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Date de création : 27.10.2009
Dernière mise à jour : 01.02.2025
49489 articles


AGRICULTURE-JARDINAGE

L'herbe de la pampa- interdite

Publié le 01/02/2025 à 16:17 par ensemble19syndicat Tags : sur france place google monde coup fleur chez article travail rose nature cadre carte
L'herbe de la pampa est dans tous nos jardins, mais elle est pourtant interdite : attention à l'énorme amende

Originaire d’Amérique du Sud, la "Cortaderia selloana" a été classée parmi les "espèces végétales exotiques envahissantes" en France métropolitaine. Elle est donc interdite.

La Cortaderia selloana ou « herbe de la pampa » est considérée comme une espèce exotique envahissante. (©Jean-Paul BARBIER / PDLM)

En pleine terre ou en pot, elle s’est invitée depuis des années dans les jardins des Français, séduits par son côté bohème et ses magnifiques plumeaux décoratifs. Très populaire, l’herbe de la pampa n’est pourtant pas sans danger pour nos écosystèmes.

 

Cette plante exotique, originaire d’Amérique du Sud, est pourtant considérée comme une espèce invasive. À ce titre, aux yeux de la loi, l’herbe de la pampa est formellement interdite – et vous pouvez être sanctionné si vous en avez chez vous.

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Des milliers de graines jusqu’à plusieurs kilomètres à la ronde

Depuis le 2 mars 2023 et un arrêté publié au Journal officiel du 6 avril 2023, la Cortaderia selloana (nom scientifique de l’herbe de la pampa) fait partie des « espèces végétales exotiques envahissantes sur le territoire métropolitain ». Envahissante, vraiment ?

L’herbe de la pampa, dont un plant peut vivre jusqu’à 15 ans, « se propage par multiplication sexuée », explique le Conservatoire botanique national de Brest. Les plumeaux mâles « émettent des graines par milliers que le vent peut transporter à plusieurs kilomètres à la ronde ».

La quasi-totalité des graines de chaque épi fécondé est fertile. Une fois déposées au sol, les graines ne mettent que trois semaines pour germer, si la température est favorable (22 à 25°C).

Conservatoire botanique national de Brest
L'herbe de la pampa ou plumeau est une plante invasive.
L’herbe de la pampa est reconnaissable à sa taille et à ses grands plumeaux décoratifs. (©L.Bouvier / AdobeStock) Largement présente en France

Bien qu’elle soit tombée en disgrâce au fil des années, l’herbe de la pampa pose un problème majeur : elle est implantée quasi partout en France et elle est difficile à éradiquer.

Un coup d’œil sur la carte fournie par l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) met en lumière l’expansion de la Cortaderia selloana, présente dans les trois quarts de l’Hexagone.

« Surtout en Nouvelle-Aquitaine, en Occitanie et le bassin méditerranéen », énumère auprès d’actu.fr Sylvie Varray, chargée de mission « Espèces exotiques envahissantes » à la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels.

Quand on importe une plante - ici, de l'Amérique du Sud à la France -, une période d'adaptation s'impose. Soit la plante ne survit pas, soit elle s'adapte, se reproduit.... Quand sa croissance devient telle qu'elle prend la place des espèces indigènes (locales) et qu'elle forme une population autonome, elle devient une espèce envahissante.

Sylvie Varray Chargée de mission "Espèces exotiques envahissantes" à la Fédération des Conservatoires d'espaces naturels.
Une menace pas que pour la flore locale

Des racines profondes, une résistance au gel comme aux fortes chaleurs, des extraordinaires capacités de reproduction et de repousse… En plus d’une large présence en France, l’herbe de la pampa est (comme évoqué plus haut) difficile à éradiquer une fois installée.

Elle ne menace d’ailleurs pas que la flore : la santé humaine aussi, en raison de ses pollens « très allergisants », poursuit Sylvie Varray. Comme il s’agit d’une plante exotique, « elle ne libère pas ses pollens au même moment que les autres plantes indigènes, ce qui allonge la période au cours de laquelle les personnes allergiques souffrent du pollen ».

La chargée de mission pointe un autre problème (plus technique) causée par l’herbe de la pampa : « en poussant sur les rails, ses profondes racines fragilisent les installations ferroviaires », confie Sylvie Varray. Ce peut être dangereux pour la circulation des trains, « sans compter que ça coûte très cher en intervention ».

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Interdit de détenir, échanger ou transporter cette plante

Alors si on la croise très facilement en France, l’herbe de la pampa n’en est pas moins dangereuse. Raison pour laquelle le gouvernement a plusieurs fois fait évoluer la loi (depuis un premier arrêté en février 2018 et jusqu’à août 2024 plus récemment).

Depuis, conformément au Code de l’environnement, il est formellement interdit de détenir, d’utiliser, d’échanger, de commercialiser, de transporter et d’introduire en France des plants de Cortaderia selloana.

« Le Code de l’environnement s’adresse à tout le monde, les particuliers comme les professionnels », insiste Sylvie Varray. Quelques dérogations sont possibles, « mais dans un cadre très précis », comme l’étude en laboratoire.

À lire aussi

Comment se débarrasser de cette plante ?

Vous en avez dans votre jardin ? Il va falloir arracher vos plants et les détruire.

Parmi les techniques d’éradication possibles listée par le Conservatoire botanique national de Brest, on peut compter :

  • L’arrachage (mécanique ou manuel), un travail « long et difficile [qui] consiste à extirper la plante du sol en emportant le maximum de racines » ;
  • Le bâchage des souches, pour empêcher la plante « de capter la lumière et retarde [r] voire annule [r] la reprise de la plante » ;
  • Le traitement chimique, en recourant à des herbicides spécifiques aux graminées. Mais attention, « leur utilisation reste délicate en milieu naturel ».

Pour Sylvie Varray, il vaut mieux privilégier le compostage de la plante (une fois arrachée et broyée), ou aller déposer les plants en déchetterie – comme un déchet vert.

À lire aussi sur actu planète
  • Manche le 8 octobre 2024. l’herbe de la pampa, encore vendue comme plante d’ornement pour les jardins privés et les espaces verts, est désormais considérée comme une plante invasive. l&#039;herbe de la pampa pose problème dans la Manche aussi, du nord au sud du département, où elle s&#039;implante jusque sur les accotements des routes.
    L'herbe de la pampa est dans tous nos jardins, mais elle est pourtant interdite : attention à l'énorme amende

L'idéal est de gérer l'éradication de l'herbe de la pampa avant que les plumeaux ne se forment, car ce sont eux qui contiennent les graines. La formation des plumeaux intervient en août/septembre, c'est donc entre janvier et juillet qu'il faut détruire la plante.

Sylvie Varray Chargée de mission "Espèces exotiques envahissantes" à la Fédération des Conservatoires d'espaces naturels.article actu.fr https://actu.fr/planete/l-herbe-de-la-pampa-est-dans-tous-nos-jardins-mais-elle-est-pourtant-interdite-attention-a-l-enorme-amende_62177486.html


«Laissez pousser les ronces et les chardons»

Publié le 01/02/2025 à 15:22 par ensemble19syndicat Tags : article
«Laissez pousser les ronces et les chardons» : les étonnantes leçons de jardinage de Gaspard Koenig


le Cantal--peu de pesticides ?

Publié le 30/01/2025 à 16:14 par ensemble19syndicat Tags : image sur france article travail centre nature carte
CARTE. Comme le Cantal, votre département utilise-t-il peu de pesticides ?
image/S0twI_4gXITR9I905W8FTRW651A/600x400/regions/2025/01/23/363-0010-00-00-07-23-6792745d10914782542137.jpg" alt="Le Cantal est l'un des départements les moins gourmands en produits phytosanitaires." width="640" height="426" />
Le Cantal est l'un des départements les moins gourmands en produits phytosanitaires. © L.Ribes/FTV

L’ONG Générations futures vient de publier une carte de France des achats de pesticides. En France, le Cantal se classe parmi les plus petits consommateurs, au 93ème rang sur 97 départements.

 
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Le fertilisant que Benoît Lafon, agriculteur à Jussac dans le Cantal, utilise le plus dans ses champs est on ne peut plus naturel. "C’est de la bouse de vache mélangée à de la paille. C’est l’engrais principal que l’on utilise pour nos prairies naturelles." Un exemple parlant, car selon l’ONG Générations futures, le Cantal fait partie des départements français qui utilisent le moins de pesticides et de produits phytosanitaires.

Le département est le 5ème plus petit consommateur répertorié par cette carte réalisée par Générations futures grâce à un travail de collecte des données des agriculteurs et des vendeurs de produits phytosanitaires :

Sur son exploitation de 200 hectares, Benoît Lafon utilise moins de 30 litres de produits phytosanitaires chaque année et uniquement sur les parties en culture, soit à peine 14 hectares. "Si on prend l’exploitation totale, ça représente à peu près 15 cl par hectare. C’est vraiment minime. Dans le Cantal, on a du relief, donc on ne peut pas faire beaucoup de cultures. Il y a 95% de la surface qui est en herbe. Jusqu’à maintenant, on n’a jamais eu de maladies donc on n’a pas besoin de lutter contre des parasites. Un tiers du département est à plus de 1 000 mètres d’altitude, c’est compliqué pour faire des cultures." Sur une surface totale de 196 hectares, Benoît Lafon en compte 83 en estives, 100% naturelles.

"Pour notre santé, si on peut l’éviter, on l’évite"

Cette faible consommation en fait l'un des départements les moins accros aux pesticides. Seulement 23 tonnes de substances pesticides y ont été achetées, sur une année. C'est 12 fois moins que dans l'Allier et sans commune mesure avec la Gironde et ses 3 400 tonnes. « C’est dû à leur production. Ils sont obligés d’en utiliser, sinon, avec tous les parasites qu’il y a, ils ne ramasseraient rien. Nous, on est contents de ne pas en avoir besoin. Rien que pour notre santé, si on peut l’éviter, on l’évite au maximum », explique Benoît Lafon.

Pour Nadine Lauverjat, déléguée générale de l'ONG Générations Futures, cette carte est un grand pas vers plus de transparence pour les citoyens. « Tous les acheteurs et les vendeurs de pesticides ont l’obligation de faire remonter ces données, notamment pour fixer le taux de la redevance pour la pollution liée aux pesticides ».  

Connaître la dangerosité des produits

Elle n’est pas surprise de voir certains départements se démarquer : « On s’attendait à voir des départements qui ressortent plus que d’autres, comme les départements de viticulture qui utilisent des grands volumes de pesticides. Des zones sont moins concernées, notamment le centre et les zones de montagne qui ont moins de cultures intensives. Dans le Cantal, ce sont les herbicides qui ressortent, ce qui est cohérent avec des zones de cultures céréalières. Vous êtes probablement moins exposés au quotidien que dans des zones où la culture est très intensive. La culture jouxte les riverains de manière moins importante. Il faudra descendre à l’échelle du code postal pour voir si des communes sont plus impactées que d’autres, c’est notre prochain objectif. »

En plus de connaître la quantité de pesticides utilisés, la carte donne également la nature et l’effet de ces produits sur la santé et la nature : « La carte permet de savoir si les produits sont des perturbateurs endocriniens ou s’ils sont toxiques pour l’environnement », explique Nadine Lauverjat. Dans le Cantal, 4 des 5 pesticides les plus achetés sont des herbicides dont le glyphosate, classé cancérogène probable, depuis 2015.

-Propos recueillis par Laetitia Theodore pour France 3 Auvergne

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/cantal/carte-comme-le-cantal-votre-departement-utilise-t-il-peu-de-pesticides-3096496.html



le Paulownia est sans ..... Originaire d’Asie

Publié le 30/01/2025 à 15:53 par ensemble19syndicat Tags : image background center message france animaux belle article musique maison

Cet arbre pousse aussi vite que le bambou, mais son atout majeur, c’est sa floraison remarquable

×

Parmi les arbres qui allient croissance rapide et beauté exceptionnelle, le Paulownia est sans doute l’un des plus étonnants. Originaire d’Asie, cet arbre est souvent comparé au bambou pour sa vitesse de développement. Mais ce qui le distingue vraiment, c’est sa magnifique floraison printanière. En quelques années, un Paulownia peut transformer un jardin, offrant un spectacle de fleurs mauves qui attirent le regard et embaument l’air.

imageDécouvrez pourquoi cet arbre est un choix idéal pour ceux qui souhaitent allier rapidité de pousse, esthétisme et écologie.
 

L’hiver apporte son lot de défis pour nos habitations, et les volets ne sont pas épargnés. Qu’ils soient roulants, battants ou en bois, ils peuvent se bloquer sous l’effet du froid, de l’humidité ou ...Lire la suite


Une croissance impressionnante

Un arbre à croissance express

imageLe Paulownia est réputé pour sa croissance ultra-rapide :
 
  • En un an, un jeune plant peut atteindre plusieurs mètres de haut.
  • Il peut rapidement fournir de l’ombre et structurer un espace vert, là où d’autres arbres prendraient des années.

Cette rapidité est due à sa capacité à absorber efficacement les nutriments du sol et à son feuillage large qui maximise la photosynthèse. C’est donc une option idéale pour les jardiniers impatients ou pour les projets de reboisement rapide.


Une floraison spectaculaire

Des fleurs parfumées et élégantes

Ce qui rend le Paulownia vraiment unique, c’est sa floraison printanière. Avant même que les feuilles n’apparaissent, il se pare de grappes de fleurs mauves, parfois légèrement violacées, en forme de clochettes.

  • Un parfum délicat : Les fleurs dégagent un parfum léger et agréable, attirant les insectes pollinisateurs et ajoutant une dimension olfactive au jardin.
  • Une floraison généreuse : Chaque printemps, le Paulownia offre un véritable spectacle floral qui ne passe pas inaperçu.

imagePaulownia vs Bambou : quelles différences ?

Bien que le Paulownia et le bambou soient souvent comparés pour leur rapidité de croissance, ces deux plantes présentent des différences notables qui les rendent uniques.

 

1. Type de plante

  • Paulownia : Un arbre à feuilles caduques. Il se dresse fièrement avec un tronc unique et une ramification importante.
  • Bambou : Une herbe géante formant des touffes de chaumes creux et fins. Il peut s’étendre rapidement et couvrir de grandes surfaces.

2. Utilisation principale

  • Paulownia : Apprécié pour sa floraison et son bois léger, il est souvent utilisé pour l’ornement, la production de meubles ou la restauration de sols.
  • Bambou : Connu pour sa solidité et sa flexibilité, il est très prisé dans la construction, la fabrication de textiles ou encore l’aménagement de haies brise-vent.

3. Aspect esthétique

  • Paulownia : Offre une beauté saisonnière grâce à ses fleurs mauves parfumées qui apparaissent avant les feuilles. C’est un choix idéal pour ceux qui recherchent un arbre d’ornement.
  • Bambou : Apporte une verdure constante toute l’année, mais sans floraison spectaculaire. Son principal attrait réside dans son feuillage persistant et sa silhouette élancée.

4. Entretien et contrôle

  • Paulownia : Facile à maîtriser, il pousse rapidement mais ne s’étend pas de manière incontrôlable. Un entretien annuel suffit pour lui conserver une belle allure.
  • Bambou : Peut devenir envahissant si on ne le contrôle pas, surtout les variétés traçantes. Une barrière anti-rhizome ou une surveillance régulière est souvent nécessaire.

5. Impact écologique

  • Paulownia : Grâce à son système racinaire profond, il améliore la qualité du sol, capte beaucoup de CO2 et favorise la biodiversité locale.
  • Bambou : Tout aussi écologique, il absorbe rapidement le CO2, mais il est souvent cultivé de manière intensive dans certaines régions, ce qui peut avoir un impact environnemental plus variable.

Un arbre écologique et polyvalent

Un allié pour la biodiversité

Les fleurs du Paulownia attirent les abeilles et les papillons, favorisant ainsi la pollinisation dans le jardin. Son feuillage dense offre également un abri pour les oiseaux et d’autres petits animaux.

Un régénérateur de sol

Le Paulownia a également la capacité d’améliorer la qualité du sol :

  • Ses racines profondes aèrent la terre et permettent une meilleure infiltration de l’eau.
  • Il contribue à limiter l’érosion et favorise la rétention des nutriments.

Une empreinte carbone réduite

En raison de sa croissance rapide, le Paulownia capte une grande quantité de CO2 en peu de temps, le rendant intéressant pour des projets de lutte contre le changement climatique.


Conseils de plantation et d’entretien

Où planter le Paulownia ?

  • Exposition : Le Paulownia préfère un emplacement ensoleillé pour maximiser sa croissance et sa floraison.
  • Sol : Il s’adapte à une grande variété de sols, mais préfère les terres bien drainées et riches en matière organique.

Comment l’entretenir ?

  • Arrosage : Les jeunes plants nécessitent un arrosage régulier, surtout durant les premières années. Une fois bien établi, le Paulownia résiste bien à la sécheresse.
  • Taille : Une taille légère après la floraison permet de maintenir une belle structure et d’encourager une floraison encore plus généreuse l’année suivante.
  • Protection hivernale : Dans les régions aux hivers rigoureux, protégez les jeunes plants en paillant le pied ou en utilisant un voile d’hivernage.

©Victoria Farr / Pixabay


Les usages du Paulownia

Outre son intérêt ornemental, le Paulownia est également utilisé pour :

 
  • La production de bois léger et durable : Ce bois est prisé pour la fabrication de meubles, d’instruments de musique et même de planches de surf.
  • L’amélioration des paysages urbains : Avec sa croissance rapide et sa belle floraison, il est idéal pour reboiser des zones urbaines ou créer des parcs attractifs.
  • La restauration de terres dégradées : En plantant des Paulownias, on peut rapidement réhabiliter des sols pauvres ou érodés.

Le Paulownia est bien plus qu’un simple arbre d’ornement. Sa croissance rapide, comparable à celle du bambou, en fait un choix pratique et efficace pour ceux qui souhaitent un jardin bien structuré en peu de temps. Et son atout majeur, une floraison spectaculaire et parfumée, en fait un véritable bijou pour tout espace extérieur.

Planter un Paulownia, c’est opter pour un arbre qui ne se contente pas d’être utile, mais qui enrichit aussi l’esthétique, la biodiversité et l’environnement. Alors, pourquoi ne pas laisser cette merveille botanique transformer votre jardin dès maintenant ?

article  masculin  https://www.masculin.com/maison-jardin/809273-cet-arbre-pousse-aussi-vite-que-le-bambou-mais-son-atout-majeur-cest-sa-floraison-remarquable/



Réchauffement climatique :

Publié le 28/01/2025 à 17:21 par ensemble19syndicat Tags : image sur france article saint
Réchauffement climatique : "ici tout est dégradé", sécheresse, vents violents, pluies massives, les éléments modifient la forêt en profondeur
image/IuH3I9nxjU8zfpgZsA9cdkeNd68/600x400/regions/2025/01/28/200-pins-malades-au-bois-de-la-sapini-re-00-00-50-02-6798f3ba6bb1a978336205.jpg" alt="Un cabinet d'expertise forestière s'est penché sur l'avenir de la sapinière." width="640" height="426" />
Un cabinet d'expertise forestière s'est penché sur l'avenir de la sapinière. © France 3 Rhône-Alpes
 
article  fr3  https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/loire/saint-etienne/rechauffement-climatique-ici-tout-est-degrade-secheresse-vents-violents-pluies-massives-les-elements-modifient-la-foret-en-profondeur-3098833.html


signification d’une punaise marron dans la maison ?

Publié le 27/01/2025 à 14:04 par ensemble19syndicat Tags : image background prix sur center vie france place google monde png chez article obstacles maison travail divers nature
Quelle est la signification d’une punaise marron dans la maison ?
quelle est la signification d’une punaise marron dans la maison
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Chaque foyer a déjà connu la désagréable visite d’une punaise marron. Mais que représente réellement cette petite créature ? Découvrons ensemble la signification et les implications possibles de la présence d’une punaise marron chez vous.



Un arbre à agrumes qui ne craint ni le gel

Publié le 27/01/2025 à 13:45 par ensemble19syndicat Tags : center france google infos maison article
Un arbre à agrumes qui ne craint ni le gel ni la neige : cette variété résiste aux climats extrêmes (jusqu’à -12 degrés)

Les agrumes sont souvent perçus comme des arbres délicats, incapables de survivre aux rigueurs de l’hiver. Pourtant, une variété sort du lot. Originaire d’Asie, cet agrume rustique est capable de résister à des températures descendant jusqu’à -12 degrés, tout en offrant des fruits savoureux. Ce n’est pas seulement une rareté horticole, mais aussi une solution pour les jardiniers des régions froides qui rêvent d’ajouter une touche d’exotisme à leur jardin.

 
Mandarinier Satsuna © Istock
Le mandarinier satsuma : une adaptation au froid venue d’Asie

Le Citrus unshiu, connu sous le nom de mandarinier satsuma, est cultivé depuis des siècles au Japon, dans des régions où les hivers peuvent être rudes.

Contrairement à d’autres agrumes, il a développé une tolérance exceptionnelle au froid. Les feuilles épaisses et les branches robustes de cet arbre le rendent capable de supporter les gelées et même des chutes de neige modérées. En dépit de ces conditions, le satsuma continue à produire des fruits doux, juteux et faciles à peler.

Ce n’est donc pas un hasard si ce mandarinier a gagné en popularité en Europe, notamment dans des pays comme la France, où les jardiniers cherchent à introduire des agrumes dans des zones où le gel est courant. Mais il n’est pas seul : de nombreux agrumes peuvent être cultivés avec succès dans des climats froids, à condition de leur offrir une protection adéquate.

Comment protéger les agrumes sensibles au froid

Si le mandarinier satsuma brille par sa robustesse naturelle, d’autres agrumes tels que le citronnier, l’oranger ou le kumquat sont bien plus vulnérables.

Pour ces variétés, il est essentiel d’adopter des mesures préventives afin de prévenir les dommages liés aux basses températures.

  • Voile d’hivernage : les voiles non tissés offrent une protection simple et efficace. En cas de gelées légères, ces couvertures maintiennent une température légèrement supérieure autour de l’arbre. Il est conseillé de doubler le voile si le froid devient plus intense.
  • Paillage au pied : en ajoutant une couche de paille, de feuilles mortes ou de copeaux de bois au pied de l’arbre, on protège les racines des variations thermiques. Ce geste simple aide les arbres à résister aux coups de froid soudains.
  • Abris temporaires : construire une petite structure autour de l’arbre, comme un tunnel ou une serre amovible, peut fournir une protection supplémentaire. Ce type d’abri réduit l’impact du vent froid et conserve davantage de chaleur.
  • Emplacement stratégique : planter les agrumes dans un coin abrité, exposé au sud et protégé des vents dominants, leur offre un microclimat favorable. Dans les jardins urbains, les murs en pierre ou en brique qui emmagasinent la chaleur pendant la journée peuvent également aider à stabiliser la température.
  • article https://pause-maison.ouest-france.fr/arbre-agrumes-ne-craint-ni-le-gel-ni-la-neige-variete-resiste-climats-extremes/#google_vignette
 


les frelons asiatiques à la trace

Publié le 23/01/2025 à 16:38 par ensemble19syndicat Tags : image france article
Grâce à une puce électronique, ces apiculteurs suivent les frelons asiatiques à la trace et détruisent leurs nids
image/9Y92rdwAU78tNnqNOM5_afVLZzs/600x400/regions/2025/01/23/clean-ici-12-13-aquitaine-23-01-2025-00-12-11-18-67924fc50ffc1929818743.jpg" alt="Le frelon asiatique est un terrible prédateur pour les abeilles." width="640" height="426" />
Le frelon asiatique est un terrible prédateur pour les abeilles. © France 3 Nouvelle-Aquitaine
 
extrait article fr3 https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/pyrenees-atlantiques/bayonne/frelons-asiatiques-les-apiculteurs-reprennent-la-lutte-la-periode-ideale-c-est-maintenant-3095944.html


Pourquoi les tracteurs décarbonés peinent à s’imposer

Publié le 22/01/2025 à 16:02 par ensemble19syndicat Tags : png image background sur center photo article
Pourquoi les tracteurs décarbonés peinent à s’imposer
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Les nouvelles motorisations décarbonées, à l’instar du fabricant américain John Deere, basé dans le Loiret, qui lancera en 2025 ses premières batteries électriques pour tracteurs, n'ont pas encore convaincu les agriculteurs.

Par guillaume Fischer

Publié le 22/01/25 à 10:11 - Mis à jour le 22/01/25 à 10:11

John Deere

Photo d'illustration

dr

 

Comme les constructeurs de poids lourds, les fabricants de tracteurs agricoles sont à la traîne sur la transition énergétique, via notamment la mise en œuvre de motorisations électriques. En 2024, plus de 95% du parc français reste dépendant des combustibles fossiles.

ARTICLE LA TRIBUNE https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/industrie-lourde/pourquoi-les-tracteurs-decarbones-peinent-a-s-imposer-1016374.html



une pomme -réduire le recours aux pesticides

Publié le 21/01/2025 à 17:11 par ensemble19syndicat Tags : image sur vie france article société centre demain création cadre
Story, une pomme conçue pour réduire le recours aux pesticides, verra bientôt le jour
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© France Televisions C.François

Dans le cadre du projet "Cap zéro phyto", l'Inrae des Pays de la Loire, l'Institut Agro Rennes-Angers et l'Université d'Angers ont sélectionné une nouvelle variété de pommes résistante à certaines maladies. Mais la génétique ne fait pas tout : des coups de pouce en lumière ou la proximité d'autres plantes concourent aux défenses du pommier.

 
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Elle ressemble à la pomme de Blanche-Neige, mais sans le poison : dans ses vergers expérimentaux de Beaucouzé, près d'Angers, l'Institut de recherche agronomique Inrae invente les fruits de demain, résistants aux maladies et qui grandiront sans pesticides, ou presque.

La France produit 1,5 million de tonnes de pommes chaque année, troisième producteur européen derrière la Pologne et l'Italie. 

À lire aussi. Pommes pourries au sol, récoltes désastreuses : un arboriculteur réclame l'interdiction des herbicides qui ont contaminé ses vergers


C'est sur ce campus du Maine-et-Loire qu'est née Story, une pomme d'un rouge profond, croquante, très sucrée, à l'issue de vingt ans de recherches.
Cette pomme de conte de fées "possède un gène de résistance à la tavelure", ce qui permet de réduire de 30% à 40% les traitements pesticides contre cette maladie causée par un champignon, explique le chercheur de l'Inrae François Laurens, qui a dirigé l'équipe ayant conçu Story.

Sur les pommiers, 35 traitements aux pesticides par an en moyenne


Avec l'oïdium, la tavelure est la principale affection fongique du pommier. C'est contre ce champignon que s'effectue plus de la moitié des nombreux traitements aux pesticides, 35 en moyenne par an. Le fruit préféré des Français reste l'un des plus traités.
La maladie de la tavelure cause des lésions brunes sur les feuilles, altérant la photosynthèse, et donc la capacité des plantes à se nourrir, et des taches sur les fruits les rendant impossibles à commercialiser.

Moins de pesticides, plus d'immunité

C'est notamment contre cette menace majeure pour la pomme que l'Institut de recherche en horticulture et semences (IRHS), sous la tutelle de l'Inrae, de l'institut Agro Rennes-Angers et de l'université d'Angers, a lancé un vaste programme de recherche : le projet "Cap Zéro Phyto".
Zéro pesticide, ou presque, c'est faire mieux que pour la pomme Story. "Il n'y aura pas de solution unique, nous travaillons dans plusieurs directions en même temps", souligne Emmanuelle Chevassus-Lozza, présidente du centre Inrae des Pays de la Loire.
De la sélection des plants à l'arbre greffé, le projet "Cap Zéro Phyto" propose des "combinaisons de cinq leviers principaux destinés à augmenter l'immunité du pommier contre ses bioagresseurs", indique la chercheuse Marie-Noëlle Brisset, traversant les serres qui abritent des milliers de plantules vert tendre.

Cinq leviers contre les maladies


Parmi ces leviers, détaille-t-elle, figurent "la génétique", au travers de la sélection variétale conventionnelle, des produits "stimulateurs de défense des plantes", des "flashs d'UV-C", un rayonnement spécifique d'UV qui stimule les défenses naturelles des plantes, notamment utilisé sur la vigne contre le mildiou.
Elle évoque aussi "les restrictions d'azote" et "les plantes de service".Ces dernières peuvent par exemple avoir un effet répulsif sur les insectes nuisibles, comme la menthe, ou favoriser la fixation de l'azote, comme la féverole.

100 000 pépins et 20 ans de recherche

Dans un premier temps, ces différentes solutions sont expérimentées sur de très jeunes plants de pommiers élevés par milliers sous serre. Puis les solutions les plus prometteuses sont testées sur des arbres dans de grands pots. 
Vient enfin l'épreuve du champ, où de jeunes arbres ont été plantés dans plusieurs vergers dédiés à l'étude de chaque levier ou des leviers en combinaisons.
Cette recherche de la pomme de demain passe par la création de nouvelles variétés : la candidate idéale est "facile à produire avec un rendement élevé et régulier", "se conserve bien" et "répond au goût des consommateurs, qui finalement ont le dernier mot", rappelle François Laurens.
Pour parvenir à ce résultat pour la variété Story, le chercheur a travaillé avec des biologistes et généticiens de l'Inrae, mais aussi avec la société Novadi, regroupant notamment des pépiniéristes, qui se sont chargés de l'hybridation et d'une partie de la sélection : "Cela a permis de gagner au moins cinq ans".
Or le temps est un facteur-clé quand le dérèglement climatique favorise champignons et bactéries qui attaquent sans relâche les défenses des plantes. 

Le pommier est né il y a 10 000 ans dans une région qui correspond au Kazakhstan actuel : il est arrivé avec son cortège de bioagresseurs, mais pas toujours avec leurs prédateurs.

Arnaud Lemarquand

Directeur Inrae de l'unité expérimentale horticole

Il faut attendre le 16e siècle pour voir les prémices de la culture du pommier domestique en Bretagne. Particulièrement adaptée au climat (doux et humide), la culture de la pomme prolifère alors, pour devenir l’un des piliers de l’agriculture bretonne.

Selon l'Inrae, il faut en moyenne 20 ans et 100 000 pépins, pour mettre au point une nouvelle pomme.

Sofia BOUDERBALA / AFP

article fr3 https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/rennes/story-une-pomme-concue-pour-reduire-le-recours-aux-pesticides-verra-bientot-le-jour-3095038.html