Date de création : 28.02.2014
Dernière mise à jour :
24.02.2025
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vous oublier le rock and roll circus a st germain la ou jim morisson est mort un soir de 1971 over dose j'y ét
Par Anonyme, le 25.02.2025
il y en a un qui a été pdt du stade marocain section tennis, pendant pas mal d'années. c'est là que je préféra
Par Anonyme, le 25.02.2025
que de beaux souvenirs,j'en ai la larmes aux yeux ...j'ai les mêmes souvenirs...me rci merci grandement.
b er
Par Anonyme, le 17.02.2025
salam ahlikum shalom aleikhem je suis de kasba tadla et un jour sur un site qui s’appelle dafina j’avais deman
Par Anonyme, le 16.02.2025
av omar ibn khattab
Par Anonyme, le 16.02.2025
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Des J.O. de Berlin aux J.O. de Londres (1936-1948)
Dans la phraséologie nazie, en effet, le terme de « sport » a pu recouvrir différentes significations mortifères comme chasse aux Juifs sans défense, humiliation physique, ou mise à mort.
Dans la première période des camps de concentration de Dachau, Buchenwald, ou Poniatowa, les déportés politiques rejoints par les prisonniers de guerre ont pu pratiquer le sport, comme d'autres activités (théâtre, musique, conférences). De même, dans les ghettos mis en place à Lodz et Varsovie, les populations organisent des séances de gymnastique pour conserver des repères de normalité et de liberté.
Les sports ne sont pas oubliés dans les films de propagande tournés pour témoigner des bons traitements réservés aux prisonniers. Dans le camp de Westerbork, aux Pays-Bas, c'est un interné juif qui tient la caméra à la demande du directeur Lors de la visite de la Croix-Rouge à Theresienstadt (Terezin) en 1944, une partie de football est même organisée entre internés..
Pour les habitants des ghettos, les exercices physiques peuvent aussi être transformés par les persécuteurs en brimades et humiliations : séances de gymnastique au sol dans les rues boueuses de Varsovie, flexions des genoux avec les bras tendus en avant jusqu'à épuisement à Thessalonique, ou bien encore courses de chevaux humains sous les huées à Minsk.
Dans les centres de mise à mort, le sport se présente sous des formes extrêmes comme ces quelques matchs de football attestés entre SS et Totenjüden à Belzec ou bien entre SS et Sonderkommandos à Auschwitz. Les champions juifs, lorsqu'ils sont reconnus, sont très souvent humiliés et victimes de tortures « sportives ». Le champion du monde de natation Alfred Nakache doit, ainsi, à son extraordinaire résistance physique de survivre aux amusements des SS d'Auschwitz : aller chercher les clés et les cailloux qui lui sont lancés au fond d'une citerne d'eau croupie et glacée.
Certains d'entre eux demeurent célèbres comme Young Perez assassiné le 22 janvier 1945 au cours des marches de la mort. Comme lui, de nombreux champions et championnes juifs furent victimes de la Shoah.
Le « sport » dans le ghetto de Salonique. Grèce, 1942.
Images extraites de l’album contenant des morceaux de pellicules du film de propagande réalisé dans le ghetto de Theresienstadt (Terezín) par Kurt Gerron, acteur et réalisateur juif à la demande du commandant du camp Hans Günther.