Poèmes d'un égaré à mettre en musique
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Rechercher Derniers commentairesbeau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte et un enchantement.n 'hésitez pas à
Par angelilie, le 17.05.2017
merci clitoria, c'est sur ce n'est pas aussi direct que le tiens. je me suis essayé à la ************ en poème
Par poetrytomusic, le 05.12.2016
c'est triste, mais j'aime beaucoup ! http://clitori a.centerblog.n et
Par clitoria, le 05.12.2016
super yan! très sympathique ce clip, j'aime beaucouphttp:/ /poetrytomusic .centerblog.ne t
Par poetrytomusic, le 11.11.2014
j'ai fait un p'tit clip : http://youtu.b e/bnmu4pzglkg
Par Yan, le 09.11.2014
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· L'amour entre les lignes
· La pêche du matin
· Tout ce que j'M chez L
· les autres dont toi
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· L'encéphalothèque
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Date de création : 11.01.2010
Dernière mise à jour :
13.07.2020
126 articles
T’embrasser et te voir sourire à l’instant
Sont les choses dont j’ai besoin maintenant
Il n’en restera qu’un murmure dans le vent
Ou une tempête dans la voile qui nous portera
T’enlacer et te sentir frissonner
Ces tremblements sans ravages
Il n’en restera qu’une fissure dans le néant
Ou un trou noir en expansion
Refrain :
Partage avec moi ton univers
Projette moi à des années lumières
Aspire-moi dans l’implosion
Celle qui fige l’espace et le temps
Si toutes tes envies ont du répondant
Prenons le large chemin faisant
Arrivera peut-être un dysfonctionnement
L’ancre coulera nos joies éphémères
Pas de contrat sur parchemin
Pas de "pour le pire et le meilleur"
Nous ne signerons pas de notre sang
Ni peut être même dans nos corps
Refrain
Hier ne sera pas comme une pierre tombale
Le passé ne sera pas nostalgique
Qui blesse l’autre se punira lui-même
Tu savais, tu sais, tu sauras
C’est l’instrument de notre alliance temporelle
Sur le chemin du retour
Après 3 jours vagabonds
Je suis porté jusque là
Mon âme, éveillée
Dialogue avec le vent
Contre les complots et le glas
Refrain :
Les fantômes jouent avec moi
Comme ils jouaient avec nous
Comme un souffle dans le cou
Recoiffant tes cheveux
Les fantômes jouent avec moi
Comme ils jouaient avec nous
Ça peut paraitre bizarre
Ils restent malgré tout
Break :
Dans cette maisooon
Sans toi ni murs
Sont projetées des milliers d’aventures
A l’horizoooon
Les nuages courent
Sans toi ni raison
Sur le chemin du départ
Après 3 jours dans le noir
Je suis porté jusqu’à toi
Au ras du sol, allongée
L’épitaphe divague
Joue sur les mots et aboie
Refrain
Break
Sur le chemin du cimetière
Après 15 ans dans l’argile
Je comprends enfin pourquoi
Les chrysanthèmes ne poussent pas
La vie n’est plus là
Elle est et reste au fond de moi
Dans une contrée aigrie un roi se morfond
Paranoïa calculée
Paroles de suite à excuser
Des piques de défenses
Pour un château affamé
Crucifix dressés
Couronne d’épines retournée
Mise en scène chrétienne
Pour un chemin faussé
Entre dans ce château de vanités
Nourris toi de flots baroques dénués de style
Écoutons les plaintes
Du Drama King
Le bucher est prêt
Qui saura le nourrir
D’une étincelle d’humanité
Pour satisfaire notre saigneur
Partir en flammes
Peut s’avérer héroïque
Mais quand tout autour brûle
Il n’y a qu’un seul brasier
Entre dans ce château de vanités
Nourris toi de venin qui te contamine
Écoutons les plaintes
Du Drama King
Pas d’aubaine au lever du soleil
Pas de pardon à l’horizon
Nous n’écouterons plus les plaintes
Du Drama King
Nous n’écouterons plus les plaintes
Du Drama King
Je veux écrire les sensations
Les poisons de l’être
Déceptions tailladées
Si je dois courir
C’est important de connaitre le sens
Je veux expliquer les mensonges
Les contrevérités
Qui mènent l’humanité
A détruire ce qui est inné
Rien n’est complot
Parle à l’ergot
Rien n’est contrôle
Parle à Paul
Je veux parler d’Amitiés
De solidarité
Si je suis fort
Je sais d’où je viens putain
L’amour te pénétrera
Dans ton anus
S’il faut te faire enculer
Le conscient se situe dans les profondeurs
Rien n’est complot
Parle à l’ergot
Rien n’est contrôle
Parle à Paul
Détruit ton moi
Construit toi
Ce qui a été pensé
N’a jamais émané de toi
Rien n’est formaté
L’identité
Née de l’observation
Non de la sidération
Alors prend le
Je serais là pour t’accompagner
Prends-le
Rien d’autre ne pourra exister
Prend le
Accepte l’univers tout entier
Sens le
Le chemin sinueux
Qui n’est qu’un trait de réalité
Dans un instant de doute
Le calme après le conflit
Subir la mort instantanée
Et se voir le cœur arraché
Souffle à l’esprit
Susurre à l’oreille
Intermittence de sons
Les sensations froides
Notre ami à l’écoute
S’entend parler enfin
Les mots noirs et assassins
Les mots noirs et assassins
Dans un instant de réflexe
Un zeste de survie
Réagir dans l’éthylique
Ronfler aux narcotiques
Cache à tes yeux
Perturbe l’horreur
Les voiles de l’euphorie
Nous mènent en bateau
Notre ami à l'écoute
S’entend parler enfin
Les mots rouges et mensongers
Les mots rouges et mensongers
Déjà s’efface l’instant
Dans une explosion stellaire
Recréer des bribes de vie
Des palpitations primaires
Pose à la conscience
Réveille les stimuli
De frissons électriques
Et d’ondulations d’envies
Notre ami à l’écoute
S’entend parler enfin
Les mots violets et entropiques
Issus du chaos
Des chemins divers
Acheminant les rencontres
Et les flashes nostalgiques
Décembre est là
Parsemé de rouge et de vert
les voies vers l’apothéose
D’argent et d’or
Le froid incommodant
Le désespoir avenant
Ça sent le sapin
Les cerveaux dynamités
Damnés sont les esprits de la fête
Dansant derrière les vitrines illuminées
Décembre est là
On s’offre des présents
Des sourires capitalisés
Nostalgiques que nous sommes
Le festin est servi
Le faste ingurgité
Singer l’hypocrisie
Vomir la vérité
Damnés sont les âmes sans têtes
Dansant dans l’abîme de décembre
Décembre est là
Dans l’inertie du froid
Décembre est là
Les morts se rappellent à toi
Décembre est là
Dans la chaleur incinérée
Décembre est là
Mes pas impressionnent les cendres
Alice s’ennuie toute seule chez elle
Alice s’enfuit mais sans ses ailes
Tout est plus loin
Sur le chemin Elle risque de se perdre
Alice rencontre des hommes de foi
Alice rencontre des femmes de poids
Tout se mélange
Mais tout semble malheureusement régresser
Son pays des merveilles n’est qu’un souvenir
Mais comment alors marcher dans la bonne direction
Alice s’effondre dans ce système
Alice affronte son grand dilemme
Tout est plus cadré
Mais les fous n’en n’auront toujours que faire
Alice a peur dans cette société
Alice est infecté par ces contrôleurs
Qui tentent en vain
D’imposer des lois pour ceux qui ne les respecteront pas
alors elle court toujours plus vite
Pour ce qui reste il est son seul secours
Celui qui masque le mensonge
Celui qui révèle le vrai chemin
Le dealer d’Alice ne vend pas de délice
car ce qui est sucré affecte la réalité
Le dealer d’Alice est le roi de la glisse
Sur la vague empathique et incarnée
Alice succombe aux visions colorées
Alice apprend à discriminer
Ce qui est nécessaire
De l’ensemble bourdonnant qui n’est que futilité
Alice partage sa vision éclairée
Alice s’engage à venir en aide
A Ceux qui se cachent
Dans un confort stressant et vampirisé
Nous aussi nous voulons notre Pays des merveilles
Nous aussi nous sommes des Alice qui se réveille
L'amour est une émotion comme la joie
Ce n'est pas quelque chose de constant.
Elle peut être irrégulière mais peut revenir à chaque instant.
Une histoire d'amour est un vinyle parsemé de microsillons
phasant des intensités et des ambiances différentes
A qui l'ont donne parfois un sens,
Qui constituent parfois l'essence de nous mêmes.
Cherches l'amour et tu ne le trouveras jamais
C'est comme être enfermé dehors sans savoir que l'on est la clé
L'amour est en nous, c'est quelque chose d'inné
C'est comme le rire d'un enfant qui n'a fait que pleurer
Quand il laisse éclater sa joie c'est pour la partager
D'ailleurs le partage ne s'arrête pas à l'autre
Il ne faut pas occulter à l'amour sa capacité ondulatoire
Telle la lumière l'amour ne peut être uniquement corpusculaire
La propagation de sa chaleur transcende les âmes
Qui résonnent alors ensemble
Pour sortir définitivement de l'ombre.
Il avait coupé ses ailes
Marre de voler
Faire des aller-retours
Entre ici et là
Il avait posé ses pieds
Voulu s'enraciner
Sourire un brin
Enfin aimer
Il avait construit
Des murs contre le vent
Souffler un peu
Elever des enfants
Il avait épouser une plante
Bouturé leur union
Pour éclore ses fleurs
A toutes les saisons
Il a retrouvé des plumes
Un peu partout
Dans son Jardin
Jusqu'au grenier
Il agite ses bras
Comme énervé
Bousculant les objets
Et les êtres aimés
Surgi sous ses pieds
Le souffle destiné
A créer la tornade
Qui va l'emporter
Son temps sur terre
est terminé
Un voyage éphémère
En temps d'humanité
I can't say
how many times
how many ways
I could have died
I can't say
How many guys
How many days
I should pray
But let Meee
Just once
let me follow
you in the dive
But let me
Just once
let me borrow
another cloud
I can't stay
with dark in my mind
a tear rolling
that never dry
I can't stay
with fate in my hands
a bullet throwing
a funeral without a cries
But let Meee
Just once
let me follow
you in the dive
But let meee
for the last time
Smile to sorrow
cause it's my tribe