Sous le murmure des arbres seigneurs investis d'une obligation de vie, pour nourrir nos êtres de leur fameux bien être, vivait une cabane toute détruite d'une partie de son âme.

Dissimulée sous un attrait de feuilles lui donnant sous l'automne un aspect serein, malgré son toit de tuiles cassé, démoli, donnant un pauvre style apparent, à la masure sous ce chant de grisaille au jour qui défaille, d’une intempérie de ripailles, quelques bêtes y trouvaient encore refuge, quand aux portes d'un déluge, l'orage donnait de la voix, sous le bois.

Garde bien tes secrets sous la complainte nostalgique d'il était une fois hier.

Et passent nos pas, le temps continue sa ligne d’horizon ne s’arrêtant pas, sous la trêve d’un regard qui embellit, d’une émotion, une seconde d’intérêt, sous le charme d‘un jour.

Auteur mpb

L'automne baigne sous un flot de souveraines, modifiant le chemin d'une patinoire de bogues, où vos pieds glissent de plus belle, écrasant dame châtaigne.

Auteur mpb

Pomme ce fameux fruit des hommes qui réjouit de sa saveur exquise la bouche qui s'envivre.

Et la nature rayonne de sa magie  d'automne.

Auteur mpb          

Embellie d'une mousse, tes pierres carrées, arrondies d'une certaine nostalgie, s'allongent.

 L'eau te raconte mille et un voyage diluant aux nuages une suite de pages au livre de ton sillage.

 Un moment se perd auprès de ta rivière, vieil ami tu reposes de ces vilains plis de la vie, l'harmonie s'impose, comme une mélodie de rose.

Au-dessus le balancement câlinant de ton compère l'acacias, joue une musique pour accentuer l'oubli du poids de toutes ces drôles de choses qui passent et repassent par ta voie.

Un instant de paix, au milieu d'une nature d'une démesure qui dilue un savoir secret, sous l'usure du temps qui s'accorde un effet.

Auteur mpb

Quand aux plaines des lunes le temps devient gris, c 'est au fond de ton antre, caressé de tes branches que s'évade l'idylle d'un beau dimanche aux pierres de ton chemin.

la paix ici règne en maîtresse cajolant à tout va d'une brise caresse, la tresse qui se balance d'un côté de ton opale de teint, et s'éloigne le monde, seule sous l'appel infini ta poésie de silence, transporte les harmonies.

Des ailes d’oiseaux volent sous l’écho, plus rien ne compte, juste cet instant d’une mémoire d’amour pour seconde, à la vie.

Auteur mpb

Puits du savoir écrit à l'encre noire sous le sous bois qu'un regard dans le silence dévisage ta chance, chut, ne bouge plus, une biche au milieu des fougères rouillées de l'hiver, te scrute à sa manière, le temps d'un court instant, avant de s'élancer plus loin, sous le vent.

Auteur mpb

Seul au milieu de nul part, il dépose sa prose de fleurs d'une candeur de bonheur, resplendissant les alentours modestes, de son allure de preste.

Auteur mpb

Tranquille, sous les voies de pluie, gardant au sentier une allée toute mouillée,

 attention mon ami(e) où mettre les pieds, tout glisse d'une boue détrempée.

Et avancer quand même, rêvant de bohème sous le gris d'un azur fâché, lâchant une fois pour toutes ses dernières larmes à la nature rassasiée.

Une leçon d'humilité s‘impose, pour trouver la clef des prés, sous une autre leçon de chose qui nous en compte de regarder, toujours plus loin sur le côté, pour y trouver l‘affiche rêvée.

Auteur mpb

Au calme de l'eau se nourrir d'un son mélodieux pour espérer atteindre, l'ultime repaire d'un voeux qui use la complainte, des noeuds.

Auteur mpb

Sous l'aube tranquille, un matin fragile, enveloppé d'un châle de blancheur aux clameurs insouciantes de la nuit, laissant sur l’horizon, un tapis d’émotions, au cachet rebelle d’une mélancolie naturelle.

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