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T-AUTRES NOMS BENZAKEN - BENZAQUEN.

ARTHUR BENZAQUEN. PRODUCTEUR-COMÉDIEN. KEN CLUB-KLAY.

Publié le 01/04/2014 à 22:45 par benzaken-descendance Tags : anniversaire image background sur center vie place sport article création enfant

Patron du Ken Club et du Klay, Arthur Benzaquen a rendu trendy le sport en salle en créant des lieux de vie très parisiens. Mais cet enfant du XVIe est aussi producteur, comédien et amateur d'art éclairé.

 

 

Arthur Benzaquen a passé son enfance dans le quartier d'Auteuil, ­fréquenté les lycées Molière et La Fontaine pendant que ses parents créaient l'un des premiers clubs de sport de ­Paris : le Ken Club, avenue Kennedy. Aujourd'hui, Arthur et son frère ont repris les affaires et fêtent les 25 ans du club ultrachic, qui compte parmi ses membres de nombreuses personnalités de la politique et des médias. L'anniversaire célébré comme il se doit, en grande pompe, est marqué par la création de produits de luxe ­exclusifs (malle Goyard, montre Reverso…) vendus sur place. Mais si Arthur Benzaquen, 36 ans, a su développer l'entreprise familiale en ouvrant un second complexe de sport ­ultrabobo - le Klay, dans le quartier Montorgueil -, il s'illustre également dans le domaine du cinéma et de la télévision en tant qu'acteur et producteur. Appartenant à cette génération de slashers, il cumule les casquettes, dont celle de collectionneur de mobilier signé et d'art contemporain.

FRANCK-ELIE BENZAQUEN. LE KEN CLUB ET LE KLAY.

Publié le 01/04/2014 à 22:46 par benzaken-descendance Tags : écran monde machine image background prix sur center bonne base vie moi france coup soi abonnement sport homme belle travail centre internet pouvoir

Il se destinait aux nouvelles technologies, c’est finalement dans l’univers du fitness que Frank-Elie Benzaquen a mis à profit tout son génie. À 42 ans, cet ancien polytechnicien co-dirige avec son frère, deux très belles adresses : le Ken club et le Klay. Coup de projecteur sur un quadra surdoué.

 

Il est des destins contrariés. Celui de Frank-Elie Benzaquen en fait partie. À 42 ans, ce « fils de » raconte volontiers qu’il se destinait « à tout sauf à cela ». Un « cela » qui cache modestement une ascension fulgurante dans un univers en plein essor. Pointer du doigt le hasard serait sans doute exagéré. Ou alors un hasard cousu de fil blanc. Il n’empêche : le Ken Club, pour lui, « c’était la chasse gardée de (ses) parents ». En aucun cas son aventure. L’histoire avec un petit h en a décidé autrement.

Aujourd’hui, il est entré dans l’Histoire avec un grand H. Celle du fitness. Tout commence à l’aube des années 2000. M. et Mme Benzaquen sont face à un choix cornélien : vendre leur club haut de gamme ouvert en 1985, ou réaliser d’importants travaux de rénovation estimés à trois millions d’euros ? Plus proches de la retraite que de leurs jeunes années, ils optent pour la première alternative.

C’est sans compter Arthur, fils cadet du couple. « Mon frère est venu me chercher pour me convaincre de reprendre avec lui l’affaire familiale. Je me souviens de son discours comme si c’était hier : secteur prometteur, industrie d’avenir, club jouissant déjà d’une belle renommée, base de données très fournie… », énumère Frank-Elie dans un éclat de rire. Alléchants, ces arguments laissent pourtant de marbre l’aîné des Benzaquen. Il faut dire qu’à cette époque, il n’a que 32 ans, et surtout un avenir professionnel tout tracé dans le domaine des nouvelles technologies.

« Après Polytechnique, j’ai travaillé dans un prestigieux cabinet de conseil en stratégie (Mars and Co, ndla), puis lancé un incubateur Internet financé par Vivendi. J’étais très loin de cet univers ! » Loin de cet univers, c’est vite dit ! S’il est vrai qu’il a toujours boudé les salles de cette très belle adresse au profit des cours de tennis et terrains de football environnants, le jeune homme a tout de même informatisé le Ken Club durant ses études à l’X (en 1993 très exactement).

« J’ai baigné dans le fitness depuis mes 13 ans. Mon frère a réussi à trouver les arguments, et ma connaissance du milieu a, je pense, fait le reste. Néanmoins, ce qui a le plus pesé dans la balance, c’est l’envie de travailler en famille. »

Le grand saut

Une fois le « oui » (tant attendu) de Frank-Elie prononcé, les choses s’enchaînent très vite : les deux frères établissent un business plan, rencontrent des investisseurs, et démarchent les banques. « Beaucoup de proches et de gens de notre entourage ont parié sur nous en mettant de l’argent sur la table », se souvient ce quadra avec reconnaissance. Il faut finalement peu de temps aux deux frères pour réunir la somme nécessaire et débuter les travaux. Ils dureront un an. Pendant ce temps, les adhérents ont le choix : obtenir le remboursement du solde de leur abonnement ou un report dans le nouveau club avec en prime deux mois offerts.

« Pour ne pas perdre trop de clients dans la bataille, nous avons négocié des partenariats avec le Club Med Gym, le Royal Monceau et le Racing Club », révèle Frank-Elie. La stratégie s’avère très efficace. Lorsque le Ken Club version 2 ouvre une année plus tard – nous sommes alors en 2002 –, 600 des anciens adhérents poussent les portes de cet établissement de 1700 m2. « Il ne nous en manquait plus que 400 pour atteindre notre seuil maximal fixé à 1000 personnes », ajoute-t-il.

En clair, le succès est au rendez-vous ! Il faut dire que les deux frangins ont vu grand, et, surtout, ils ont travaillé le concept d’arrache-pied. « Nous avons eu envie d’offrir à nos clients autre chose qu’un établissement dédié simplement au sport. Ce dont ils avaient besoin, c’était d’un véritable lieu de vie. Pour l’époque, c’était très novateur. » Fort de cette idée, le club se dote d’un restaurant, d’une terrasse et d’un solarium en plus des nombreux aménagements dédiés au bien-être.

Parmi ceux-ci, un Spa composé de cinq cabines de soin et de deux très grands hammams avec salles de gommage, et de deux piscines dont une à jets. « Nous avons, en outre, poussé jusqu’au bout la logique de prestation de services avec des offres dignes d’un d’hôtel cinq étoiles ! », commente-t-il. Déjà habitués aux serviettes et peignoirs en libre-service, les adhérents voient leur vestiaire se remplir de produits de soin et de courtoisie. Le service voiturier est, quant à lui, évidemment maintenu.

Côté équipement, Arthur et Franck-Elie veulent le top du top. Parce que rien n’est trop beau pour leurs clients, ils s’envolent pour Las Vegas et n’en reviennent qu’après avoir trouvé des stèles permettant d’insérer des écrans sur les machines cardio ! Douze ans plus tard, chaque appareil est doté d’un écran LCD avec 30 chaînes TV, un accès Internet, un port USB et un plug iPod. Ils passent également un partenariat avec Technogym pour bénéficier des derniers équipements de la marque en avant-première.

« Quand on vise le haut de gamme, on ne peut jamais se reposer sur ses lauriers, précise cet ancien ingénieur. Il faut constamment innover, proposer des services supplémentaires, apporter des innovations… » Dernière en date : un mur végétal de Patrick Blanc. Rassurés sur leur capacité à gérer un centre de remise en forme hyperluxueux, les deux frères décident d’aller voir ailleurs s’ils y sont. Au Klay par exemple !

Du Ken Club au Klay

« Pour Arthur et moi, il a toujours été clair que le Ken Club n’était qu’un début », raconte l’aîné de la fratrie. S’appuyant sur leurs compétences respectives (Arthur a plus la fibre marketing et commerciale, alors que Frank-Elie possède des qualités de gestionnaire), ces deux brutes de travail ouvrent le Klay en 2009. « Nous n’avons pas voulu dupliquer le Ken Club pour une raison très simple : le 2e arrondissement de Paris n’est pas le 16e ! Le pouvoir d’achat des gens qui travaillent ou habitent ce quartier n’est pas aussi élevé.

En outre, l’architecture de cette ancienne bâtisse du 19e siècle n’avait rien à voir avec notre premier établissement. Nous avons voulu garder son identité très “factory” », justifie-t-il. Il n’empêche : les futurs clients ne sont pas dupes ! Le Klay a beau ne pas être le Ken Club, ils ne s’y trompent pas et affluent en masse lors de l’ouverture. L’établissement atteint en quelques mois son seuil maximal, soit 2200 adhérents. Un succès très rapide qui contraint les deux jeunes businessmen à ouvrir une liste d’attente.

« Nous avons bénéficié d’une excellente couverture médiatique doublée d’un incroyable bouche-à-oreille 2.0. Notre post sur Facebook a buzzé et a été relayé à une vitesse grand V ! » relate Frank-Elie Benzaquen, enjoué. La différence avec le Ken Club ? « La densité, tout simplement, répond-il du tac au tac. Il y a davantage d’adhérents au mètre carré, mais les prestations et les équipements sont très similaires.

» Le Klay a, en effet, lui aussi été conçu comme un lieu de vie autour duquel s’articulent cabines de soin, hammam, piscine, et, bien sûr, une multitude de services à volonté. «Bien qu’il y ait un peu plus de monde, nous avons dimensionné notre capacité d’accueil de telle sorte que personne n’attende devant une machine ou n’ait besoin de réserver son cours à l’avance, sauf exception », rassure-t-il.

Jamais deux sans trois ?

Et un. Et deux. Et trois succès ? Sur ce point Frank-Elie préfère rester discret. La seule information qu’il consent à donner est : « Non, nous ne comptons pas nous arrêter là… mais il est encore un peu tôt pour évoquer l’avenir. » Un avenir qui, si tout se passe comme prévu, prendra la forme de deux nouveaux clubs dans les trois à quatre prochaines années. Le créneau ? Du haut de gamme évidemment ! « Nous misons sur deux très belles adresses parisiennes.

Pour l’une, nous avons obtenu le permis de construire, mais nous attendons que tous les recours soient purgés avant de sabrer le champagne, et, pour l’autre, nous venons d’acheter les murs, mais n’avons pas encore déposé de permis », révèle-t-il à demi-mot. Si les deux projets aboutissent, l’un devrait se rapprocher du Ken Club et l’autre du Klay. Une bonne manière de ne pas faire de jaloux ? « Non, s’amuse cet ancien polytechnicien, chaque lieu à un ADN propre, mais il s’avère que l’un est plus proche du Ken et l’autre nous rappelle davantage le Klay.

» Il est en revanche peu probable – pour ne pas dire exclu – que les deux frères Benzaquen se positionnent un jour sur le low cost. Rien à voir avec un quelconque mépris de leur part. Bien au contraire. « Nous ne nous interdisons pas de faire un jour du moyen voire de l’entrée de gamme dans des quartiers qui le justifieraient, mais ça ne sera jamais au détriment de la qualité. Si nous devons faire baisser les prix, nous jouerons sur la densité, certainement pas sur les prestations de services ni sur la décoration. Concernant le low cost, je pense tout simplement que nous ne sommes pas les bons acteurs pour proposer une offre pertinente.

» Une chose est sûre : Frank-Elie se réjouit de voir ces acteurs investir le fitness car « il faut une offre pour chaque budget ».

En outre, ils contribuent à faire rentrer un public nouveau dans les salles. « Jusqu’à présent, le fitness était encore très peu développé en France. En cause, un secteur associatif très développé et des compétences jusqu’alors insuffisantes. C’est en train de changer, d’abord parce que le milieu se professionnalise, et, ensuite, parce que s’occuper de soi est devenu très tendance. Mais ce n’est qu’un début. Je crois à une évolution très forte dans les années à venir », anticipe ce stratège, avant de conclure : « Une offre de qualité contribue à développer le marché. Certainement pas à voler des clients aux clubs installés ! » Une belle philosophie pour achever un bien joli portrait.

Le Klay
Le Klay loge dans une ancienne bâtisse du 19e siècle de 2 000 m2 située en plein cœur du quartier montorgueil. 

CYRIL BENZAQUEN. MANNEQUIN-ATHLÈTE MUAY THAÏ-KICKBOXING.

Publié le 01/04/2014 à 22:47 par benzaken-descendance Tags : homme photo soi monde france center sur background image cadre

Champion de Boxe Pieds-Poings, Cyril Benzaquen représente une nouvelle génération d'athlètes de haut niveau qui viennent démentir les préjugés de la discipline en mettant en avant des atouts aussi en dehors du ring.


En effet, parallèlement à son parcours sportif impressionnant (Champion du Monde de Boxe Thaïlandaise), Cyril combine avec un cursus universitaire brillant puisqu'il suit un Master en Marketing à l'Université Paris Dauphine.

Par ailleurs, le jeune homme porte aussi la casquette de mannequin puisqu'il est aussi modèle, on a notamment le voir s'illustrer dans une campagne pour la marque eBay.

Biographie
Cyril démarre la boxe thaïlandaise à l'âge de 14 ans dans le club de Châtillon avec Aurélien Duarte. Il prend très vite goût à cette discipline où il rêve de briller tel son entraîneur.
Pris par ses études et préservé par la bienveillance de ses parents, il débutera seulement la compétition à l'âge de 18-19 ans et à partir de là les titres se succéderont.

A l'âge de 19 ans Cyril s'oriente vers un nouvel entraîneur, Alexandre Ngom Priso à l'USP Boxing Thaï (Shark Boxing) et qui lui permettra d'atteindre son plus haut niveau. Cyril gardera toujours ses marques avec Aurélien au Chatillon Boxing Club qui s'occupera d'avantage de la partie coaching mental du jeune homme.
En 2014, à 24 ans Cyril Benzaquen devient Champion du Monde, Champion d'Europe et Champion de France professionnelle et c'est ainsi qu'en 2014 la carrière du jeune homme débutera réellement.
Récompenses
- Catégorie : 81 kgs
- 50 Combats ; 41 Victoires (6KO) ; 1 nul ; 8 défaites
- Champion du Monde WMF de Boxe Thaïlandaise à Bangkok (2014)
- Double Champion d'Europe de K1 (Kickboxing avec genoux directs)
- 2 fois Vice-Champion du Monde WMF de Boxe Thaïlandaise à -Bangkok
- Médaille de Bronze aux Championnats d'Europe IFMA à Lisbonne
- Quadruple Champion de France de Boxe Thaïlandaise
- Triple Champion de France de Kickboxing

 

 

ISKA World Champ 2016 : K1
ISKA World Champ 2015 : K1
WMF World Champ 2014 : Muay Thai
Photo © David Salou Photographie.

 

 

 

« Avant d’entrer sur le ring, il m’arrive de demander au Tout-Puissant de me donner de la force ».

J’ai débuté la boxe à l’âge de 14 ans dans le club de Châtillon, non loin de Clamart, la ville où j’ai toujours habité. D’emblée, j’ai voué une admiration aux boxeurs professionnels. Je me suis dès lors beaucoup investi dans la pratique de la discipline. J’ai gravi les échelons un par un en commençant la compétition à 17-18 ans. Très vite, j’ai remporté des trophées nationaux en amateur, en semi-pro et en pro. Puis en 2014, j’ai raflé mon premier titre mondial en boxe thaïe. Aujourd’hui, je jongle entre mes études et la boxe. Je m’entraîne environ 25 heures par semaine dans le club de Massy mais aussi de temps en temps au sein des structures du Maccabi Paris. Dans le cadre de ma préparation, je fais beaucoup d’athlétisme. J’aime cette idée du dépassement de soi.

 

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CLAUDE BENZAQUEN DIT FRANKIE JORDAN. CHANTEUR YEYE.

Publié le 01/04/2014 à 22:48 par benzaken-descendance Tags : ange rock aime dieu image background sur center roman merci france place belle femme amis 2010 cadre you

COPYRIGHT. NE PAS COPIER LE CONTENU SANS AUTORISATION DE L'AUTEUR.

Frankie Jordan de son vrai nom:

Claude Benzaquen, est un des pionniers du rock français.

Né le 19 juillet 1938 à Oran.

A grandi à Casablanca.

Cliquez sur ces liens pour voir les vidéos de   FRANKIE JORDAN. 

Chanteur yéyé des années 60.

Enregistrements réalisés dans les studios d'Europe 1,le 18 décembre 1985,dans le cadre de l'émission "Memory Lane" consacrée aux années 60,animée par Jean-François Macaigne et diffusée sur la station de radio parisienne CFM.

Frankie Jordan (Live) - Part.1 - Tu parles trop,...

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Frankie Jordan (Live) - Part.2 - Meddley Années 60

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En décembre 1960, sort son premier disque "Tu parles trop", adaptation américaine du titre "You talk too much" en signant un contrat avec la firme Decca.

"24.000 baisers" est le titre pricipal du deuxième 45 tours et "Belle Maman" de son troisième qui, sur scène, se fait accompagner par les Jordanettes, un quatuor vocal féminin inspiré des Raelets de Ray Charles, et par l'orchestre d'Eddie Vartan avec sa section cuivres. 

 

Il a connu le succès au début des années 1960, notamment avec Panne d'essence (1961), une reprise d'une chanson américaine Out of Gas, dans laquelle une Sylvie Vartan débutante lui donne la réplique. Ce succès a contraint Frankie Jordan à abandonner son métier de dentiste, avant d'y revenir une fois oublié par le public.

En 2005, Frankie Jordan a été fait officier dans l'Ordre des arts et lettres.

Très jeune, il s'interesse au jazz puis à Gilbert Bécaud et Charles Aznavour. Lors de soirées entre amis, il n'hesite pas à jouer du rock'n'roll, des ryrhmes de Fats Domino, sur chaque piano qu'il trouve. Il est fasciné par ce chanteur américain qui pour lui a une similutude physique avec lui. 

En 1958, il chante en première partie de Jacques Brel à Rabat.

Il remporte en France la coupe du Critérium amateur. C'est une rencontre avec Eddie Vartan qui pousse Frankie Jordan à quitter la fièvre des bals d'université pour les studios d'enregistrements. 

En décembre 1960, sort son premier disque "Tu parles trop", adaptation américaine du titre "You talk too much" en signant un contrat avec la firme Decca. 

"24.000 baisers" est le titre pricipal du deuxième 45 tours et "Belle Maman" de son troisième qui, sur scène, se fait accompagner par les Jordanettes, un quatuor vocal féminin inspiré des Raelets de Ray Charles, et par l'orchestre d'Eddie Vartan avec sa section cuivres. Sa fiancée et future femme, étudiante en droit, lui rend visite dans des concerts à l'Olympia ou au palais des sports.

Entre deux études de mâchoires et une pose de bridge, Frankie Jordan continue aisni sa carrière de chanteur sans se prendre au sérieux. Un jour, Eddie Vartan lui présente sa jeune soeur Sylvie Vartan que Daniel Filipacchi trouve très mignonne. Elle remplace au pied levé Gillian Hills, malade ce jour-là, pour donner la réplique à Frankie Jordan dans "Panne d' Essence" titre Face B du 45 tours "Belle Maman". Ces sera son plus célèbre titre qui se vendra à 400.000 exemplaires.

Pour Frankie Jordan, c'est le début du succès mais en même temps la fin. Il abandonne la chanson après avoir adapté la chanson "Walk Right In", en français "Marche Tout Droit" qu'avait reprise Claude François. Bien que sa version soit plus proche de l'américaine, celle de Claude François lui donne la consécration. Frankie Jordan laisse alors tout tomber et retourne à ses examens. 

On dansait le twist en 1962.

 

1962. "Frankie Jordan rencontre Fats Domino".

 

 Frankie Jordan aujourd'hui en 2010.

 

 

 

Frankie Jordan, Vol. 1 « Les années yéyé » (Album complet)

▼▼▼ Cliquez sur le lien « PLUS » ci-dessous pour voir la liste complète des titres ▼▼▼


00:00:00 « Panne d'essence » - Frankie Jordan
00:02:19 « J'aime ta façon de faire ça » - Frankie Jordan
00:04:37 « Le petit lascar » - Frankie Jordan
00:06:39 « Le transistor » - Frankie Jordan
00:08:47 « Odile » - Frankie Jordan
00:10:30 « Ol' Man River » - Frankie Jordan
00:12:22 « Oh ! Qu'il est doux » - Frankie Jordan
00:14:13 « Chérie » - Frankie Jordan
00:16:22 « Belle maman (Mother in Law) » - Frankie Jordan
00:18:50 « J'en ai ma claque » - Frankie Jordan
00:21:24 « J'ai changé de patelin » - Frankie Jordan
00:23:22 « Rue des quatre vents » - Frankie Jordan
00:25:49 « Tu parles trop (You talk too much) » - Frankie Jordan
00:28:16 « Clin d'oeil (Goggle Eye'd) » - Frankie Jordan
00:30:29 « Vingt quatre mille baisers » - Frankie Jordan
00:32:48 « Dieu merci elle m'aime aussi (Hallelujah) » - Frankie Jordan
00:35:10 « Elle a des yeux d'ange (Poetry in motion) » - Frankie Jordan

00:37:00 « Elle est passée (Wondrous place) » - Frankie Jordan 

 

Il abandonne la chanson après avoir adapté la chanson "Walk Right In", en français "Marche Tout Droit" qu'avait reprise Claude François.  

 

 

PORTRAIT DU MEDECIN LEON BENZAQUEN.

Publié le 01/04/2014 à 22:49 par benzaken-descendance Tags : histoire musique enfants homme place roman sur background centerblog image article concours patrimoine maroc

Leon Benzaquen Originaire du Maroc. Médecin, dirigeant communautaire, il contribua à la lutte contre la tuberculose, il occupa le poste de ministre des Postes dans les premier et second gouvernements qui suivirent l’accession du Maroc à l’indépendance.

Il était ministre des PTT avec le roi Mohamed V 

Léon Benzaquen était proche du palais royal. Il a été le premier Juif a être nommé ministre dans le gouvernement de Mohamed V, le grand père du roi actuel. Il fut ministre des communications. 

---

Les professions exercées par les Juifs du Maroc : 

Le journal se penche ensuite sur les professions exercées par les Juifs du Maroc et sur les responsabilités ministérielles ou politiques qu’ils peuvent exercer dans le royaume :

« On les trouve notamment dans la finance, la communication et les professions juridiques.

Ils sont aussi ingénieurs et médecins, voire ministres et même conseiller du Roi (André Azoulay).

Au moins deux fois, le gouvernement marocain a compris en son sein un ministre juif :

le Tangérois Léon Benzaquen, chef du département des PTT dans le premier gouvernement de l'indépendance dirigé par Mbarek Lahbil Bekkai, et l'avocat meknassi Serge Berdugo, ministre du tourisme dans les années 90. »

Ce dernier, d'ailleurs, occupe aujourd'hui la présidence du Conseil de la communauté israélite du Maroc, tout en assumant le poste d'ambassadeur de la paix que le Roi Mohammed VI lui a confié.

Les juifs marocains sont aussi dans la communication, le cinéma, la musique, le showbiz, dans le mouvement associatif et les droits de l'homme.

 Les juifs marocains sont aussi des hommes de lettres, des historiens et des militants invétérés des droits de l'homme: Germain Ayyache pour l'histoire, Edmond Amran El Maleh pour le roman, Abraham Serfaty et Sion Assidon (fondateur de Transparency Maroc) pour la cause des droits de l'homme, pour ne citer que ceux-là.

 Pour ceux-ci, et comme pour tant d'autres comme Simon Lévy, et pour tous ces juifs modestes et usés par les ans, qui habitent toujours place de Verdun, à Casablanca, judaïté et marocanité sont indissociables : la première n'est rien sans la seconde, et vice-versa.

Et il y a ce sentiment tenace d'appartenance à une communauté ne serait-ce que pour préserver un patrimoine religieux et culturel marocain pour qu'il ne finisse pas dans l'oubli. »

LE Docteur LEON BENZAQUEN  est décédé le 6 août 1977 à Casablanca, à l'âge de 76 ans.

Le roi du Maroc Mohamed Y avec le docteur Léon Benzaquen.

 

 

Le roi du Maroc SM Hassan II.
A la sortie de la synagogue, à la fête de Kippour avec le docteur Léon Benzaquen (à droite).

Avec lui disparait une figure de proue du judaïsme marocain. Phtisiologue réputé, il fut le premier marocain admis au concours d'internat de la faculté de médecine de Paris.

Des son installation a Casablanca, en 1935, il allait apporter son concours a de nombreuses activités communautaires d'ordre social, assumer la présidence de plusieurs œuvres, prendre une part active à la lutte antituberculeuse, participer notamment à la fondation du sanatorium de Ben Ahmed.

En 1955, il est appelé a participer à la conférence d'Aix-les-Bains qui devait précéder le retour d'exil du roi Mohammed V, et se voit confier le ministère des P.T.T. dans le premier gouvernement du Maroc ayant recouvre l'indépendance.

Il est maintenu à ce poste dans le gouvernement qui suit. Le docteur Leon Benzaquen bénéficia toujours de la confiance du roi Mohammed V et de son fils l'actuel souverain Hassan II.

Autorité morale incontestée, il était en quelque sorte le porte-drapeau de la communauté juive marocaine.

Jusqu'à ses derniers moments il avait tenu à assumer la charge de la présidence de la communauté de Casablanca qu'il dirigeait avec un dévouement que ni l'âge, ni la maladie n'avaient affaibli.

Le docteur Benzaquen avait apporté son concours a pratiquement toutes les associations œuvrant au Maroc : l'O.S.E., dont il était le président d'honneur après en avoir été médecin-chef et membre fondateur, l'Alliance Israélite, le Joint I'ORT, l'Aide scolaire.

Dans les années 50, il avait siégé au comité C.J.M. de Casablanca et au Comité central marocain du Congrès juif mondial, prenant une part très active à leurs travaux.

Il a été inhume le 8 aout au cimetière israélite Ben M'Sik à Casablanca.

Le Prince Moulay Ali et sept ministres ont tenu assister à ses funérailles suivies par une foule immense venue de tous les coins du pays et au cours desquelles des allocutions ont été prononcées par MM. Ahmed Ben Souda, directeur du Cabinet royal, Georges Niddam vice-président de la communauté Israélite de Casablanca, Jules Braunschwig, président de l'Alliance Israélite universelle, David Ammar, secrétaire général du Conseil des communautés juives du Maroc, le grand rabbin Suissa, vice-président du tribunal rabbinique de Casablanca qui ont rappelé les qualités de cœur du défunt, son dévouement à la chose publique et au judaïsme, sa fidélité à son roi et a son pays, sa sensibilité, son intégrité. Information Juive présente a Mme Benzaquen, à ses enfants, à sa famille, à la communauté juive du Maroc, l'expression de ses bien sincères condoléances.


Le docteur Leon Benzaquen, président de la communauté Israélite de Casablanca et président d'honneur des communautés Israélites du Maroc, qui fut ministre des P.T.T. dans les deux premiers gouvernements formes au lendemain. 
Article paru dans le journal "Information Juive" du 15 Septembre 1977.

 

EDEN BEN ZAKEN. CHANTEUSE.

Publié le 01/04/2014 à 22:50 par benzaken-descendance Tags : artiste google image background center search

LE FILM ISRAELIEN AU CINEMA: BEN ZAKEN.

Publié le 01/04/2014 à 22:51 par benzaken-descendance Tags : citation center image background sur société fille film

Ben Zaken Efrat Corem

2015
Israël
1h30
Fiction
Coul.

Trois générations de la famille Ben Zaken cohabitent dans un petit appartement en périphérie de la cité balnéaire d'Ashkelon. Dina s'affaire généreusement pour ses fils Leon et Schlomi ; si le premier dirige une entreprise de construction, le second surnage péniblement entre un emploi précaire et la charge de Ruhi, sa fille de 11 ans écorchée vive. Ben Zaken s'inscrit dans la cinématographie israélienne qui porte un regard centripète et critique sur une société dysfonctionnelle, dont cette famille constitue une allégorie acérée et douloureuse. Efrat Corem dépeint frontalement des personnages se débattant avec un profond mal-être, tandis que résonnent les figures absentes – la mère de Ruhi et le mari de Dina, père de ses deux fils.
(Arnaud Hée)

Efrat Corem a étudié le cinéma au Sapir College. Son film de fin d'études, Your younger daughter Rachel, a été sélectionné à la Ciné fondation en 2007. Depuis 2009, elle est directrice artistique du festival du Film du Sud de Sderot, en charge de la section dédiée au cinéma israélien. Ben Zaken est son premier film.

Interprétation

Eliraz Sade, Rom Shoshan, Mekikes (Ronen) Amar, Chani Elemlch
Scénario
Efrat Corem
Image
Shafir Sarussi
Son
Michael Goorevitch
Décors
Ben Shalom Davidi
Montage
Nisim Massas, Lev Goltser
Production
Laïla Films - Itai Tamir

 

CAROLE BENZAKEN. ARTISTE.

Publié le 01/04/2014 à 22:52 par benzaken-descendance Tags : artiste peinture image prix center moi background sur gif france jeux travail divers art

LA BIOGRAPHIE DE CAROLE BENZAKEN

 

Ses tableaux, qui se vendent entre 8 000 et 40 000 euros, ont un public solide. 
 

Carole Benzaken, peintre née à Grenoble, a suivi les cours de l'Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, de 1985 à 1990, avant de s'installer à Los Angeles, où elle a pu expérimenter l'un de ses champs de recherche visuelle favori, la ville, et dont elle a observé de près les émeutes récurrentes.

Lauréate du Prix Marcel Duchamp (décerné par l'Adiaf, association de collectionneurs privés) en 2004, Carole Benzaken fait partie de la jeune génération d'artistes qui ont voulu remettre à l'honneur la figuration dans la peinture.

Ses oeuvres se caractérisent par une utilisation franche de couleurs pures posées en aplats et combinant des jeux d'ombres et de lumières, manière simple et naïve qu'elle a mis à profit dans la réalisation de cartons de vitraux en 2000 pour l'église de Varennes Jarcy.

Reléguant le sujet à l'arrière-plan, Carole Benzaken puise son inspiration dans le quotidien : objets divers et images glanées dans les journaux télévisés ou les magazines, dont l'artiste adopte les codes, sont les sujets de ses toiles, généralement de grandes dimensions.

Pendant les années 1990, Carole Benzaken a consacré plusieurs séries aux tulipes, prétextes à diverses variations sur la couleur. Son travail se situe ainsi dans la continuité du Pop Art américain, dont elle prolonge l'ambiguïté politique et sociale.

Carole Benzaken vit actuellement entre la Californie et la France, où elle est représentée par la galerie Nathalie Obadia.Ill. (Lost) Paradise A, 2006, courtesy galerie Nathalia Obadia. 

Là...c'est moi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

MICKAËL ZAKEN. COUTURE PARIS CHAMPS ELYSÉES.

Publié le 01/04/2014 à 22:53 par benzaken-descendance Tags : sur center femmes

Qui est Mickael Zaken?

Magasin de vêtements pour femmes à Paris
Adresse : 76 Av. des Champs-Élysées, 75008 Paris.

ARCADES DU 76 CHAMPS ELYSEES. PARIS.

En visite à Paris du 15 aout 2019.

Ma surprise est de tomber sur un nom et un prénom sur une vitrine.

Je demande au vigile dans le hall, il m'indique le magasin vers la droite des nombreuses boutiques. 

 J'airai voulu discuter avec ce monsieur (peut-être un cousin éloigné), mais hélas c'est le 15 aout férié et c'était fermé.

 A une autre fois lors d'un prochain séjour à Paris.

 

 

 

LARRY BENZAKEN. HUMORISTE.

Publié le 01/04/2014 à 22:54 par benzaken-descendance Tags : amoureux aimer créations pensées image center coup pouvoir background sur moi jeux création art

Notre talent, Larry Benzaken, est un amoureux des mots qu’il mixe à l’humour noir. Cynique et intelligent, il manie la plume de façon incisive et pertinente. Rencontre avec la nouvelle vague underground de l’humour des scènes parisiennes. 

 

J’avais, moi aussi, envie de transmettre au public une émotion à la fois directe, vive et intense…

 

 

Pour être honnête, non ; je ne me suis jamais dit que je voulais devenir humoriste et je ne me considère pas réellement comme tel mais plutôt comme un « auteur en scène ». La scène, en revanche, m’a toujours attiré,

Pourquoi ce médium artistique t’a-t-il attiré ?

C’est une sensation indescriptible d’être sur scène. Mon premier coup de cœur théâtral, je l’ai eu en tant que spectateur ; c’était une représentation d’Antigone de Jean Anouilh. J’ai fait du théâtre car j’avais, moi aussi, envie de transmettre au public une émotion à la fois directe, vive et intense…

Quelle formation as-tu entrepris pour être sur scène?

J’ai commencé le théâtre à l’âge de 13 ans, un peu par hasard, au collège ; et me suis pris de passion pour cet art. A partir de 16 ans, j’ai commencé à écrire mes premières pièces. Je n’ai pas réellement eu de formation théâtrale, mon apprentissage s’est fait par la pratique durant 4/5 ans. De cette expérience sur les planches, j’ai commencé à écrire : tout d’abord des pièces de théâtre et, par la suite, des poèmes ou encore des nouvelles.

Est-il difficile de se lancer dans ce genre de carrière, d’autant que la concurrence est rude ?

Difficile ? Oui et non. Le réseau est constitué de telle sorte que tu as, à Paris en tout cas, la possibilité de faire régulièrement des scènes ouvertes (plateaux d’humoristes), ce qui te permet de tester tes sketchs, et surtout faire des rencontres qui te font avancer.

Il y a un boom des scènes ouvertes, c’est indispensable pour un jeune humoriste ?

Oui, c’est indispensable. C’est même une chance qu’on ait, à Paris, tous ces plateaux qui prolifèrent. C’est la possibilité, quand tu débutes, de pouvoir tester, te jauger et rencontrer le public. Il y a des plateaux plus faits pour des humoristes plus ou moins confirmés, et d’autres scènes qui accueillent les novices ; cette diversité est primordiale et, selon moi, salvatrice.

Comment comptes-tu te différencier des autres?

Aujourd’hui, il est vital de se différencier. J’ai la chance de pratiquer un style d’humour qui n’est pas légion. Je fais de l’humour littéraire basé sur les jeux de mots.

Tu as fait Avignon lors de la dernière édition, quel spectacle as-tu joué ?

J’ai joué mon nouveau spectacle « Journal d’une banalité extraordinaire » ; un « seul en scène » d’humour littéraire qui raconte l’histoire, un poil autobiographique, d’un jeune écrivain désireux de faire carrière et qui invite le public sur les rives de son fleuve d’inspiration.

Comment écris-tu tes sketchs?

J’écris à la fois partout et tout le temps. J’ai toujours sur moi mon stylo plume et un carnet où j’écris des phrases, des pistes ou des pensées. Mon inspiration vient de la banalité du quotidien, d’où le titre de mon spectacle (ndlr : Journal d’une banalité extraordinaire). Je cherche à mettre le doigt sur des petits détails banals que je tente de magnifier de manière poétique, voire humoristique.

Tu sembles aimer les mots et les grands auteurs tels que Corneille, Molière et Shakespeare, pourquoi ne pas tenter le théâtre classique, de vraies pièces de théâtre?

C’est par le théâtre que j’ai commencé, en écrivant des pièces, mais je me suis très vite retrouvé face à la difficulté de pouvoir les monter ; surtout que mes premières créations étaient souvent écrites pour des distributions de 5 à 8 comédiens. Le « seul en scène » m’a permis de m’affranchir de toutes les difficultés liées à la création d’une pièce de théâtre.

 

De quelles origines es-tu ? Quel est ton rapport à tes racines guadeloupéennes ?

Ma mère est guadeloupéenne, mon père ivoirien. J’allais en Guadeloupe presque tous les ans étant petit, je comprends le créole, je le parle… Il y a également, comme souvent lorsqu’il y a une origine maternelle, une culture culinaire et musicale qui m’a été transmis.