A LA FRANCE MACHINE OU LA LIBERTÉ LIBRE

Les saisons, les lunaisons, les cycles, la direction du vent, la couleur de l’aube, le crépuscule du soir, la configuration des nuages et ses reflets colorés par notre astre lumineux, la pluie, la direction des oiseaux, prirent ensemble, leur envoles, à cette la folie des hommes machines. La tradition des hommes fut remplacée par une culture frelatée, uniforme, universelle, jetable, vulgaire, moqueuse, ricaneuse, enjouée, orientée, écrasant l’homme et lui arrachant ses racines terrestres en lui donnant une pilule bleue.

 J’ai décidé de prendre la pilule rouge.

Le paysan reçoit des réprimandes citadines parce qu’il utilise la puissance chimique pour son exploitation agricole. Les ONG inquiète de l’environnement, assommes ceux-ci, pour revenir à l’agriculture dite bio. Mais ce pauvre paysan est dépendant du ministère de l’agriculture, des taxes, impôts, charge sociales, cahiers des charges, machineries très couteuses, prés et emprunts de banques qui ne prêtes que par hypothèque.

France paysanne où se trouve ta place ?

France des terroirs où est-ce que tu t’es égarée ?

France du temps des cathédrales, que reste-il de toi ?

France cosmopolite par tes langues, langue d’Oc et langue d’Oïl. Gaulois qui embrassa les Romains sur notre territoire. Les Gallo-Romains qui se brassa avec les Saxons qui donnèrent les Francs. Le Peuple Basque, peuple originel de notre bon pays, émigrants Espagnols, Anglois, Vikings etc…  où êtes-vous ?

France que te reste-il donc ?

La France pour tous, le vivre ensemble, sont un échec patent, d’un futur immédiat à un conflit majeur dans notre terre bien française. Macron déteste notre vraie culture française, il a oublié d’être un homme, il a oublié sa mémoire d’homme, il est homme/machine.

Parlons-en du Vivre ensemble. Cette expression vient du livre de Klaus Schwab, La Quatrième Révolution Industrielle. Oui ! Macron est un enfant de Davos, pauvre France…

 Un homme, comme put le dire Origène dans son commentaire sur l’Évangile de Jean apôtre, aigle de Patmos, qui s’identifie à un serpent devient homme/serpent, face à un bouc, homme/bouc, et un homme, qui, par analogie, s’inspire de Jésus le Messie, devient par mimétisme homme/homme.

Car Jésus, le Fils unique du Père des Cieux est le Fils de l’homme. Jésus, vrai Dieu et vrai Homme, prit le titre messianique du fils de l’homme dans le livre du prophète Ézéchiel. Dieu Sabbaot appelait celui qui écrivit la nouvelle Thora, fils d’homme.

Où est l’homme sous le poids de la machine ? Il n’est qu’ombre et poussière. Il est par surcroit un esclave. Sort de tes chaînes Ô Homme reconquit ta fierté d’homme, lutte contre la machine qui supplante ta conscience, tes faits et gestes.

Nous avons perdu nos belles soirées sous le regard des feux de cheminée. C’est le siège du vrai foyer, feu qui illumine nos nuits obscures, adoucis nos terreurs, aplanis nos fatigues mauvaises, par ces stress continuels.

La télévision détrôna ce feu multimillénaire à des options obsessionnelles, zappings incessants et languissant. Le feu se retrouve au bout des canons des chars, des missiles sol/sol, air/sol etc…  La discussion, l’échange par la haute confiance et confidence, partagé avec le vin, furent remplacés par les réseaux sociaux, cancers de la société déshumanisé où se trouve impudeurs, perversion intellective et des mœurs, etc…

La nature se trouve prisonnière de la folie des hommes en cages, dans ces cités urbaines de bétons, de bitumes, de signalisation, de fausses verdures et autre tapage nocturne. Car l’homme machine ne donna pas le choix, aux nouveaux émigrés d’alors, vivre en des cités nouvellement construites, après la seconde guerre mondiale.

Dieu pardonne toujours, l’homme de temps en temps, la Nature Jamais. Le paysan travaille le dimanche, sous la contrainte du rendement imposé, par la pression monétaire. Paris est devenu un immense trou noir, qui avale sans peur, la France entière. Paris s’est pétrifié avec la quatrième république et surtout la cinquième. Revenir à la royauté est une utopie malsaine. La France attend l’homme providentiel. Homme charismatique, imprégné d’abnégation, humble au service de tout le Peuple de France. Léon Bloy le chercha toute sa vie de Désespéré, lui Caïn Machenoir. Cet homme, est le Va-nu-pieds, le Vagabond, le Roi des Miséreux, ce Quelqu’un qui doit venir avec l’épée divine au pommeau de sa main droite, transperçant les cœurs des hommes.

France souviens-toi des audaces historiques que tu as accomplies. Rappelle-toi de Jehanne d’Arc, Pucelle de la France, Fille de Dieu. Les partis politiques, droite/gauche, extrêmes droites et ultra gaucho, sont les fossoyeurs de la Vraie France. Récupération des idées, de l’histoire et des personnes historiques, à des tendances malsaines, et manipulation des foules par l’affect et les sentiments dit patriotique.

France, dédaigne ces hommes sans-Nom. Le Français commence réellement à étouffer, il suffoque, et ressent le vertige de la Mort qui vient. Guerre sanglante qui va déchirer notre bon Peuple de France. C’est le ressentiment croissant, l’envie, la jalousie, la non-intégration de notre culture française, le rejet systématique de notre Histoire très Chrétienne qui va faire éclater notre territoire, engendrer un chaos systémique. Le feu et le sang vont engendrer des millions de morts, jusqu’à trente, voir cinquante millions de Français.

La France sera meurtrie, et sentant les vraies épidémies dû aux millions de cadavre décomposés, épart dans les rues abandonnées, boulevard, autoroute, village désertés, villes détruites par les vagues atroces des hommes de toute bords, enragés, la haine dans leur cœur. Le cannibalisme effréné reviendra à cause des famines. Les centres commerciaux furent la guillotine des petits commerces, viviers des vrais quartiers de proximité, des épiceries, des quincailleries, des drogueries, magasins de vêtements, les marchés aux poissons, des boucheries/charcuteries, et autres mémoires oubliées.

Nos apothicaires qui fabriquaient les vrais médicaments pour les médecins des villes et des campagnes, et j’en passe etc…

LE SERMENT D’HYPPOCRATE

JE jure par Apollon médecin, par Esculape, par Hygie et Panacée (01), je prends à témoin tous les dieux et toutes les déesses (02) d'accomplir fidèlement, autant qu'il dépendra de mon pouvoir et de mon intelligence, ce serment et cet engagement écrit ; de regarder comme mon père celui qui m'a enseigné cet art, de veiller à sa subsistance, de pourvoir libéralement à ses besoins, de considérer ses enfants comme mes propres frères (03), de leur apprendre cet art sans salaire et sans aucune stipulation (04) s'ils veulent l'étudier ; de communiquer les préceptes vulgaires, les connaissances secrètes et tout le reste de la doctrine (05) à mes enfants, à ceux de mon maître et aux adeptes qui se seront enrôlés et que' l'on aura fait jurer selon la loi médicale, mais à aucun autre.

 Je ferai servir suivant mon pouvoir et mon discernement le régime diététique au soulagement des malades ; j'éloignerai d'eux tout ce qui pourrait leur être nuisible et toute espèce de maléfice ; jamais je n'administrerai un médicament mortel à qui que ce soit, quelques sollicitations qu'on me fasse ; jamais je ne serai l'auteur d'un semblable conseil ; je ne mettrai pas aux femmes de pessaire abortif (06). Je conserverai ma vie pure et sainte aussi bien que mon art. Je ne taillerai jamais les calculeux, mais je les adresserai à ceux qui s'occupent spécialement de cette opération (07).

Dans toutes les maisons où j'entrerai, ce sera pour le soulagement des malades, me conservant pur de toute iniquité volontaire, m'abstenant de toute espèce de débauche (08), m'interdisant tout commerce honteux, soit avec les femmes, soit avec les hommes, libres ou esclaves. Les choses que je verrai ou que j'entendrai dire dans l'exercice de mon art, ou hors de mes fonctions dans le commerce des hommes, et qui ne devront pas être divulguées (09), je les tairai, les regardant comme des secrets inviolables. Si j'accomplis fidèlement mon serment, si je ne faillis point, puissé-je passer des jours heureux, recueillir les fruits de mon art et vivre honoré de tous les hommes et de la postérité la plus reculée ; mais si je viole mon serment, si je me parjure, que tout le contraire m'arrive[1] !

La médecine légale a oublié Hippocrate. Elle a renié ses origines, servir l’homme, le guérir avec les plantes conçues par Dame Nature. Celui qui dirige, doit servir l’autre, s’abaisser, être attentif. Est-ce une utopie ? certes non ! Ce fut comme cela depuis si longtemps déjà. Tout est perdu. Le règne de la chimie industrielle a saccagé la vie humaine, créer des dépendances, accroitre et avilir l’homme, les rendre malade et lui dire qu’il ne guérira jamais. L’homme est devenu un patient, dis-je un numéro, un code barre. Sa vie ne tient qu’à une carte. Il est dévitalisé. Nous sommes arrivés à une génération de zombie, qui titube après sa mort prochaine, en des rires sarcastiques et nerveux.

 Les notaires étaient étaient les responsables des dépôts des fortunés des familles. L’or, les Louis d’or, comme les Napoléons, furent remplacés par la valeur papier dans les années 1970 par le président Nixon, évacué lui aussi, par la monétisation numérique qui arrive à grand pas.

Jacques Attali… sur son blog, a écrit : « L’his-toire nous apprend que l’humanité n’évolue significati-vement que quand elle a vraiment peur… La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes. […] On devra mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. C’est d’ailleurs par l’hôpital qu’a commencé en France au XVII^esiècle la mise en place d’un véritable État. »…

Je ne devais pas mettre les passages du livre de Philippe de Villiers ici, vrai Français, patriote qui aime la Mémoire de la vraie France. Mais je m’y oblige.

Nous sommes entrés dans une ère nouvelle, où la vie, privée se restreint de jour en jour. C’est une régression. Il suffit de prêter attention au nouveau vocabulaire, il est angoissant : on nous annonce ainsi que nous allons être « tracés ». Le traçage et la reconstitution à posteriori des mouvements de population et, singuliè-rement, des déplacements individuels. Et puis, viendra l’étape suivante, avec le mot qui est déjà en salle d’at-tente, le « tracking ». Nous serons tracés en temps réel, c’est-à-dire qu’on nous suivra, sur un immense écran de science-fiction où les petites étoiles en mouvement figurent autant de promoteurs. Bonjour la grande four-milière[2]…

Philippe de Villiers nous confirme à 100/100. Si les Français ne savaient pas, nous le savons depuis près de 26 ans. Mes amis Québécois à Montréal, sont avant-gardistes depuis des dizaines d’années. Les Français découvrent ce que nous savons depuis très longtemps. Il ne faut pas s’étonner des dires de J. Attali, homme/machine par excellence, dans le sérail des mondialistes. Cet homme rêve du Gouvernement mondial, au moins depuis 1975. Il est obsédé par la reconstruction du III^e Temple, Jérusalem capital mondiale, et la venue du messie kabbaliste tant attendue par les Juifs kabbalistes du monde entier, et de Safed en particulier en Galilée.

Cette double anticipation du Grand Reset et de la cancel culture cultive la même vision et se nourrit du vieux fantasme révolutionnaire, celui de la table rase. La première prépare la seconde : nettoyer le contem-porain de toutes ses attaches pour en faire un objet utilitaire, interchangeable et numérique. L’homme sans qualité devient remplaçable. « Vous serez creux, résume le représentant de Big Brother, nous allons vous presser jusqu’à ce que vous soyez vide puis, nous vous remplirons de nous-mêmes^[3]. »

Ce qu’explique P. de Villiers, c’est la programmation mentale inventé par un certain Joseph Mangele, l’Ange de la mort à Auschwitz. La programmation se fait par un traumatisme, une peur panique, une terreur récurrente qui ne finit jamais.

De nos jours, par exemple, la destruction massive des Twins Towers en septembre 2001, dans le quartier de Wall Street à N.Y.C., ou encore ladite pandémie du covid 19, est une arnaque de première classe, par les « dits » grands de ce monde. Ils sont ces faussaires, ces menteurs, des hypocrites. Le timon est cassé depuis la fin de la seconde guerre mondiale.

 France tu es MORTE. France Fille aînée de l’Église de SATAN, écrivais-je un jour, cela fut écrit aussi par Léon Bloy. Tant que la France sera une Prostituée Sacré dévouée aux dieux Osiris et Isis, Priam, Dionysos et Aphrodite.

Elle sera à SATAN

Tant que la France supportera la déesse Raison sur l’autel de l’ancienne église^[4] sainte-Geneviève de Jacques-Germain Soufflot, construite en 1790, dans le Quartier Latin, elle sera la France Esclave. La Raison Pure, ou l’Être Suprême des hauts Maçons est l’esprit de Lucifer ou Aïlel Ben Sharar en Hébreu.

Klaus Schawb raconte : « Avec l’essor des échanges en ligne et l’exposition accrue aux idées venant d’autres cultures, les identités sont devenues plus fongibles … Les contraintes spatiales étant abolies, l’unité familiale traditionnelle se trouve remplacée par un réseau familial international »…

… Le 4 août 2020, un brillant ingénieur physicien français, spécialiste en intelligence artificielle, exerçant au CNRS, Philippe Guillemant, a brisé l’omerta : «  Ceux qui sont pour l’obligation du masque sous-estiment gran-dement le fait que le masque est un prélude à la vac-cination, qui est elle-même un prélude à l’identification numérique puis un traçage humain qui s’ensuivra nat-rellement, avant de nous conduire en très peu de temps à l’ère transhumaniste, introduite par l’analyse en temps réel de tout nos gestes, actes, déplacements et rencontres par des programmes, qui sont ma spécialité. Or, cette perspective est à mes yeux bien plus grave que n’importe quelle bombe atomique ou guerre mondiale^[5]. »

Trouvant le site de Nexux, voici ceci :

4 septembre 2020

BILLET D’HUMEUR : Philippe Guillemant, Docteur en Physique, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS, nous met en garde. Selon lui, avec le masque obligatoire, nous sommes actuellement sur la marche numéro trois de l’escalier menant à l’humain robotisé. A nous de voir si nous choisirons collectivement un autre chemin qui nous fera changer de destination finale[6].

Je continue avec le livre de P. de Villiers : Les gens sont toujours plus connectés à leurs appareils, et ces appareils sont de plus en, plus connectés à leurs corps. Non seulement portés, ils sont aussi implantés dans l’organisme, où ils remplissent diverses fonctions : communications, géolocalisa-tions, suivi du comportement et de la santé.

Les pacemakers et les implants cochléaires n’étaient que la première étape : de nouveaux implants sont lancés en perma-nence. Ils deviendront capables d’évoluer les paramètres des maladies, permettront à chacun de prendre les mesures néce-ssaires, enverront les données aux centres de suivi, voire adminis-treront automatiquement les médicaments.

Les tatouages intelligents et autres puces électroniques pour-raient aider à identifier et localiser les personnes. Les appareils implantés permettront aussi sans doute de communiquer les pensées normalement exprimées par la parole via un smartphone « intégré » et, potentiellement, les pensées ou émotions non expri-mées en lisant le sondes cérébrales ou d’autres signaux[7]…

Je vais aller plus loin dans la lecture du livre de Klaus Schwab. À mes yeux c’est un SS Général, organisant la mort de plusieurs milliards d’être humain. Nous sommes la viande expérimentale, les jumeaux monozygotes sur les tables opératoires, ces nouveaux autels des cathédrales sanglantes et futures : les Camps de la Mort. Combien de camp militaire sont désaffectés dabs toute l’Europe. Je l’ai vue, de mes propres yeux. Cela fait de la route n’est-ce pas. C’est depuis que j’ai quitté l’armée en 1988. Des camps vide. ON me dit problème budgétaire. Ces personnes ne se trompent pas. Nous sommes la nouvelle chair à canon numérique, programmant notre propre mort réelle.

LA QUATRIÈME RÉVOLUTION INDUSTRIELLE

DE KLAUS SCWAB

Le numérique qui donne la puissance de l’intelligence augmentée.

De tous les défis multiples et fascinants auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui, le plus important est de comprendre et orienter la nouvelle révolution technologique, qui n’implique rien de moins qu’une transformation de l’humanité. Nous sommes à l’aube d’une révolution qui bouleverse déjà notre manière de vivre, de travailler et de faire société^[8]…

Le nom révolution, exprime le déplacement d’un point A vers une direction opposé et ce, de façon linéaire ou non, verticale ou diagonale à un autre point B. Le plus simple et compréhensible est la base de l’arc plein-cintre qui donne la voute romaine. Cette révolution circulaire anéantit le point A. Nous passons de la destruction évidente et volontaire vers un autre système opposé. L’exemple historique et terrifiant est la Révolution en France, qui commença en 1789. Nous avons basculé du royaume de France et chrétien ,vers une république régicide, déiste et occulte, aboutissant à la destruction de la mémoire et l’identité de la France. Le changement révolutionnaire se fait systématiquement dans la brutalité radicale, illuministe et gnostique.

La révolution industrielle, du fer, du verre et des esprits.

En 1796, à Paris, les révolutionnaires créèrent le concept de l’exposition universelle mais ne purent la financer. Elle se fit à l’échelle nationale. Cet âge de fer est l’âge métallurgique, des corps d’ingénierie. Les structures métalliques remplacèrent les bâtiments de pierre, l’espace profane chassa l’espace sacré. C’est la naissance des futurs gratte-ciel.

La première exposition universelle naquit en Angleterre, à Londres, en 1851, puis à Paris en 1855. En 1867, toujours à Paris, nous voyons l’ère machiniste. En 1878, le monde entier fut à Paris, la technologie hydraulique révolutionne les mœurs et l’état de vie des hommes.

En 1889, pour commémorer la victoire de la révolution en France, une tour de métal défie le Ciel, celui-ci est le phallus géant comme les obélisques égyptiens et les menhirs. Ce fut la nouvelle ziqqurat de Babel. En 1895, l’exposition à Chicago se fit en mette temps que la convocation du parlement mondial des religions à Chicago, en Septembre 1893, manifestation qui rassembla plusieurs représentants des grandes religions.^[9]

En 1900, à Paris, l’exposition universelle fut grandiose et le parc des expositions se fit tout au long de la Seine. Cet âge métallique érigea des tours orgueilleuses bien plus grandes que la ziqqurat de Babel.

À New York, aux XIX^èmes siècles, cette cité vit l’érection d’un quartier de gratte-ciel à Manathan. La statue de la liberté fabriquée par Bartoldi, sculpteur français et maçon de la loge du G.O.D.F. en fut le symbole de la liberté des peuples. Le modèle de l’œuvre fut inspiré à partir de la propre mère du sculpteur. La pièce originale en bronze, se trouve à Paris et mesure 1,10 m. Le second essai se situe près du pont de l’Alma. Celle qui se trouve à l’embouchure entre Manathan et New Gersey est celle donné par la France aux américains en mémoire du jour de l’Independance Day, le premier mai 1776.

Cette statue se constitue, de la symbolique maçonnique bien spécifique :  elle représente la déesse Raison, qui porte la lumière du monde. Elle est le nouveau monde, face à l’ancien continent. Elle est de bronze, et sa structure interne est constituée d’infrastructure de fer avec des rivets. Le livre qu’elle porte sont les lois de la démocratie, la constitution maçonnique, l’ordre maçon et rose-croix contenant le plan d’Amos Komensky dit Cominius, originaire d’Allemagne. L’oriflamme est la flamme luciférienne qui illumine le monde et les consciences, en annonçant un Ordre Nouveau. Cet ordre sera religieux, mystique et ésotérique. La couronne, est d’épines pour singer la Couronne d’Épines de Jésus Crucifié. Elle est faite de sept pointes, comme les sept péchés capitaux, les sept branches de l’arbre cosmique, une minoratronquée. Le sept est le symbole de l’ensemble humain, homme et femme, c’est le mythe de l’androgynie. Avec cette statue, c’est la préparation de l’âge d’or et de l’illumination, l’âge d’or-plomb qui fut inauguré en 1975 par les news agers. Cette statue est le nouveau phare d’Alexandrie qui éclaire le monde en cet âge de métal et de l’électricité.

L’âge de l’électricité en l’ère de la révolution industrielle.

L’âge de l’électricité, créa l’économie de la nuit et le monde bascula du jour, vers la nuit. L’équilibre de la vie en fut bouleversé. Le jour devint la ténèbres, et la nuit, le jour.

Les saisons, les fêtes, les marées, les vents et les climats engendrèrent les cycles bienheureux de l’homme. La peinture de Jean-François Millet, peintre français qui peignit l’Angélus du soir, exprima la règle intangible des hommes, le respect et l’action de grâce, qui rendait à Dieu toute sa valeur divine. L’ère de l’électricité cassa ce cycle naturel, engendrer la folie et le délire des bacchanales.

George Ohm, physicien Allemand aux XIX^èmes siècles, découvrit les lois fondamentales des courants électriques. Watson Watt conçut le système de détection et de mesure de la distance grâce aux ondes hertziennes. Le comte Volta créa entre-autre la pile qui emmagasine l’énergie. Heinrich Hertz découvrit les ondes hertziennes ainsi que l’effet photo électrique. Gustave hertz trouva la théorie de la luminescence et l’émission de lumière sans dégagement calorifique, c’est la fluorescence et la phosphorescence. Edisson Thomas, de la lampe électrique incandescence, fabriqua le premier phonographe. A. Einstein fut le père de la bombe atomique et inventa la théorie sur la relativité générale, englobant la relativité restreinte. Mais cette bombe, de son nom dérisoire, little bay, tua toute une population civile, à Nagasaky au Japon, en juillet 1945. Hiroshima fut pareillement détruite. Les morts furent de plusieurs centaine de milliers de morts.

Enrico Fermi, préconisa l’emploi des neutrons concernant la désintégration des atomes et conçut la première pile atomique à uranium à Chicago. La France, fille aînée de l’Église, fabriqua la première bombe à neutron, celle-ci tue tout organisme vivant sans altérer les végétaux et ne dégageant aucune radiation. Cette bombe permet à l’armée de terre, d’envahir une ville sans subir les conséquences radioactives. James Joules, fit ses études, sur la chaleur dégagée par les courants électriques dans un conducteur. Joseph Swan trouva le système de la lampe à incandescence que nous connaissons. Tous ces hommes illustres engagèrent leur vie à la recherche de l’énergie électrique. Mais ceux-ci ne virent pas le danger de ce phénomène extra-ordinaire, en révolutionnant la société des hommes. Les cités comme Paris aux XIX ^messiècles virent leur lampadaire à gaz se transformer en lumière électrique…

            Cela me fait penser au poème Départ de Rimbaud tiré des Illuminations.

                        Assez vu. La vision s’est rencontrée à tous les airs.

                       Assez eu. Rumeurs des villes, le soir, et au soleil, et

toujours.

                        Assez connu. Les arrêts de la vie – Ô rumeurs et visions !

                        Départ dans l’affection et le bruits neufs. 

C’est aux XIX^èmes siècles, que la grande industrie s’implanta de façon définitive en France et en Angleterre, dans les années 1850. La vague industrielle s’étend sur tout le continent Européen puis outre-manche aux USA.

L’âge de la vapeur prend naissance en France aux XVII ^èmessiècles avec Salomon de Cours qui eut l’idée dès 1615, d’utiliser la vapeur vers la production, générant la force motrice. Et Denis Pépin, imagina la première machine à piston. Ainsi, l’âge de la vapeur, se développa en France ainsi que l’Angleterre. Le train sera tracté d’abord par la locomotive à vapeur puis électrique. Lester Alten Pelton, inventa quant à lui la turbine hydraulique. Nous entrons dans l’ère de la turbine, qui engendre l’énergie électrique.

La science géographique et économique, quant à elles, apparaissent aux XVIII^èmessiècles. L’évolution technologique crée les moyens de transport de plus en plus efficaces, plus rapide, et l’homme s’affranchit peu à peu du temps comme de l’espace. Il devient le maître incontesté des espaces géographiques et maritimes.

Et se dégage de ce binôme, deux disciplines majeures, la géostratégie et la géopolitique. Chaque personne peut se mouvoir sur mer avec les bateaux sur des distances de plus en plus grandes, sur terre, et enfin en avion. Les frontières se resserrent considérablement sans changer la géographie des divers pays. La distance entre telle ou telle ville ne pose plus de problème. Tel personne aujourd’hui peut partir à New York le matin, travailler à Wall Street^[10] auprès des Traders, revenir à Paris le soir, grâce au concorde et manger au Deux Magots dans le Quartier Latin.

Cet exemple très réel, ne pouvait se réaliser pendant ces milliers d’années. Les civilisations antiques n’eurent que la voile et les chevaux. Leur transport, évoluèrent très lentement alors que nos transports quotidiens nous font évoluer dans un nouvel espace. Les distances ne se bornent plus de villages à villages mais de continents à continents, du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest.

Le premier octobre 1928, le nombre des actions passent de vingt à trente entreprises dans le Dow Jones. Depuis, il ne bougea plus. Le 28 octobre 1929, ce fut le jeudi noir. Après l’apogée des années vingt, le Dow Jones subit de plein fouet les conséquences de la crise. Il perd 13% en une seule séance. Le 12 mars 1956, il dépasse les 500 points, le 14 novembre 1972, il dépasse les 1000 points, le 8 janvier 1987, il franchit les 2000 points. À la même année, c’est le lundi noir, le 19 octobre 1987. À la troisième semaine de mai 2001, il atteint les 11350 points environ^[11]. L’économie classique sera supplantée par les Technologiques qui eux, subiront après mars 2001 une écrasante chute dut à l’explosion de la bulle spéculative. Cette mouvance créa une morosité chronique, en attente du krach mondial.

Après l’âge de la turbine, c’est l’âge de l’atome. P. et M. Curie, deux mondialistes, trouvèrent le radium au début du vingtième siècles et ainsi commence le règne de l’horreur. Dans les années 1970 à 1980, nous connurent tous l’expression terrifiante d’Euroshima. C’était la politique artificielle des Deux Bloques sous la pression de la puissance nucléaire : URSS et USA. Le premier est tombé en laissant la place au capitalisme. Le socialisme soviétique est l’équivalent en dure du néocapitalisme déréglementé.

Avec l’éclairage électrique, l’homme s’affranchit de la nuit. Nuit de terreur séculaire, qui remonte à Adam et Ève. Nuit du sang et de la guerre, des rapts, du vol et des rapines. L’homme se créa grâce à cet affranchissement, l’économie de la nuit. C’est la naissance des nuits glauques qui accaparèrent avec suprématie, la nuit qui équilibrait la vie des personnes. Les nuits dansantes d’après guerres, à Paris dans les caves de Saint Germain des Prés, dominèrent la Jeunesse au milieu du surréalisme et le Dadaïsme. Ces nuits préparaient les Boites de Nuits, et les Boites d’échangismes.

Dionysos, le dieu frémissant, se rattache aux bruyantes clameurs des bacchanales. Il descend de Zeus et Sémélée. Il est le dieu des défoulements, et préside aux déchaînements qui provoquent l’ivresse dans la danse et la musique. Les Bacchantes sont les femmes en délire qui furent ensorcelées par Dionysos. Elles s’abandonnent avec ferveur à son culte jusqu’à la mort.

La lune noire est associée au démon femelle Lilith, elle est la solitude désespérée qui entraîne l’homme dans le trou noir de la mort. Les messes noires se réalisent en général en pleine lune noire, la nuit. La nuit en forêt, dans les champs agricoles ou les bases militaires désaffectées sont infestées par les Raves Partys où, Techno et Trans, prédominent la folie mélangée à l’Ecsta.

En Norvège dans les pays Vikings, plus de cinquante églises en bois furent brûlées en réaction contre la Chrétienté qui chassa d’après ces satanistes, leur tradition viking où le dieu Odin, dieu de la foudre, au milieu du Wallala.

[1] http://remacle.org/bloodwolf/erudits/Hippocrate/serment.htm

ΟΡΚΟΣ. Ὄμνυμι Ἀπόλλωνα ἰητρὸν, καὶ Ἀσκληπιὸν, καὶ Ὑγείαν, καὶ Πανάκειαν, καὶ θεοὺς πάντας τε καὶ πάσας, ἵστορας ποιεύμενος, ἐπιτελέα ποιήσειν κατὰ δύναμιν καὶ κρίσιν ἐμὴν ὅρκον τόνδε καὶ ξυγγραφὴν τήνδε· ἡγήσασθαι μὲν τὸν διδάξαντά με τὴν τέχνην ταύτην ἴσα γενέτῃσιν ἐμοῖσι, καὶ βίου κοινώσασθαι, καὶ χρεῶν χρηΐζοντι μετάδοσιν ποιήσασθαι, καὶ γένος τὸ ἐξ ωὐτέου ἀδελφοῖς ἴσον ἐπικρινέειν ἄῤῥεσι, καὶ διδάξειν τὴν τέχνην ταύτην, ἢν χρηΐζωσι μανθάνειν, ἄνευ μισθοῦ καὶ ξυγγραφῆς, παραγγελίης τε καὶ ἀκροήσιος καὶ τῆς λοιπῆς ἁπάσης μαθήσιος μετάδοσιν ποιήσασθαι υἱοῖσί τε ἐμοῖσι, καὶ τοῖσι τοῦ ἐμὲ διδάξαντος, καὶ μαθηταῖσι συγγεγραμμένοισί τε καὶ ὡρκισμένοις νόμῳ ἰητρικῷ, ἄλλῳ δὲ οὐδενί. Διαιτήμασί τε χρήσομαι ἐπ´ ὠφελείῃ καμνόντων κατὰ δύναμιν καὶ κρίσιν ἐμὴν, ἐπὶ δηλήσει δὲ καὶ ἀδικίῃ εἴρξειν. Οὐ δώσω δὲ οὐδὲ φάρμακον οὐδενὶ αἰτηθεὶς θανάσιμον, οὐδὲ ὑφηγήσομαι ξυμβουλίην τοιήνδε· ὁμοίως δὲ οὐδὲ γυναικὶ πεσσὸν φθόριον δώσω. Ἁγνῶς δὲ καὶ ὁσίως διατηρήσω βίον τὸν ἐμὸν καὶ τέχνην τὴν ἐμήν. Οὐ τεμέω δὲ οὐδὲ μὴν λιθιῶντας, ἐκχωρήσω δὲ ἐργάτῃσιν ἀνδράσι πρήξιος τῆσδε. Ἐς οἰκίας δὲ ὁκόσας ἂν ἐσίω, ἐσελεύσομαι ἐπ´ ὠφελείῃ καμνόντων, ἐκτὸς ἐὼν πάσης ἀδικίης ἑκουσίης καὶ φθορίης, τῆς τε ἄλλης καὶ ἀφροδισίων ἔργων ἐπί τε γυναικείων σωμάτων καὶ ἀνδρῴων, ἐλευθέρων τε καὶ δούλων. Ἃ δ´ ἂν ἐν θεραπείῃ ἢ ἴδω, ἢ ἀκούσω, ἢ καὶ ἄνευ θεραπηΐης κατὰ βίον ἀνθρώπων, ἃ μὴ χρή ποτε ἐκλαλέεσθαι ἔξω, σιγήσομαι, ἄῤῥητα ἡγεύμενος εἶναι τὰ τοιαῦτα. Ὅρκον μὲν οὖν μοι τόνδε ἐπιτελέα ποιέοντι, καὶ μὴ ξυγχέοντι, εἴη ἐπαύρασθαι καὶ βίου καὶ τέχνης δοξαζομένῳ παρὰ πᾶσιν ἀνθρώποις ἐς τὸν αἰεὶ χρόνον· παραβαίνοντι δὲ καὶ ἐπιορκοῦντι, τἀναντία τουτέων.

[2] Le Jour d’après, Philippe de Villiers, Ce que je ne savais pas… et vous non plus, Éditions Albin Michel,  avril 2021, 75014 Paris, pp. 63-81-

http://www.attali.com/societe/changer-par--precaution/

[3] Note de l’auteur : George Orwell, 1984, Folio, p. 362

[4] Au décès de Mirabeau, le 2 avril 1791, et pour rendre hommage à cet illustre écrivain et homme politique, le gouvernement révolutionnaire voulut s’inspirer de l’Angleterre où les tom­bes des grands hommes sont réunies dans l’abbaye de Westminster. Restait à choisir le lieu.

L’Assemblée constituante trancha par décret le 4 avril 1791. La basilique royale de Sainte-Geneviève fut choisie pour devenir le Panthéon. Dans la nuit, la dépouille de Mirabeau fut déposée dans la crypte par un cortège funéraire, entérinant ainsi le changement de fonction de l’édifice.

https://www.cnews.fr/france/2018-06-28/le-jour-ou-leglise-sainte-genevieve-est-devenue-le-pantheon-684425

[5] Ibid. p. 181-182

Note l’auteur : Source : Global Agenda Concil of Migration. World Eco-nomic Forum, cite par Klaus Schwab dans La Quatrième Révolution indsutrielle, op. cit., p. 102

Note de l’auteur : http://www.nexus.fr/actualite/billet/dhumeur/philippe-guillemant-transhumanisme/

[6] https://www.nexus.fr/actualite/billet/=dhumeur/philippe-guillemant-transhumanisme/

[7] La Quatrième Révolution Industrielle, Mutation 1 : Les technologies implantables,

[8] La Quatrième Révolution Industrielle, de Klaus Schwab, fondateur et président du World Economic Forum, préface de Maurice Lévy, Édition Dunod, Étude Broché, 2015, 2016, P.14

[9]Le Nouvel Âge, Benoît Domergue, édition de l’Emmanuel, Paris, 1992

[10] Le 3 juillet 1884, Charles Dow, Edward Sanset et Charles Bengtrasser sont les fondateurs du groupe de presse Dow Jones et publient le premier indice boursier de l’histoire. Le 26 mai 1896, c’est la naissance de l’indice Dow Jones des valeurs industrielles proprement dit, comprenant 12 valeurs dont General Electrique

[11] Les Échots, mercredi 21 mars 1999, données tirées de l’article écrit par Christèle Fradin, Marchés, p.29