amour
Publié le 01/03/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Sur un cahier aux feuillets blancs,
Se trouve le symbole d’un amour dessiné.
Un cœur fait au crayon, le sentiment est enfant,
Mais deux personnes vont le faire évoluer.
Sur un cahier à la couverture lisse,
Un cœur a trouvé sa place,
Tandis que présent glisse,
Vers deux mains se frôlant avec audace.
Sur un cahier aux écrits d’écoliers,
Un lien a pris son envol, ils sont heureux en premier.
L’étape redoutée est franchie.
Sur un cahier à carreaux, il y a une nouvelle vie,
Qui commence, pour elle pour lui. Ils sont deux.
Unique et amoureux.
Publié le 21/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Je t’aime toi, une révélation,
Faite sans aucune hésitation.
Coup de foudre, coup de cœur,
Les deux, sans trop de réflexion.
Depuis que je te connais toutes mes peines sont douceur,
Tandis que mes joies sont des petits bonheurs.
Je t’aime, grâce à toi chaudes sont mes couleurs.
Mes peurs ne sont pas évanouies, mais suffisamment éloignées,
Pour qu’un seul regard de toi les fasse se dissiper.
Une embellie, qui me permettra d'avancer dans toutes les directions.
Tu es mon étoile, je suis ta constellation.
Nous sommes deux pour une méme passion.
Publié le 21/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Etre amoureux, c’est quoi ?
Pas besoin,
Pour trouver une réponse d’aller bien loin.
Regarde devant toi,
Et tu la trouveras.
Depuis notre rencontre je suis heureux,
Nous construisons pas à pas,
Une relation, faite d’amour, de chaleur,
Qui me fait grandir, le long des heures.
Ce changement, à fait descendre, plus bas,
L’enfant rêveur.
Je me suis transformé, j’espère que cela durera.
Publié le 21/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Permets moi mon amour,
De t’offrir cette fleur,
En ce beau jour.
Reflet de notre mutuel attachement.
Permets moi mon cœur,
Dans la matinale heure,
De te dire je t’aime une fleur
Au rouge pigment.
Permets moi, ma douceur,
De t’offrir ce présent,
Qui a de la passion la couleur.
Permets moi ma tendresse,
De te donner un baiser prouesse,
Pour garder dans mon esprit cet instant.
Publié le 14/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Avant de m’endormir sur le canapé,
Canapé théâtre où nous nous sommes apprivoisés.
Apprivoisés afin de mieux aimer,
Aimer sans cris dans un bonheur,
Bonheur où rien ne compte mise à part la ferveur.
Ferveur de nos coeurs brûlés, à l’émotion neuve succombés.
Succombé n’est pas l’adjectif adéquat,
Adéquat pour autre chose, peut-être, qui sait ?
Sait tire sa racine de savoir, mais l'amour se construit, pas après pas,
Pas de géant, déplacement de fourmi.
Fourmis, qui s’étaient appropriées notre pique-nique aux charmantes facéties.
Facéties de vilains garnements aux poches de larcins garnies,
Garnies, puis sans vergogne vidées, nos deux mains pour le dessert réunies,
Réunies, peu avant de prononcer le oui.
Oui, curieux mot, transformant un homme en cabri.
Cabri, la bête est à cornes, mais ses poches sont baguées.
Bagué, moi, pigeon voyageur, j’ai du mal à croire, là, ici,
Ici, sur ce même canapé, nous nous serons mutuellement épousés.
Publié le 14/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
DUO
Deux,
Sont les amoureux.
Deux,
A être tout simplement heureux.
Deux,
En ce jour fabuleux.
Deux,
Pour s'unir, s'aimer beaucoup.
Deux,
Pour ne former plus qu'un voilà tout.
AMOUR PART A DEUX
Ils sont deux,
Cela depuis quelques jours.
Elle, avec lui, conjugue l’amour.
Au singulier, les voilà heureux.
Ils sont deux,
A se regarder au fond des yeux.
Tendrement, un sentiment amoureux,
Qui a fait naître le feu.
Il est entier,
Ce sentiment si particulier.
Que l’on trouve dans un pré,
Ou simplement dans un escalier
Relation difficile, bien dessinée,
Qu’importe l’amour est simplement beau sans hésiter.
Publié le 14/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Amitié, amour.
Merveilleux sentiments.
Or, argent, cela dépend où souffle le vent.
Unis sur les deux routes, savourent,
Réalité, que pas mal de personnes voudraient mettre en avant.
Publié le 14/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Elle me l’a donné avant mon départ,
Ses yeux étaient rouges, d’avoir trop pleuré
Mon teint lui tirait sur le blafard,
Beau tableau pour une fin d’été.
Au début je le regardais,
En pensant tendrement à celle,
Qui me l’avait octroyé.
C’était comme une ficelle qui nous reliait.
Puis les saisons ont passé,
Sans bruit, automne, hiver,
A la suite sans trop y penser,
Les souvenirs de mon séjour à la mer,
Ont de mon esprit reculé,
J’ai fait des rencontres, je me suis baladé.
Et puis ce matin, après le petit déjeuner,
En ouvrant le tiroir tout est remonté.
Publié le 14/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Ami, amant, amour
Moment précieux, tendresse autour.
Orages quelquefois, soleil toujours.
Unis, dans un sentiment,
Rêveurs de l’avenir, tout autant que du présent.
Exemple unique consacrant le pour.
Une gifle pour les incrédules
X pour lui, y pour elle, ayant leur amour pour bulle.
Publié le 14/02/2007 à 12:00 par rimesoudeprime
Sur le banc, il y a un jeune homme,
Timide, cela ne fait aucun doute.
Regarde, il est déjà rouge comme une pomme.
L’amour chauffe les joues.
Sur le banc, l’attente est longue, son regard va de la montre à la route.
L’amour fait battre le coeur,
Ralentit les heures.
Ses mains crispées doivent ressentir le doute.
Sur le banc les fleurs fatiguent,
Au loin il peut voir la digue.
Une parole frôle son oreille,
Il se retourne, la regarde, s’émerveille.
Sur ce banc, comme la veille,
Nos deux amoureux savourent,
Leurs premiers pas vers l’amour.