À travers les volets j’ai vu le jour , la lumière

L’aube qui réveille , étale son voile sur la terre

Encore une journée vide ou peut être est ce mon tour?

De marquer d’une pierre blanche ce rendez vous où les vents tournent ?

Mais Devant mon café et l’aiguille des secondes

Rien ne remplace le gout du sucre au fond de ma tasse ronde :

Aucun signe précurseur , d’ oiseau d’augure , de bon présage

Rien n’enraye l’amertume même pas d l’eau sur mon visage

Je rêve du jour où je m’élèv’rai dans les cieux : mon corps mon esprit en vacances

Je le devrais peut être aux anges : peut être a ceux qui m’aident a tenir la distance

Je compte les jours , les ligne du calendriers

J’effleure du doigt les jours passés

Je suis dans ma tour , une pénitence pour méditer

Comme une maladie à expié

Je ne sais quand viendra ce jour , j’aurai mes manches à retrousser

Il pourrait m’apporter l’amour !: un de mes vœux a exhausser

Au fond des églises ou sur la table de chevet

Le reste de mes prières , comme une bougie consumée

La solitude reine , ces odeurs de renfermé

L’indifférence règne , là je fait parti du meublé

comme un chat de gouttière dehors dans l’ humidité

Comme une statue de pierre posée sur un fond bétonné

Je regarde dans ma poussière le destin d’autres progresser

J’reste des journée entières devant la fenêtre : la télé

Je rêve du jour ou je me lèverai comme eux , sans appui , sans aucune épaule

D’avoir des ailes , l’insouciance de l’enfant heureux

 partant pour l’ premier jours d’école

Je compte les jours , les saints du calendriers

J’effleure du doigt les jours futurs

Je suis dans ma toux , comme un trés gros rhume a expié

Une maladie à soigné

Je sais qu’il arriv’ra ce jour, enfin je me relèverai

J’y pourrai accueillir l’amour : voir ce doux rêve s’exhausser

Je compte les jours , les ligne du calendriers

J’effleure du doigt les jours passés

Je suis dans ma tour , une pénitence pour méditer

 une maladie à expié