"C'est le village de la grand-mère, on ne peut pas faire n'importe quoi" : leurs usines sont loin de tout en Corrèze et alors ? Depuis Bugeat-Viam, Meyssac, Saint-Augustin ou encore Objat, ces usines corréziennes parviennent à faire leur place sur des marchés nationaux et internationaux. Comment ? Les chefs d'entreprise de Nexton, Home clôtures, Sothys et Ponthier répondent à ces questions, dévoilant quelques secrets de leur réussite.
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Par Emilie Auffret et Estelle Bardelot
Publié le 19 février 2025 à 19h39 • Mis à jour le 20 février 2025 à 09h47 •
Situées en milieu rural, ces entreprises corréziennes parviennent à décrocher des marchés nationaux et internationaux. Dans le bois, le digital, la cosmétique, ou encore la transformation de fruits, elles ont su tirer le meilleur de leur localisation géographique éloignée des grands centres urbains. Voici leurs secrets pour y parvenir.
Les atouts
"On produisait 1.200 ganivelles par jour, on est passé à plus de 4.000."
"Nous étions à l’étroit à Chamberet", rappelle Éric Bajer, président du groupe Home clôtures qui produit des ganivelles dans la zone du bois à Bugeat-Viam. "Dans la zone du bois, il y avait ce bâtiment à l’abandon avec quinze hectares libres autour. Cela cochait toutes les cases."
Pour Home clôtures, l’espace signifie développement et investissements. "On a investi 5,5 millions d’euros, on a acheté des machines, des robots, une ligne de tri… On produit cinq fois plus. On est passé d’une production artisanale à une production 100 % industrielle. On produisait 1.200 ganivelles par jour, on est passé à plus de 4.000 et on produit maintenant des tuteurs pour les plants d’arbres. On peut en faire 14.000 par jour et cela ne fait qu’augmenter", détaille-t-il. Et tout cela sans nuisance pour les voisins, puisqu’il n’y en a pas. Tout autour, des bois. "On est au cœur de la ressource, tout se fait localement. C’est ce que je voulais."
article la montagne https://www.lamontagne.fr/objat-19130/economie/c-est-le-village-de-la-grand-mere-on-ne-peut-pas-faire-n-importe-quoi-leurs-usines-sont-loin-de-tout-en-correze-et-alors_14643988/
La société conjointe entre Thales et Leonardo a signé un contrat avec l'Agence spatiale européenne d'une valeur de 862 millions d'euros pour développer et concevoir le module de descente LDE (Lunar Descent Element) dans le cadre de la mission Argonaut (programme Artemis).
Publié le 30/01/25 à 10:00 - Mis à jour le 30/01/25 à 10:04
Le module de descente LDE (Lunar Descent Element) enverra des tonnes de fret, incluant des rovers et des expériences scientifiques, à destination de la Lune.
Thales Alenia Space
Thales Alenia Space est la société du mois de janvier dans le secteur spatial. Et plus précisément TAS en Italie. La société conjointe entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %) a signé jeudi en tant que maître d'oeuvre un contrat avec l'Agence spatiale européenne (ESA) d'une valeur de 862 millions d'euros pour développer et concevoir le module de descente LDE (Lunar Descent Element) pour la mission Argonaut. « L'attribution du contrat Argonaut fera date dans l'histoire de Thales Alenia Space », affirme le PDG de TAS, Hervé Derrey, cité dans le communiqué de TAS. Ce véhicule spatial autonome et polyvalent enverra des tonnes de fret, incluant des rovers et des expériences scientifiques, à destination de la Lune.
Avec ce LDE européen, l'Europe va se doter d'un atterrisseur lunaire qui lui permettra d'accéder en toute indépendance à la surface lunaire en ayant des missions de nature très variée. Ainsi, ce futur atterrisseur lunaire autonome et polyvalent est destiné dans le cadre du programme spatial habité de la NASA Artemis au transport de fret destiné aux astronautes à proximité du site d'alunissage, y compris de véhicules (rover), des démonstrateurs technologiques, des moyens de production utilisant les ressources in situ, un télescope lunaire ou encore une centrale électrique. Programmé pour un lancement à partir de 2030, il sera capable de rejoindre la Lune et de s'y poser. Ainsi, la première mission prévoit d'ores et déjà l'acheminement de charges utiles dédiées à la navigation et aux télécoms, ainsi que d'un système de production et de stockage d'énergie pour permettre aux entreprises européennes d'explorer le pôle Sud de la Lune.
Publié le 09/01/2025 à 16:34 par ensemble19syndicat
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Ligier group va conserver un seul site de production qui sera dans l'Allier Possédant deux sites de production, le constructeur automobile Ligier group prévoit de fermer son usine de Montaigu-Vendée où sont fabriqués des micro-utilitaires électriques et des voitures sans permis électriques, et de rapatrier les lignes de production sur son site historique d’Abrest (Allier).
extrait article la montagne https://www.lamontagne.fr/abrest-03200/economie/ligier-group-va-conserver-un-seul-site-de-production-qui-sera-dans-l-allier_14623074/?tbref=hp
Le géant mondial du lait, Lactalis basé à Laval (Mayenne), a annoncé jeudi 19 décembre régler 475 millions d’euros au fisc français pour mettre un terme à un différend portant sur des opérations internationales de financement.
Le groupe mayennais veut mettre un terme définitif aux procédures de contrôle du fisc français. extrait article lsa https://www.lsa-conso.fr/le-groupe-lactalis-va-payer-475-millions-d-euros-au-fisc-francais,458652
Le confiseur français Carambar & Co, propriétaire de la marque de chocolat Poulain, a annoncé mercredi qu'un accord avait été signé avec le groupe Andros pour la reprise de l'usine historique du chocolatier, assurant la sauvegarde de l'intégralité des emplois. Plus de 170 ans après sa création, l'usine Poulain implantée à Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), visée par un plan de fermeture selon une annonce des syndicats de la chocolaterie, est donc définitivement sauvée.
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«Après plusieurs semaines de discussions le groupe Carambar & Co et l'entreprise familiale Andros sont heureux d'annoncer la signature d'un accord pour la reprise et la continuité de l'usine Poulain de Villebarou», a annoncé Carambar & Co dans un communiqué de presse transmis à l'AFP. Avec cet accord, «Andros reprend l'activité du site industriel de Villebarou et conserve l'intégralité des salariés du site», au nombre de 109 en juin. «La mise en œuvre opérationnelle de cet accord devrait être finalisée d'ici à la fin du mois de janvier», précise le communiqué.
«Préserver les emplois»
En juin, Carambar & Co avait pris la décision, «pour des raisons de cohérence industrielle et économique», de trouver un repreneur pour son usine de Villebarou, rappelle le groupe. Ses dirigeants «ont maintenu le dialogue avec les représentants du personnel et les pouvoirs publics, ont recherché un acteur industriel prêt à poursuivre la fabrication du chocolat Poulain et à préserver les emplois», est-il aussi indiqué. Le groupe affirme que «préalablement à cette signature», «les représentants des Comités Sociaux et Économiques du site et du groupe Carambar & Co ont rendu un avis favorable sur le projet de reprise».
«On n'a pas encore tous les éléments, notamment autour de l'avenir de l'usine, mais ils ont annoncé reprendre tous les salariés, donc on est tous très contents», s'est réjoui auprès de l'AFP Olivier Dupont, secrétaire du CSE Local et Central. Pour Frédéric Gervoson, président du Conseil de Surveillance d'Andros, et Florian Delmas, président, cités dans le communiqué, «le savoir-faire des salariés et l'outil de production de Villebarou constituent une opportunité de développement durable pour Andros». Depuis 2017, la marque de chocolat Poulain est détenue par le groupe Carambar & Co, créé après le rachat par la société d'investissement Eurazeo de plusieurs marques de confiseries françaises à la multinationale américaine Mondelez.
Dans le cadre de notre panorama des entreprises 2024, nous vous proposons un classement des entreprises les plus importantes de la Corrèze dans différents secteurs. Focus, aujourd'hui, sur le secteur du commerce.
Voici le classement des entreprises les plus importantes de la Corrèze dans le secteur du commerce.
Parot automotives sud-ouest (bilan 2023)
Chiffre d'affaires : 131.649.000 €
Localité : Brive
Activité : commerce de voitures et véhicules auto légers
Effectif : 100 à 199
Coop. agri. des éleveurs du pays vert (bilan 2023)
Chiffre d'affaires : 117.470.000 €
Localité : Naves
Activité : commerce de gros d'animaux vivants
Effectif : 100 à 199
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Ets A. Puybaret (bilan 2023)
Chiffre d'affaires : 53.549.000 €
Localité : Ussel
Activité : commerce de gros fournitures plomberie, chauffage
Effectif : 100 à 199
Edenauto premium Brive BMW (bilan 2023)
Chiffre d'affaires : 52.752.000 €
Localité : Brive
Activité : commerce voitures et véhicules auto légers
Effectif : 50 à 99
Viandes de Corrèze (bilan 2022)
Chiffre d'affaires : 52.162.000€
Localité : Saint-Viance
Activité : commerce de gros de viandes de boucherie
Effectif : 20 à 49
Faurie auto Brive (bilan 2023)
Chiffre d'affaires : 49.200.000 €
Localité : Brive
Activité :commerce voitures et véhicules auto légers
Effectif : 50 à 99
Morance Tressol-Chabrier (bilan 2023)
Chiffre d'affaires : 41.470.000 €
Localité : Brive
Activité : commerce voitures et véhicules auto légers
Effectif : 50 à 99
Temaco contenants (bilan 2023)
Chiffre d'affaires : 39.918.000 €
Localité : Donzenac
Activité : commerce de gros produits intermédiaires
Effectif : 20 à 49
Méthodologie
Les palmarès des entreprises ont été réalisés à partir des informations financières fournies par la société Infolegale d'après les informations fournies par les entreprises auprès du tribunal de commerce dont elles dépendent. Les sociétés n'ayant pas effectué ces déclarations ou qui ont demandé la confidentialité de leurs données financières sur les exercices 2022 et 2023 ne sont pas répertoriées ici.
En complément, Le Groupe CentreFrance a complété ces fichiers par un questionnaire envoyé par mail auprès d'un certain nombre d'entreprises. Comme les autres années, les entreprises référencées devaient répondre aux critères suivants : avoir leur siège social situé en Corrèze, avoir publié leur bilan auprès des greffes des tribunaux de commerce du département, avoir un chiffre d'affaires de 500.000 euros minimum.
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Infolegale et le Groupe CentreFrance ne peuvent être tenus pour responsables des modifications intervenues ultérieurement, ni des erreurs ou omissions en dépit des soins apportés et des contrôles effectués.
article la montagne https://www.lamontagne.fr/brive-la-gaillarde-19100/economie/decouvrez-le-palmares-des-entreprises-de-la-correze-au-plus-gros-chiffre-d-affaires-dans-le-secteur-du-commerce_14602118/
Économie Que préconise le rapport de la Corrézienne Hélène Bourbouloux pour encourager l'entrepreneuriat en France ? Article réservé aux abonnés
Publié le 29/11/2024 à 13h00
Simplifier les procédures collectives, changer de vocabulaire, écrire un autre récit de l'aventure entrepreneuriale... Voici les mesures fortes que préconise le rapport remis au ministre de l'Économie, ce jeudi 28 novembre, par un groupe de travail emmené par l'administratrice judiciaire star Hélène Bourbouloux.
Le document intitulé sobrement "Rapport sur l'échec et le rebond entrepreneurial" propose une série de mesures afin de lever des freins à la création ou la reprise d'entreprises ancrés dans la société française.
ARTICLE EXTRAIT LA MONTAGNE https://www.lamontagne.fr/brive-la-gaillarde-19100/economie/que-preconise-le-rapport-de-la-correzienne-helene-bourbouloux-pour-encourager-l-entrepreneuriat-en-france_14603650/
Publié le 22/11/2024 à 07h05Mis à jour le 22/11/2024 à 12h22
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Le groupe industriel Legrand, spécialiste du matériel électrique et numérique dont le siège est à Limoges, envisage de délocaliser une partie de sa production, notamment l'activité de Valprod. Contactée, l'entreprise s'explique sur cette décision alors que les syndicats font part de leur inquiétude. Depuis, de nombreux élus locaux réagissent. Le point.
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La direction de Legrand a présenté son plan d'adaptation industriel aux organisations syndicales en Comité économique et social le mardi 19 novembre 2024. Selon le groupe, les délocalisations prévues concernent quatre sites, dans l'Aisne, en Normandie et en Haute-Vienne, celui de Valprod, qui produit des boîtes d'encastrement électriques, une activité à faible valeur ajoutée, transférée en Hongrie en 2026.
Selon la direction, Legrand souhaite "conserver ses positions de fabricant français de premier plan et sa compétitivité, en renforçant l’efficacité de son dispositif industriel en France. Cet objectif implique d’optimiser les surfaces utilisées et de créer davantage de synergies entre les sites concernés".Le groupe industriel dit avoir tenu compte du contexte du marché du bâtiment en France, dont le volume d'activité est en baisse significative depuis plusieurs années, sans perspective de relance à moyen terme.
Le géant Legrand, spécialiste du matériel électrique et numérique, compte aujourd’hui dans le monde 37 800 salariés,5000 en France, 2000 en Nouvelle-Aquitaine. Dans les années 90, ils étaient 4 000 dans la région, soit une perte de 2000 emplois en trente-quatre ans dans la région. La direction affirme que "la délocalisation n’est pas au cœur de sa stratégie". Pourtant, elle explique que près de la moitié de la production française est exportée et qu’en général, le groupe fabrique à proximité de ses zones de commercialisation pour optimiser ses coûts de transport.
Quel devenir pour les salariés limougeauds ?
Une cinquantaine de salariés de Valprod sur le site de La Valoine, dans la zone sud de Limoges, sont directement concernés par la nouvelle stratégie industrielle du groupe Legrand.
Mais, selon la direction, il n’y aura pas de plan de licenciement parmi les cinquante-quatre salariés. Ceux qui ne partiront pas en retraite seraient reclassés à moins de trois kilomètres de leur site, où l’on produit des boîtes d’encastrement.
La direction de l'entreprise promet : "toutes les situations individuelles seront étudiées avec attention et chaque salarié se verra proposer une solution adaptée dans le cadre de la mise en œuvre de ces plans qui seront déployés jusqu’en 2028", privilégiant le maintien des emplois au sein du groupe.
Mais la CGT dénonce des marges de 20%, voulues par une direction de financiers. Pour elle, Limoges va en pâtir. "Il y aura une continuité de perte d’effectif sur le sol français et sur le sol limougeaud. Cela va obligatoirement entacher le bassin de Limoges puisque ce sont des machines de production qui quittent la France",réagit Olivier Ten, Délégué syndical central CGT Legrand.
Selon le groupe, 3% de son capital est détenu par les salariés. Le reste, soit 97%, constitue un capital flottant, c’est-à-dire qu’une partie de ses actions sont susceptibles d’être échangées sur le marché financier.
Les réactions à l'annonce des syndicats et du maire de Limoges dans ce reportage de Cécile Descubes :
L'annonce de cette adaptation de la stratégie de Legrand a été reçue avec beaucoup d'inquiétude chez les élus locaux. Pour Jean-claude Leblois président (PS) du département de Haute-Vienne, "c'est une mauvaise nouvelle dans une actualité qui n'en manque pas". La délocalisation d'une partie de la production de ce géant du CAC 40 s'opère dans un climat social de crise avec de nombreux plans de licenciements annoncés en France.
Je demande que la direction de Legrand nous reçoive pour nous expliquer les motivations justifiant un tel transfert qui ne paraît pas tant que cela étayé économiquement.
Jean-Claude Leblois
Président (PS) du département de Haute-Vienne
Pour le maire (LR) de Limoges, Emile-Roger Lombertie, ce transfert d'activité est "a priori indolore" mais il veut rester attentif aux conséquences de la crise qui sévit dans le bâtiment.
De son côté, Guillaume Guérin, président (LR) de Limoges Métropole souligne : "les efforts entrepris par l’entreprise Legrand, pour gagner en compétitivité ainsi que pour proposer les solutions les plus adaptées aux salariés impactés, témoignent de son engagement en faveur du maintien de l’emploi sur le territoire".
De manière plus générale, la direction du groupe industriel souligne que la "France est un pays important pour l'entreprise Legrand. Près de la moitié de la production faite dans les usines françaises du Groupe est exportée. Avec 15% du chiffre d’affaires du Groupe au niveau mondial, la France est le 2ᵉ pays du Groupe ".
Un nouveau CSE central aura lieu le 10 décembre, pour répondre aux salariés qui ont réclamé des chiffres. Ils pourraient négocier une expertise pour déterminer si cette délocalisation est vraiment rentable.
Publié le 20/11/2024 à 14:42 par ensemble19syndicat
Tags : articlefrance
Budget : le Sénat épargne aux entreprises un milliard d'euros de cotisations patronales
La Chambre haute a approuvé mardi une mesure de réduction des allègements de cotisations patronales, qui devrait permettre de dégager trois milliards d'euros au détriment des employeurs, soit un milliard de moins qu'envisagé par le gouvernement dans son projet de budget de la Sécurité sociale. article la tribune extrait https://www.latribune.fr/economie/france/budget-le-senat-epargne-aux-entreprises-un-milliard-d-euros-de-cotisations-patronales-1011831.html
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