A LA FRANCE MACHINE OU LA LIBERTÉ LIBRE

LA FRANCE MACHINE OU LA LIBERTÉ LIBRE

• La peur n’est pas quantifiable, elle est irrationnelle en l’homme. C’est une défaillance intellective, où la raison perd pied, en manque de repère matérielle et spirituelle. Par ma propre expérience, j’ai mesuré empiriquement ces peurs diverses et variées. Cette échelle de la Terreur est constituée de douze niveaux. C’est comme l’échelle de Richter, elle est ouverte.

• L’appréhension est le sentiment confus, un état prophétique où un malheur va advenir, c’est le sixième sens qui s’enclenche à une survie certaine contre l’hostilité infernale ou environnemental, immédiat ou lointain.

• L’inquiétude est l’état d’esprit où tous nos sens, notre intelligence et volonté sont à l’affut, du moindre bruit spirituel. L’esprit inquiet est intuitif, sensitif, aérien, tellurique et bas-atralique.

• La stupéfaction comme l’effarement est l’état et la genèse de la paralysie de l’intelligence.

• L’angoisse existentielle est un mélange de la psyché d’avec l’âme. C’est la bête qui sommeille en nous, traquée par les bêtes féroces et sauvages. C’est l’état d’esprit où nos pieds s’enfoncent dans un irrationnel sable mouvant, où toute chose est aspirée par l’en-dessous. C’est la mystique de l’infernal personnifié qui s’avance vers nous, sans possibilité de retour en arrière. Ces angoisses désespérantes peuvent nous submerger, telle une cataracte amère, fielleuse, glaciale.

• La peur est le quatrième état de l’âme en Enfer terrestre ou spirituelle, car la peur en effet n'est rien d'autre que la défaillance des secours de la réflexion[1].

• La panique est le sommet de la peur. C’est à ce moment-ci, que l’on ressent sueurs froides sur tout le corps. Le corps réagit par rejet face à une force et une puissance contre-nature. L’imagination, les bruits, extrapolent, augmentent nos déraisons et les flots irrationnels de toute illusion et chimère.

• L’affolement, c’est un état chaotique des sens, une imagination au paroxysme et manque total du recul et du libre arbitre.

• Puis vient l’épouvante, c’est le commencement de la paralysie des sens. C’est la proie face au prédateur. Elle se laisse mener par la fascination mortelle de la puissance hostile.

• L’Horreur est l’état inintelligible, le combat de l’intelligence contre la vision déformante et impie. C’est l’agonie de l’âme et du corps contre l’esprit de révolte qui vous attaque. C’est la vision intellectuelle contre-nature, monstrueuse, blasphématoire, agression contre la sainteté, la pureté, la virginité. C’est le viol de l’âme par un esprit animal, malicieux, rempli de rage contenue ave ses griffes qui essaye d’entrer dans l’âme. Notre âme est remplie de plaies purulentes, d’où se dégage de noires vertiges.

• La frayeur est l’état de l’âme d’une personne comme damnée, parmi les damnées. Les Réprouvés sont vos compagnons d’infortune. Votre âme est bloquée par les flammes de la Désespérance d’où coule la Malice très froide incorporelle.

• L’effroi est l’état d’âme, où se mêlent paroxysme catastrophique, chaos obscur, ombre maligne qui rit de la faiblesse de l’homme sans nom. Toute vie n’est plus, le vide sidéral vous entoure, il fait très froid. C’est comme dit Arthur Rimbaud dans ses Illumination : le Désert de l’amour. Nous ne pouvons plus bouger, marcher, c’est la paralysie totale où l’espérance est chassée de votre cœur. Cœur blessé à mort.

• La TERREUR est le dernier stade de l’état de l’âme. Survivre est un supplice sans nom. Le prédateur vous coince dans vos bras. Vous devenez son intimité, contre votre propre volonté, vous ne pouvez plus lutter à mort, face à la noyade certaine en cet Océan de Désespérance. Vous ne pouvez pas vous en sortir, et… vous… le… savez…

 C’est le tourment suprême pour un Chrétien. Cette échelle abominable, voir innommable qui nous mène dans la bestialité après s’être battu contre cette volonté malsaine. Le mimétisme et le trauma peuvent engendrer des comportements similaires au bourreau ou le prédateur. Ce qui va suivre est le mouvement des foules humaines devant les révoltions. Elles peuvent désinhiber les personnes les plus timides, timoré. Pendant le siège de Jérusalem par Nabuchodonosor, des tendres épouses, devenaient haineuse, et derrière leur mari mangeait leurs petits-enfants après l’avoir cuit oui non, tiraillée par une famine désastreuse, déformant les comportements ordinaires.

Parmi les sentiments d'ordre instinctif, la peur se place presque au premier rang. Dans les actes qui n’ont d'autres auteurs responsables que la foule, elle joue un rôle capital. En temps de guerre ou de révolution, elle imprime à la marche des événements une orientation souvent imprévue, mais irrésistible ; elle pousse des courants qu'on ne remonte pas.

L'histoire des paniques est celle de toutes les guerres, civiles et étrangères. Variables dans leurs symptômes et dans leurs effets, suivant le caractère spécial de l’époque des faits qui les provoquent, elles sont simi-laires dans leurs évolution…

… Le moyen âge, dévasté par les épidémies physiques et morales, épidémies de peste et de sorcellerie, a vu,  lui aussi, surgir bien des fois de ces paniques incon-sidérées, qui semaient l’épouvante dans les populations  superstitieuses. Des accès de folie collective éclatèrent ;   la peur du fléau engendra un véritable délire de la per- sécution, et comme les persécutés se transforment aisé-ment en persécuteurs, on assista à de véritables  atrocités…

… Ces autres parias, les Juifs, ont été, à leur tour, l’objet de la fureur populaire. La persécution qui les livra au bûcher par immenses fournées avait pour origine une accusation stupide : on croyait qu'ils empoisonnaient l’air ! Les massacres des Juifs ont eu pour mobile,

plus que les haines religieuses, la peur qu'ils provo-quaient.

Les sorciers, de leur côté, répandaient l'effroi : c’était leur manière de se venger des tortures qu'on leur  infligeait…

… La Révolution réveilla ces paniques, qu'on pouvait croire ensevelies dans l'histoire des siècles. Le temps de Voltaire et de Diderot pouvait-il être celui de l'obscuran-tisme et de la superstition ? Et pourtant, le fait brutal est là, qui prouve une fois de plus que si les révolutions violentes peuvent libérer des esclaves et affranchir des opprimés, ce n'est que par un recul en arrière du pro-grès moral, un effacement des facultés intellectuelles et  l'explosion des instincts de la foule. Ce résultat ne serait-il pas plus rapidement et plus sûrement acquis, sans crainte d'une réaction inévitable, par une révolution pacifique ? Mais celle-ci, possible dans les Etats du Nord, chez les peuples de sang-froid, l’est-elle chez une race latine qui, lorsqu'elle envahit l'arène politique, y pousse ces clameurs dont si longtemps ont retenti les républi-ques italiennes ?… 

… L'épidémie — car on peut assimiler une panique à une épidémie… 

… On a peine cependant à expliquer la folle panique qu’ils provoquaient. En temps normal, on leur eût fait la chasse ; traqués partout, ils n'eussent trouvé de refuge que dans les bois… 

…Il n’y a, à notre sens, qu’une seule cause efficiente de la Grande Peur : elle réside tout entière dans l'état d'âme de la société révolutionnaire. Celle-ci a été atteinte de panique parce que, brutalement sortie des ténèbres où la maintenait le pouvoir absolu, amenée en pleine lumière,

elle a été éblouie, puis affolée, et que, croyant voir un danger là où elle n’avait plus de guide, étonnée de ne plus sentir la main de fer de l'autorité, elle s'est laissée envahir par une foule de sentiments spontanés et divers[2]…

… Mais on pourrait rapporter à profusion des cas analo-gues pendant cette période : les uns, ayant eu pour cause le mysticisme ambiant ; les autres, la suspicion croissante, inévitable entre ennemis, entre rivaux, entre gens qui aujourd'hui suivent la même route, demain se dénonce-ront mutuellement, — suspicion qui éclot dans l’humus révolutionnaire, grandit comme une plante vénéneuse, étend sur les cités l’ombre épaisse de la terreur et de la haine…

… Il est d'observation courante que, lorsque la foule retourne à l'animalité, en donnant libre cours à ses instincts homicides, elle tombe aussitôt dans le stupre le plus violent. Cette loi générale est confirmée par de nombreux exemples historiques ; la férocité et la luxure sont cousins germains, dans l'arbre généa-logique des passions humaines. Comme l’individu dégénéré, qui attriste la poésie de l'amour par les tourments et par le sang, la foule augmente la lâcheté de l'assassinat par les offenses contre la pudeur, et cette folie obscène trouve parfois dans le cannibalisme le der-nier degré de l'abjection…

… Dans cette perversion, — nous y insistons, — la volupté et la cruauté se trouvent associées : c'est ce qui la carac-térise. Aussi n'est-ce pas seulement pendant la période révolutionnaire que s’est exercée la folie sadique. Chaque fois que le peuple s'est trouvé emporté dans un remous formidable, guerre ou émeute, on a pu noter des cas typiques de cette psychopathie sexuelle.

Dès que la foule répand le sang, elle éprouve d'abord une nausée ; si elle ne s'arrête pas et si elle surmonte son premier dégoût, elle se délecte passionnément et s'acharne sur sa proie, comme un alcoolique sur sa vic-time. Elle frémit alors de jouissance voluptueuse[3]…

Ce discours officieux vient d’un convent Juif, des B’N’Brith de New York, vers la Californie, à Los Angeles. Ce document devait être donné en main propre au ministère de l’Intérieure et de « la Défence » en 2003. Terrorun nom de code, pour engendrer la peur mondiale à travers des évènements divers et variés centré sur le terrorisme effréné, perpétré par les Musulmans fondamentalistes. Le monde des hommes, doit vivre dans la terreur ambiante, pour provoquer un trauma lent, sûr, presque imperceptible.

TERROR

Tout le spectacle politique se vivra maintenant dans une représentation de mort qui fera directement la présentation et la représentation de notre vie…

… Nous prônons le sens de la vie dans un choc civilisationnel complet et radical où nous serons le seul gouvernement possible du monde lequel ne connaîtra plus alors de conflits quant au bout de tous les conflits, la religion du progrès, de l’argent, et du marché aura triomphé des identités et des peuples qui voudraient s’opposer à notre règne de mercantilisation de la planète lequel est à nos yeux, le seul type de bonheur acceptable et vivable…

… Notre vision mondiale n’aspire pas à contenir la vague déferlante de l’islamisme. Elle tend à soutenir son extension car nous savons que l’intégrisme et la soumission qu’il répand est le moyen le plus efficace d’empêcher le surgissement des mouvements sociaux véritables qui, eux, pourraient effectivement contrecarrer l’expansion de notre empire[4]…

… Tout ce qui n’acceptera pas d’appartenir aux acceptations du Nouveau Monde devra être clairement désigné comme foncièrement mauvais et nuisible et traité en conséquence comme politiquement incorrect, inacceptable, nuisible et criminel …

… Le nouvel Ordre Mondial est la mondialisation d’un ordre nouveau qui dépasse toutes les lignes de démarcation du passé et qui fusionne dès lors tout ce qui était la financiérisation du crime.

L’organisation du crime est l’organisation de la finance, par notre organisation de plus en plus organisée, s’activent combinatoirement dans la criminalisation du financier et la financiérisation du crime.

… Dans la logique du renversé qui fonde le spectacle du faux, tout fonctionne à l’envers et notre fonctionnalité qui en est la fonction première est justement et toujours, par sa présentation de dire et de faire le monde à l’envers…

Notre postulat est simple, clair et évident : l’Eurasie est au centre du monde géopolitique et nous sommes le monde central de la géo-finance. Dès lors, il s’ensuit qu’en synthèse de ces deux données qui fondent la fondation du spectacle contemporain, nous contrôlerons complètement  la planète une fois que le monde de la géopolitique aura été stratégiquement absorbé par la géo-finance de notre monde.

Ainsi, pour notre pouvoir, le 11 septembre est bel et bien un miracle car la réalité de notre terrorisme artificiel est désormais devenue, par la magie de la terreur spectaculaire, le seul phénomène réel à partir duquel tous les spectateurs se sont mis à croire tout ce que notre puissance occulte leur disait de voir.

Nous voulons et nous aurons l’Eurasie car elle est le centre géostratégique du monde. Ce qui postule que nous éliminions l’Europe en la séparant de la Russie et excluions la Russie en la coupant de l’Europe…

… Le tribunal de l’histoire est peut-être arrivé au point où va enfin s’exécuter une sentence qui n’a que trop tardé ; celle de la guerre sociale universelle contre le spectacle du terrorisme d’état.

Cette guerre qui se prépare est le mouvement inter-national de tous le peuples et de toutes les classes puisque remettant en jeu le mouvement des places et des intérêts de tous, elle accorde à tous un intérêt et une place dans la lutte qui s’annonce et où chacun devra choisi son camp…

… 1946 – Charles Riandey, Souverain Grand Commandeur du Conseil Suprême (des 33° du Rite Écossais Ancien et Accepté, N.d. R.) de France, annonçait :

« (…) la nécessité d’une organisation totalitaire du monde, de laquelle serait exclue toute notion de primauté d’une nation, subsiste néanmoins. Elle se réalisera inéluctablement à son heure, heure qui n’est pas encore arrivé et que personne n’a intérêt à vouloir anticiper, du moment que l’on ne cueille les fruits que quand ils sont mûrs (…) »

« Ce passage (du particulier au collectif) (…) ne sera définitivement accompli que lorsque le monde entier aura reconnu l’autorité d’un agent unique, régulateur et coordinateur universel.

Avec quel moyen s’imposera cet agent ? Probablement avec la guerre, une troisième et espérons-le – ultime convulsion mondiale, parce que l’humanité est condamnée, comme tout ce qui est vivant, à enfanter dans la douleur et dans le sang[5]»…        

… « Il y a un complot mondial de forces antichrétiennes qui visent à affaiblir (et si possible à dissoudre dans un humanisme de belles paroles, mais impuissant) la foi des catholiques, à diviser l’Église, à arriver à un schisme[6] ».

Nous allons avoir un extrait du journal numérique : France-Soir[7] qui explique le syndrome à l’échelle planétaire. Ce phénomène unique en son genre dans l’Histoire de toute l’Humanité, est la programmation mentale de toute la planète, à partir de traumas comme la pandémie du coronavirus qui sévit à travers le monde depuis octobre-novembre 2019. Le directeur général O.M.S. Dr Tetros Adhnom Ghebreyesus, fit des discours fallacieux, sur des mensonges d’une ampleur inégalé, terrorisant la population mondiale :

… Nous ne savons pas quel type de dégâts ce virus pourrait entraîner s’il se propageait dans un pays dont le système de santé est fragile…

… Ce qui nous inquiète le plus, c’est l’éventualité que le virus se propage à d’autres pays dont le système de santé est plus fragile et qui ne sont pas bien préparés à y faire face…

… Troisièmement, il faut accélérer la mise au point de vaccins, de médicaments et d’outils de diagnostic[8]…

Créer un vaccin demande des années d’études, voir des dizaines d’années, avec des études comparées entre laboratoires, et une transparence dans les systèmes process. Il faut pour la phase trois, et prétendre à une validation du conseil européen par exemple, trois ans d’études. Cela se fit en trois moins, avec les vaccins Moderna, Pfizer BionTech, Astra Zeneca etc… Les protocoles furent négligés, les laps de temps furent très courts. Tout cela en dépit du bon sens.

Cet homme, médecin Éthiopien, est appelé par la population Africaine, le Joseph Mengele Africain. Dès ces premiers discours, il dramatisa l’épidémie naissante en Chine, proclamant que l’Afrique allait être décimé dans son ensemble, contagion terrible et fulgurante de l’Est à l’Ouest, et du Nord au Sud. La létalité allait être terrifiante sur l’ensemble des territoires de la planète. Un exemple frappant, qui saute aux yeux, la létalité de la France concernant le covid 19 est de 0,13% sur l’ensemble de la population française. C’est l’équivalent d’une grippe saisonnière.

 Cette dernière, vient de la fameuse et terrible « grippe Espagnole », qui débuta en 1916 aux USA, et arrivant en France, depuis lors et se finit en 1919 dans le monde entier. La létalité était de 4 à 6%. Il y eut plus de 100 millions de morts dans le monde. Les populations européennes fatiguées de la guerre, privation, stresse ambiant, résilience sur plusieurs années fit des ravages. Entre 1347 et 1354, la Peste Noire, dans toute l’Europe, fit plus de 45 à 825% de mortalité, comme en Afrique d’ailleurs. La létalité de 0,13% du covid 19 se retrouve partout dans tous les pays concernés.

S’échapper du syndrome de Stockholm[9]

Dans son livre « La peur de la liberté » Erich Fromm décrit un phénomène semblable au syndrome de Stockholm. Il analyse la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation au régime politique.

« L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue. Malgré tous les dommages collatéraux observés en lien avec les mesures sanitaires, les gens qui soutiennent les mesures sanitaires du gouvernement sont-ils en proie à un tel phénomène psychosocial ? »[10].

Le but réel des mesures qu’on nous impose est de mettre les humains en état de sidération pour les rendre complices de nos agresseurs et céder à leur désir, le rêve de l’oligarchie mondialiste. Mais mettre au pas 99 % de la population mondiale au service des milliardaires n’est pas si facile malgré leur puissance financière… qui ne suffit pas toujours, car tout ne s’achète pas dans le monde des humains que ces pervers narcissiques ne connaissent pas.

L’HOMME MACHINE CONTRE L’HOMME LIBRE

Si le monde de demain ressemble à celui d’hier, l’attitude de la France sera révolutionnaire. Lorsqu’on s’en tient à certains aspects de la situation actuelle, cette affirmation peut paraître très audacieuse. Dans le moment même où j’écris ces lignes, les puissants rivaux qui se disputent, sur le cadavre des petites nations, le futur empire économique universel, croient déjà pouvoir abandonner, vis-à-vis de nous, cette ancienne politique expectative, qui a d’ailleurs toujours été celle des régimes conservateurs en face des révolutions commençantes. On dirait qu’une France libérée…

… Le mot de Révolution n’est pas pour nous, Français, un mot vague. Nous savons que la Révolution est une rupture, la Révolution est un absolu. Il n’y a pas de révolution modérée, il n’y a pas de révolution dirigée — comme on dit l’Économie dirigée. Celle que nous annonçons se fera contre le système actuel tout entier, ou elle ne se fera pas. Si nous pensions que ce système est capable de se réformer, qu’il peut rompre de lui-même le cours de sa fatale évolution vers la Dictature — la Dictature de l’argent, de la race, de la classe ou de la Nation — …

… désintéressement et d’amour. Mais le système ne changera pas le cours de son évolution, pour la bonne raison qu’il n’évolue déjà plus ; il s’organise seulement en vue de durer encore un moment, de survivre. Loin de prétendre résoudre ses propres contradictions, d’ailleurs probablement insolubles, il paraît de plus en plus disposé à les imposer par la force, grâce à une réglementation chaque jour plus minutieuse et plus stricte des activités particulières, faite au nom d’une espèce de socialisme d’État, forme démocratique de la dictature…

… Un monde gagné pour la Technique est perdu pour la Liberté…

… Ainsi, le progrès n’est plus dans l’homme, il est dans la technique, dans le perfectionnement des méthodes capables de permettre une utilisation chaque jour plus efficace du matériel humain[11]…

Le Peuple des Insurgés, le Peuple Libre, le Peuple des Libertés sans esclavage et lavage du cerveau, a acquis deux Vertus : La Mémoire de la France, et son Identité. France qui commença dans la haute féodalité des vraies valeurs Chrétiennes.

Nous avons été humiliés pendant la seconde guerre mondiale. Nous sommes de nouveau humiliés par une génération de Vauriens en politique, à la tête du Pouvoir.

Mais de quel pouvoir s’agit-il ?

Le pouvoir d’humiliation, le pouvoir nihiliste contre la Religion la vrai Religion : Judéo-chrétienne. Leur laïcité rime avec franc-maçonnerie. L’identité de la France est bafouée et déformée dans les école publiques. L’identité de la France est souillée par les Technocrates, successeurs des Synarchistes occultistes du XIX^e de Papus, Stanislas de Guaita et A. saint-Yves d’Alveydres.

 La France d’aujourd’hui est née dans le sang des vrais Français : les Chrétiens. La France républicaine est née sous le signe de la TERREUR reniant et profanant le Signe de la Croix.

La France de la Résistance chrétienne ou non, furent ensemble, pour lutter contre l’Ennemi d’alors, l’Allemagne NAZI. En ces jours, ce sont les journalistes Allemands qui nous accusent d’être égoïstes. Nous sommes les Français Libres, assoiffée de Justice et de Liberté, étouffant sous un air asphyxiant administratif et technologique. Le progrès technique remplaça la charrue et les bœufs contre le tracteur. Le temps s’est accéléré avec les évènements peu à peu en milieu urbain et la France paysanne.

La liberté personnelle peut s’allier avec la Liberté d’un Peuple. Le français est un homme libre. Et comme l’écrit si bien Arthur Rimbaud : Vive la liberté libre.

Ces technocrates de la politique véreuse et perverse parlent de liberticide. Ce sera très bientôt une Nation Déicide qui tue de nouveau son Dieu.

France n’oublie pas ta Mémoire originelle. Tu es toujours un Royaume, le Royaume du Christ Jésus, Yeshoua ha-Mashia. Tu es née dans le sang des premiers chrétiens Juifs et païens. Reviens à ta Mémoire. Redécouvre ta Virginité première, de cette souillure abjecte de la République universelle qui naquit en France dès 1791.

Les Républicains sont toujours issus de la Révolutionrouge. François Furet sépara la Révolution en deux : la rouge et la blanche. La liberté ne sera pas sauvée par les Lois, les décrets, la politique technocratique, par les institutions républicaines et administratives, mais par le Peuple de France.

… Ce que vos ancêtres appelaient des libertés, vous l’appelez déjà des désordres, des fantaisies. « Pas de fantaisies ! disent les gens d’affaires et les fonctionnaires également soucieux d’aller vite, le règlement est le règlement, nous n’avons pas de temps à perdre pour des originaux qui prétendent ne pas faire comme tout le monde... » Cela va vite, en effet, cher lecteur, cela va très vite. J’ai vécu à une époque où la formalité du passeport semblait abolie à jamais. N’importe quel honnête homme, pour se rendre d’Europe en Amérique, n’avait que la peine d’aller payer son passage à la Compagnie Transatlantique. Il pouvait faire le tour du monde avec une simple carte de visite dans son portefeuille[12]…

1. Bernanos parle exactement comme Stephen Zweig dans son livre, Un Monde D’Hier,[1942]. En nos jours, il nous faut bien plus qu’une carte d’identité ou passeport, carte verte, vermeille, grise, rouge. C’est le pass Sanitaire, dirigé par la Dictature pharmacologique et politique. Aujourd’hui le VIRUS est politique. Ce virus à la létalité supérieure ou égal à la pire des pandémies, détruit les hommes, et engendre l’effroi, et même, pour certains, la terreur, et se suicident en masse. Demain se sera un génocide de masse.
2.  

L’État le Léviathan selon Hobbes, est articulé avec un système technocratique, sont le nouveau Moleck Ba’al, le dieu Chtonien et solaire.

… Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée…

[1] Sg, 17, 12

[2] La Névrose Révolutionnaire, du Docteur augustin Cabanès é Lucien Naas, Préface de M. Jules Claretie, de l’Académie Française, Paris, Société Française d’Imprimerie et de Librairie, ancienne Librairie Lecène, Oudin et C^ie, 15, Rue de Clung, 1906, pp. 2-3-4-5-7-10-11-12

[3] Ibid, pp. 2-3-4-5-7-10

[4] Terror, novembre, 2002, Washington D.C., USA, p. 9-12, traduction en Français

[5] Ibid. p. 22-26-27-30-31-32-80

[6] Ibid. p. 41

[7] https://www.francesoir.fr/passer-de-la-peur-du-virus-leurre-danger-reinitialisation

[8] https://www.who.int/fr/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)

[9] Propension des victimes-otages à sympathiser avec leurs geôliers-bourreaux et à adopter leur point de vue. Ce syndrome a été observé et décrit après un hold-up dans une banque commis en 1973 à Stockholm par deux évadés de prison qui ont pris en otage quatre employés

[10]  Ces éduqués non-cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial — Mondialisation.ca

[11] La France Contre les Robots, Georges Bernanos, Éditions Robert Laffont, MCMXLVII, 1947, Paris, N° 240, pp. 21-22-23-24-25-26-27-

[12] Ibid. p. 50