter le moral des populations. Aussi, quand en mai 1918 la grippe atteint l'Espagne, la presse espagnole est-elle la première à en décrire les effets13. C'est pour cette raison que l'épidémie a souvent été qualifiée en Europe de « grippe espagnole »14,15,a, sauf en Espagne où elle porte le sobriquet de « Soldat napolitain »13.
En juillet, l'Europe considère l'épidémie comme pratiquement terminée, bien qu'ayant atteint un nombre élevé d'individus, surtout dans les armées, mais s'étant manifestée sans gravité, étant de courte durée, et avec des symptômes classiques peu alarmants.
Simultanément à ces épidémies internationales, d'autres foyers épidémiques plus restreints sont observés en Inde et en Nouvelle-Zélande, en juillet, et en Afrique du Sud, en août. On ignore aujourd'hui encore s'il s'agit d'une seule ou de différentes souches, toutes n'engendrant cependant que des symptômes bénins.