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Date de création : 29.02.2008
Dernière mise à jour : 28.03.2014
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animaux animaux afrique animaux félins antarctique antarctique arctique arctique et antarctique arromanches automne background bonne calvados cheval

News de la planète

POURQUOI PAS ?

Publié le 21/09/2012 à 11:11 par sosduneterrienneendetresse Tags : enfants background photos argent animaux

 

 

background: white; mso-background-themecolor: background1;">Pourquoi mettre des images horripilantes seulement sur les paquets de cigarettes ?.

Pourquoi pas des photos d’enfants qui meurent de faim, sur les boîtes de Mac Do ?

Pourquoi pas des photos d’animaux torturés, sur les produits cosmetiques ?

Pourquoi pas les photos des victimes tuées par les conducteurs ivres, sur les bouteilles de bière et de vin ?

Pourquoi pas les photos des politiques pourris, malhonnêtes, voleurs, en train de profiter de notre argent, sur les formulaires des déclarations d'impôts ?Même si 100% d'entre vous êtes d'accord, je parie que seulement ...99% feront suivre

 

OGM GREENPEACE

Publié le 21/09/2012 à 11:05 par sosduneterrienneendetresse Tags : monde france mode animaux patrimoine

 

 

Un OGM est un organisme vivant dont on a manipulé en laboratoire le patrimoine génétique afin de lui conférer certaines

propriétés nouvelles : tolérance à un herbicide ou production d'un insecticide.

Les OGM dans l’alimentation

En France, les OGM sont relativement peu présents dans les champs, mais ils sont omniprésents dans les assiettes. On peut en effet les

retrouver directement dans certains produits, mais aussi indirectement dans de nombreux produits issus de l’élevage des animaux.

Directement et étiquetés

Dans nos aliments quotidiens, les OGM se retrouvent sous la forme d’ingrédients et/ou d’additifs issus de plantes transgéniques,

principalement soja, maïs ou colza. La réglementation impose que l’étiquetage signale ces produits lorsqu’il contiennent plus de 0,9%

d’OGM. Heureusement, en France, la résistance des consommateurs a permis de limiter à une trentaine le nombre de ces aliments sur

les rayonnages des supermarchés. Il s’agit de produits de niche et d’importation : huile de soja, pop-corn, marshmallow, etc. Vous

trouverez leur liste complète est sur :

http://www.greenpeace.org/france/detectivesOGM/

Indirectement et cachés

La plupart des OGM est toutefois destinée à l’alimentation des dizaines de millions d’animaux élevés en France. C’est le cas du soja,

importé d’Amérique du sud et d’Amérique du nord, où il est majoritairement OGM. Ainsi, en l’espace d’une dizaine d’années, les

OGM ont été massivement et indirectement introduits dans notre alimentation, alors même que des doutes sérieux existent quant à

leur innocuité. Il n’y a pas d’obligation d’étiquetage pour les produits issus d’animaux. Les consommateurs, largement opposés aux

cultures OGM, sont rendus complices de l’extension de ces cultures dans le monde. Pour réaliser ce guide et permettre aux

consommateurs de refuser les OGM, Greenpeace a envoyé un questionnaire aux industriels de l’agroalimentaire afin de savoir si des

OGM sont utilisés dans la fabrication des produits. Selon leurs déclarations, ces produits sont classés dans l’une de ces trois

catégories.

Vert : le fabricant garantit ne pas utiliser de produits animaux ou issus d’animaux nourris aux OGM.

Orange : le fabricant affirme avoir entamé une démarche pour exclure les OGM de l’alimentation animale, mais ne peut pas

encore garantir qu’il n’en utilise plus du tout.

Rouge : le fabricant ne certifie pas que les produits animaux ou issus d’animaux, utilisés dans la fabrication de ses produits,

proviennent de bêtes nourries sans OGM. Les entreprises qui ne nous ont pas répondu sont également classées ici.

N.B : La majorité des entreprises classées dans la liste rouge ne nous ont pas répondu. Les fabricants qui font des efforts ont tout

intérêt à le faire savoir. En privilégiant les produits “verts”, vous protégez votre santé, bien sûr, mais surtout vous agissez

concrètement pour barrer la route aux OGM et ainsi préserver l’environnement !

L'agriculture biologique, la garantie absolue

Le cahier des charges de l’agriculture biologique exclut les OGM à tous les stades.

Labels et AOC : le grand flou

Attention ! Les cahiers des charges Label rouge (LR) et ceux des Appellations d’origine contrôlée (AOC) n’excluent pas

systématiquement l’utilisation de produits OGM. Il faut donc vérifier au cas par cas. Cependant, de nombreux fromages AOC et

volailles fermières sont sans OGM.

Marques de distributeurs (MDD) : méfiance !

Les grandes chaînes de supermarchés distribuent de nombreux produits alimentaires sous leurs propres marques. Attention ! Sauf

exception signalée, la quasi-totalité de ces MDD tolèrent les produits provenant d’animaux nourris aux OGM.

Pour aller plus loin

• Portez le badge

Une façon amusante d’interpeller votre entourage, les agriculteurs, les commerçants... À mettre en toutes circonstances ! Pour

recevoir un badge, envoyez-nous une enveloppe timbrée.

• Devenez détective OGM

Sur www.detectivesOGM.org , vous retrouverez votre Guide OGM, ainsi que le mode d’emploi pour devenir « détective » et nous

aider à débusquer les OGM dans les magasins et dans les champs.

• Interpellez les commerçants

En leur envoyant un courrier et en discutant avec eux, demandez aux fabricants et aux distributeurs de produits alimentaires d’exclure

les OGM et envoyez-nous leur réponse !

Greenpeace est une organisation de défense de l’environnement, internationale et non-violente. Pour garantir son indépendance, elle

refuse les subventions publiques comme les contributions des entreprises. Greenpeace ne vit que des dons et du soutien fidèle de ses

trois millions d’adhérents. Rejoignez-nous !

GREENPEACE 22 rue des Rasselins 75020 Paris – Tél. 01 44 64 02 02 –

POUR VOIR LA LISTE COMPLETE DES ALIMENTS, SUIVRE CE LIEN

http://guide-ogm.greenpeace.fr/guideogm.pdf

 

www.greenpeace.fr

 

OGM ET PRODUITS ALIMENTAIRES

Publié le 21/09/2012 à 10:58 par sosduneterrienneendetresse Tags : OGM animaux divers

 

http://www.ogm.gouv.fr

Le seul OGM autorisé à la consommation en tant que tel est le maïs doux. Plusieurs ingrédients dérivés d’OGM (maïs, colza, soja, coton, betterave) sont également autorisés en alimentation. À noter que les pousses dites de soja sont en réalité des pousses de haricot mungo qui n’ont rien à voir avec le soja utilisé dans l’industrie agro-alimentaire.

Tous ces produits doivent être étiquetés pour leur caractère génétiquement modifié, sauf en cas de présence fortuite à une teneur inférieure à 0,9%, en application du règlement 1829/2003 relatif aux denrées alimentaires et aliments pour animaux génétiquement modifiés.

Des produits dérivés d’OGM sont autorisés sous la forme :

  • d’aliments :

- à base de maïs : farine et semoule de maïs, huile de maïs, chips de maïs salées, pétales de maïs pour petit déjeuner ; 
- à base de soja : huile de soja, tonyu, tofu, crèmes desserts à base de soja, sauce de soja ; 
- à base de colza : huile de colza ; 
- à base de betterave sucrière : sucre.

  • d’ingrédients :

- farine de maïs dans le pain, les céréales pour petit-déjeuner, les biscuits apéritifs... 
- flocons de maïs dans les barres de céréales... 
- semoule de maïs dans les biscuits apéritifs, la chapelure, la bière, les céréales pour petit déjeuner... 
- amidon de maïs et liants amylacés (fécule) dans les plats cuisinés, les sauces, la charcuterie, les crèmes desserts, les préparations pour desserts déshydratées, les potages, les petits pots pour bébés, les pâtisseries... 
- dérivés de l’amidon de maïs (sirop de glucose, dextrose, maltodextrines ...) dans les sauces, les biscottes, les barres céréales, les bières, les potages, les biscuits apéritifs, les préparations de fruits sur sucre incorporés dans les yaourts et divers desserts, les glaces... 
- farines de soja dans le pain, le pain de mie, les pâtisseries... 
- protéines de soja dans les plats cuisinés, la charcuterie, les préparations pour nourrissons... 
- matières grasses végétales (maïs, soja, colza) dans les barres céréales, le pain de mie, les biscuits apéritifs, les pâtisseries, les matières grasses à tartiner, les potages... 
- huile de coton dans les fritures pour aliments...

  • d’additifs :

- issus du maïs : amidon oxydé (E 1404), phosphates d’amidon (E 1410, E 1412 à E 1414), amidons acetylés (E 1420, E 1422), amidons hydroxypropylés (E 1440, E1442), succinate d’amidon (E 1450), amidon oxydé acetylé E1451), caramels (E 150a à E 150d), sorbitol (E 420), mannitol (E421), isomalt (E 953), maltitol (E 965), lactitol (E 966), xylitol (E 967), glucono-lactone (E 575), erythorbates (E 315 et E 316) ; 
- issus du soja : lécithine (E 322), huile de soja oxydée (E 479b).

  • de supports d’arômes :

- produits dérivés du maïs tels que amidons, maltodextrines, beta cyclodextrine.

NASA : Animation des données de températures de 1884 à 2011

Publié le 14/09/2012 à 12:23 par sosduneterrienneendetresse Tags : animation

Changeons nous nous mêmes

Publié le 08/09/2012 à 11:45 par sosduneterrienneendetresse Tags : monde background

 

Ce monde est ce que nous en avons fait.

S'il est sans pitié aujourd'hui, c'est parce que nous l'avons rendu impitoyable par nos comportements.

Nous ne pouvons changer le monde que si nous changeons nous-mêmes, et cela commence par notre langage et notre façon de communiquer.

 

Gandhi

 

Pollution des océans : nous nageons au milieu des ordures

Publié le 12/08/2012 à 10:23 par sosduneterrienneendetresse Tags : pollution
Pollution des océans : nous nageons au milieu des ordures

 

 

Une mer de débris grandissante menace la santé des hommes, des animaux, et la survie de communautés entières qui s'appuient sur les ressources marines pour survivre. L'ONG Ocean Conservancy mène depuis 25 ans un combat sans relâche contre ces accumulations de débris : le nettoyage des plages avec l'aide de centaines de milliers de bénévoles, et la sensibilisation des hommes sur l'impact de la surconsommation. Car si nos déchets se retrouvent dans les océans, c'est bien souvent faute de recyclage ou d'éducation au respect de l'environnement. Ocean Conservancy organise ainsi tous les ans une opération de ramassage de déchets sur les plages dans 108 pays.

Des déchets qui proviennent majoritairement de la terre

Le groupe d'expert des Nations Unies sur les pollutions marines (GESAMP) estime qu'environ 80% des débris marins sont d'origine terrestre. Les 20% restant sont d'origine marine. On peut classer ces sources de pollution en quatre grands groupes :

• le tourisme côtier : détritus abandonnés par les usagers des plages, comme les restes de pique-niques, les emballages de boissons, mégots, paquets de cigarettes et jeux de plages en plastique.

• les rejets d'eaux usées : eaux provenant des déversoirs d'orage et des trop-pleins d'égouts combinés rejetant les eaux usées directement dans la mer ou les rivières en période de forte pluie. Ces eaux usées emportent avec elles des déchets tels que les ordures abandonnées dans les rues, dont des préservatifs et des seringues...

• la pêche : cordages et filets de pêche, nasses et élastiques des boîtes à appâts perdus accidentellement par les bateaux de pêche ou volontairement jetés à l'eau.

• les navires et bateaux : les marées noires dues aux naufrages de cargos sont certes spectaculaires, mais elles ne représentent environ que 5 % des populations marines, tandis que les déballastages, dégazages et autres déversements pétroliers (ports industriels, plate-forme, offshore,...) sont à l'origine d'environ 25% de ces pollutions.

Il est donc indispensable de sensibiliser à la fois les citoyens, les pêcheurs, les industriels et les gouvernements locaux. Les marées noires, souvent plus médiatisées car plus impressionnantes sont loin d'être la cause la plus importante de pollutions marines, d'après ces chiffres.

Quand les plages se transforment en cendriers...

Dans son bilan des 25 dernières années de ramassage de déchets, Ocean Conservacy a dressé un top 10 des déchets les plus courants. Et ce sont les mégots de cigarette qui arrivent sans trop de surprise en tête de ce triste palmarès. On en a ramassé près de 53 millions, soit trois fois la quantité d'emballages alimentaires ou de capsules/bouchons de bouteilles, les suivants sur la liste. Cependant, il ne faut pas croire que les fumeurs qui enterrent soigneusement leur mégot dans le sable sont les seuls responsables de cette pollution. " Un mégot jeté par terre en ville a de très fortes chances de finir sur une plage " souligne la fondation Surfriders. Comment ? Tout simplement sous l'action de la pluie ou des services de nettoyage des villes, le mégot finit dans les égouts, c'est-à-dire dans le réseau d'eaux pluviales, un réseau qui se déverse au final dans un cours d'eau ou dans l'océan. Evidemment, tout autre objet jeté sur le trottoir (chewing-gums, gobelets plastiques, ...) subit le même sort !

Les autres déchets figurant dans le palmarès des déchets les plus fréquemment ramassés sont les couverts, les sacs plastiques, les pailles, les bouteilles, les canettes ou encore les morceaux de corde. Les bénévoles tombent également sur des objets plus inattendus tels que des instruments de musique, des portières de voiture, des préservatifs ou encore des réfrigérateurs.

Les impacts de ces accumulations de déchets sont bien connus. Près de 200.000 articles recensés au cours de l'opération constituent une menace directe pour la santé publique. Les débris issus de l'électroménager, les accumulateurs, les pièces détachées de voiture et les tambours chimiques peuvent libérer des substances toxiques dans l'eau, tandis que les articles issus de l'hygiène personnelle (préservatifs, couches jetables, seringues et les tampons/applicateurs de tampon) peuvent transmettre des bactéries.

Pour Tamoy Singh, le coordinateur du ramassage en Jamaique, " les fragments de plastique sont de loin les déchets les plus présents sur nos plages. Les bénévoles étaient si fatigués de les compter qu'ils finissaient par écrire " un tas ", " énormément ", " trop pour les compter ". Nous avons dû prendre en compte cela dans nos formations pour ne pas mettre en jeu la précision du comptage."

Les conséquences les plus impressionnantes de ces poubelles flottantes sont directement observables sur la faune qui peut rester piégée ou s'étouffer en confondant ces débris avec des aliments. En 2010, 488 animaux ont ainsi été retrouvés pris au piège de débris. Parmi les espèces les plus touchées : les oiseaux marins, les poissons et les invertébrés. Mais certains mammifères tels que le dauphin et l'otarie sont également victimes de leur curiosité. " Ce sont souvent des animaux qui veulent jouer et qui se retrouvent pris au piège de leur jeu avec un élastique, une ancienne ligne de pêche " explique l'ONG Ocean Conservancy.

Comment lutter contre ces pollutions ?

Lutter contre tous ces phénomènes passe d'abord par le choix de produits non emballés. Bien-sûr, le recyclage et la pratique du troc contribuent grandement à diminuer les ordures qui peuvent se retrouver dans l'environnement. Ocean Conservancy conseille notamment d'éviter les bouteilles en plastiques en utilisant une gourde ou encore, pour les fumeurs, d'utiliser systématiquement des cendriers (de poche). Mais plus fort et plus loin que les éco-gestes, l'ONG incite à la responsabilisation de son entourage, des entreprises et des pouvoirs publics. Elle soutient notamment les nouveaux coordinateurs souhaitant organiser une opération de nettoyage. " En tant que coordinateur, vous prendrez un rôle de premier plan contre un problème que l'on peut facilement éviter " explique l'ONG sur son site. " Ocean Conservancy, vous aide à trouver des partenaires appropriés dans votre pays ou région pour procéder à une action de nettoyage. Vous n'êtes pas seul pour mener cette opération; vous recruter d'autres bénévoles motivés pour jouer le rôle de capitaines de site, qui ont la responsabilité des nettoyages localisés. "

Avec son action de lobby sur les industriels et les pouvoirs publics, Ocean Conservancy, aux côtés d'autres associations de défense du milieu marin tels que la fondation Surfriders, agit ainsi de manière déterminante pour la protection de l'environnement.

 

Protection de la planète : 10 bonnes idées pour s'impliquer

Publié le 12/08/2012 à 10:20 par sosduneterrienneendetresse Tags : animaux france article mode nature fleurs jardin monde argent travail

Missions d'écovolontariat, finance solidaire, soutien des petits producteurs, protection des animaux et de la biodiversité,... puisque le changement et l'engagement, c'est maintenant, voici plusieurs bonnes idées pour vous impliquer.

  • Parrainez une ruche

A cause de la pollution, et des pesticides notamment, les abeilles, indispensables pour polliniser les plantes, disparaissent massivement. Pour agir en faveur de leur protection, vous pouvez parrainer une ruche, et parfois même recevoir du miel en échange.

Pour agir :

www.26ruedumiel.com
www.untoitpourlesabeilles.fr
www.parrains-d-abeilles.com

  • Nettoyez les plages

Les mégots, sacs plastiques et autres détritus souillent les côtes et polluent les mers. De grandes opérations de nettoyage à l'ambiance conviviale sont organisées régulièrement afin de ramasser ces déchets, inscrivez-vous pour participer !

Pour agir :

www.initiativesoceanes.org
www.oseonline.net
www.lesrikikibians.fr

  • Créez un compost de quartier

Au lieu de jeter toutes vos épluchures de fruits et légumes à la poubelle, gardez les pour en faire du compost qui sera ensuite transformé en engrais. Pour créer des liens avec vos voisins et partager avec eux vos valeurs écologiques, créez un bac de compostage collectif (dans votre immeuble, votre quartier ou votre entreprise).

Pour agir : www.reseaucompost.org

  • Plantez des arbres dans les pays du Sud

Pour régénérer la biodiversité et venir en aide aux populations forestières menacées, parrainez la plantation d'un arbre ou d'un bouquet d'arbres. Vous aiderez de plus les habitants de ces forêts à accéder à une autonomie économique.

Pour agir :

www.coeurdeforet.com
www.planete-urgence.org 
www.kinome.fr

  • Semez la nature en ville

Pour mettre au peu de vert au milieu du béton, lutter contre la pollution et favoriser la biodiversité, fleurissez votre balcon, adhérez à un jardin bio partagé, et plantez des fleurs au pied des arbres ou dans les friches de votre ville.

Pour agir :

www.guerilla-gardening-france.fr

  • Sponsorisez des terres menacées

Des investisseurs achètent en masse des terrains qu'ils dévastent ou confisquent aux populations locales. Afin d'agir, vous pouvez sponsoriser des parcelles au Pérou, en Equateur... mais également en France pour sauver la Camargue, les Landes ou encore le Marais Poitevin !

Pour agir :

www.coolearth.org
www.tchendukua.com
www.wwf.fr 
www.amisdelaterre.org

  • Placez votre argent dans des fonds et des projets solidaires et écologiques

Gagnez de l'argent tout en contribuant à la protection de la planète ? oui, c'est possible ! en faisant de la finance solidaire : en placant sur des fonds d'investissement socialement responsables ou encore en achetant des parts d'entreprises solidaires.

Pour agir :

www.habitat-humanisme.org
www.terredeliens.org
www.lanef.com
www.energie-partagee.org

  • Soutenez les petits producteurs bio français

Vous pouvez favoriser l'agriculture paysanne et respecteuse de votre santé et de l'environnement en adhérant à une AMAP bio. Les AMAP tissent des liens directs entre producteurs et consommateurs. Elles vont permettront de recevoir régulièrement des fruits et légumes de saisons, oeufs, viandes, fromages,... cultivés et produits localement et 100% bio !

Pour agir : www.reseau-amap.org

  • Participez à des missions d'écovolontariat en France et partout dans le monde

Vous souhaitez vous engager sur un travail de terrain et voyager ? devenez bénévoles pour des missions écologiques : protection des animaux, travail à la ferme, chantiers écologiques, guide naturalistes...

Pour agir :

www.eco-volontaire.com
www.jagispourlanature.org 
www.servicevolontaire.org

Offrez une poule

La famine et la malnutrition touchent de nombreux pays du Sud... Aidez des familles rurales déminies de pays en développement à acquérir une autonomie durable, alimentaire et économique, grâce au microcrédit en animaux. En leur concédant un prêt ou leur offrant une poule, une lapine ou encore une ruche, vous les aiderez ainsi à (re)démarrer leur exploitation.Pour agir :

www.elevagessansfrontieres.org
www.zebu.net
www.zob-madagascar.org

 

« Curiosity », ou « radioactivity » ?

Publié le 12/08/2012 à 10:09 par sosduneterrienneendetresse Tags : background bonne vie homme histoire

 

Le MSL « Curiosity » embarque 5 Kg de Plutonium-238 et un détecteur de radiations « évolué »

Le véhicule télécommandé de la NASA qui a récemment « amarsi « et dont on nous rebat les oreilles avec d’autres joyeusetés olympiques saisonnières tout aussi assoupissantes (sur un plan purement « informatif ») s’avère emporter plusieurs kilos de PuO2 afin d’alimenter ses composants électriques et électroniques prévus pour fonctionner de 2 à 10 années.

 

Le MSL « Curiosity » embarque 5 Kg de Plutonium-238 et un détecteur de radiations « évolué »

Le véhicule télécommandé de la NASA qui a récemment "amarsi" et dont on nous rebat les oreilles avec d'autres joyeusetés olympiques saisonnières tout aussi assoupissantes (sur un plan purement « informatif ») s'avère emporter plusieurs kilos de PuO2 afin d'alimenter ses composants électriques et électroniques prévus pour fonctionner de 2 à 10 années.

 

Enfermer 5 Kg de Plutonium dans un engin susceptible d'exploser dans l'atmosphère, est-ce réellement une bonne idée ?

Les ingénieurs ayant conçu l'engin lui ont accolé, à titre expérimental, un nouveau type de générateur électrique (MMRTG) fonctionnant avec un carburant à base de Dioxyde de Plutonium (PuO2) et des thermocouples de nouvelle génération.

 

Les précédents engins "d'exploration" emportaient fréquemment une charge de combustible nucléaire de Polonium-210 (demi-vie : 138 jours) dont la radiotoxicité était également très élevée ; il faut savoir que la radioactivité dégagée par le Plutonium-238 est environ 250 fois plus élevée que celle du Plutonium-239 de "qualité militaire".

 

Les missions précédentes semblaient revenir à des générateurs solaires plus classiques et plus sages mais la NASA, probablement décidée à remonter la réputation d'un électronucléaire bien tristounet, est revenue à ses amours nucléaires antérieurs.

Donc, la toxicité du Pu-238 est telle qu'une dose de 0.18 µg (180 milliardièmes de gramme) suffit à tuer un humain en lui communiquant une dose équivalente mortelle de 5 Sv (calcul AIPRI) !

 

Les 5 kg de Pu-238, toujours d'après les estimations de l'AIPRI, auraient ainsi pu libérer environ27 milliards de doses potentiellement létales si le propulseur Altlas-V avait dû être auto-détruit dans sa phase de vol atmosphérique (quelques minutes seulement, mais les plus critiques du vol).

 

La NASA prête à « décontaminer » en cas d'accident grave lié à son joujou

 

Le plus fort dans cette histoire, c'est que la probabilité d'accident grave lors du lancement avait été estimée par les ingénieurs de la NASA (1/420 en phase stratosphérique) (1) et que cette dernière s'était même « amusée » à chiffrer les coûts d'une éventuelle décontamination –probablement « à la Japonaise » comme si décontaminer suffisait à annihiler voire même à limiter les effets d'une telle catastrophe !

 

Dès que le Plutonium est "incorporé" (avalé ou respiré), la messe est dite !

 

Décontaminer ne s'applique qu'aux surfaces contaminées, pas aux êtres vivants qui se trouveraient sur le trajet de descente de ce poison et qui seraient condamnés dès lors qu'ils auraient respiré quelques milliers de particules extrêmement fines (2) de ce "nuage" empoisonné ; si la dose inhalée est plus faible, une seule particule de Plutonium peut entrainer une radiotoxicité locale très importante sur les cellules voisines (3) et déclencher une réaction en chaîne cellulaire.

 

Le Plutonium, élément artificiel par essence dispersé dans le cosmos, est-ce "éthique" ?

Sur un plan plus "cosmologique", en admettant que la planète Mars soit habitée par autres choses qu «‘au mieux des amibes » comme le pensent certains cerveaux terrestres hyper-développés, voir débarquer sur « leur » planète un radioélément parfaitement artificiel et parfaitement nuisible pose un gros, gros problème éthique : jusqu'où l'homme est-il prêt à exporter sa bêtise ? Probablement au bout de l'univers ?