Cet article n'est pas une fiction, avec les rapaces qui tiennent le pouvoir, à tout moment son contenu peut devenir une réalité. Il est une information qui n'a pas dû passer inaperçue par les fins limiers au service du pouvoir et du grand capital : les vétérinaires ont constaté que les animaux de compagnies vivaient de plus en plus vieux ! Sous le capitalisme et plus particulièrement en Sarkozie la longévité est devenue un luxe, qu'elle soit humaine ou animale, c'est pourquoi, les hommes politiques n'hésitent pas à la taxer. Les premiers à en faire les frais sont les travailleurs qui subissent les attaques du pouvoir (allongement de la durée du travail, départ en retraite à 62, 65 et voir 67 et pourquoi pas plus tard, retraite réduite à une véritable peau de chagrin et système de santé de plus en plus onéreux). Pour ceux qui ont échappés comme par miracle aux chausse-trappes du travail, il leur sera désormais impossible de vivre dignement dans la mesure où le pouvoir les privent de moyens de subsistance. Très souvent, se sont les travailleurs et les retraités qui possèdent des animaux de compagnie, gageons que les sicaires au pouvoir, ceux qui arpentent les couloirs des ministères et de l'Elysée, en recevant une telle information, ne tarderont pas à réactualiser et à remettre au goût du jour cette fameuse loi du 2 mai 1855 qui a instaurée une taxe variable sur les chiens et cela selon leur fonction (de garde, d'agrément ou de chasse). Là encore, ce sont les travailleurs et les retraités qui seront les premiers touchés. Comme, les aigrefins ne manquent pas d'imagination, ils élargiront le payement de cette taxe à l'ensemble des animaux de compagnie (perroquet, rat, serpent, chat, oiseau, chat...).
Il faut savoir que cette taxe existe encore de nos jours sur le territoire français puisqu'à Nouméa en Nouvelle Calédonie en l'an 2000, elle était encore en vigueur. En 1967, la rubrique « taxe sur les chiens » figurait toujours dans le budget de la ville de Paris. Elle a été instituée à l'époque au profit exclusif des communes. On peut très bien imaginer que les élus de tous bords, pour faire face au désengagement de l'Etat soient amenés demain à réactiver cette taxe pour les communes mais aussi les départements et les régions. On peut leur faire confiance pour trouver les arguments qui justifieront une telle taxe (animaux dangereux, déjections canines sur les trottoirs, gêne due aux aboiements...). Les retraités et les travailleurs qui auront échappés aux chausse-trapes de l'exploitation capitaliste ne pourront plus échapper aux taxes et à l'assujettissement par l'argent imposés par le pouvoir politique et la complicité de tous les partis politiques au service du grand capital. S'il fallait encore une preuve pour confirmer ce que je viens d'écrire et bien en voilà une : les députés de tous bords qui siègent en commission des finances viennent de voter un amendement qui si, il est entériné à l' Assemblée nationale ferait passer l'amende pour un stationnement interdit ou une infraction légère de 11 euros à 20 euros. Il s'agit disent-ils de combler les déficits, cela pourrait rapporter 382 millions d'euros. Le racket est dans notre pays, devenu une activité à la mode. Pas un secteur de notre vie n'y échappe, il faut dire que le gang des politiciens s'entend à merveille et fait même l'union sacré contre le peuple. Vous les électeurs et les électrices, je suppose que vous n'avez pas voté pour que des accortes de la pire espèces vous détroussent et vous paupérisent chaque jour un peu plus. Alors, prenez votre vie et votre avenir en mains, soyez responsables, réagissez et envoyez ces mécréants se faire voir sous d'autres cieux et sans billet de retour.