Les Nouvelles Internationales est un site alternatif pour les gens qui veulent mieux comprendre ce qui se passe dans notre monde et pour mieux connaître notre histoire.
Ce site se veut un moyen de résister à la manipulation de la pensée par la désinformation et la propagande de masse.
Une population éduquée n`est pas manipulable. Cessons de nous faire violer psychiquement, protégeons-nous mentalement. Les ploutocrates dépensent des milliards pour contrôler notre pensée. Fermons la TV!
Voici un excellent texte trouvé sur CentPapiers! Je n’ajouterais que les liens à explorer qui vont expliquer d’où viennent toutes ces "idées géniales".
Mario Dumont et (Charest dans une certaine mesure), avec Québécor et Péladeau qui est en adoration devant Brian Mulroney qui siège sur le Board sont liés à l’IEDM. Sans compter que l’histoire d’Hydro et les tarifs sont liés au Desmarais, Sarkozy et les Bush/Carlyle Group. L’IEDM est lié à l’Institut Fraser à Vancouver qui lui est connecté directement au CFR (Council on Foreign Relations) aux États-Unis, qui lui est connecté à la commission Trilatérale et les Bilderberg, et finalement de la RIIA (Royal Institute of International Affairs) en Angleterre. Bref, ce sont les mêmes qui nous poussent l’intégration du Canada, du Mexique et des États-Unis dans une Union Nord Américaine. La grande entreprise et l’élite, au grand détriment du reste de la population qui va perdre liberté, pouvoir, et sa situation économique.
Faites quelques recherches Google. Des puissants intérêts sont en marche, et on veut votre peau ! Merci à l’auteur pour ce texte, et franchement l’idée de nationaliser Big Pharma au Québec est sublime. J’imagine de voir leur réaction à cette idée !!!!
La version originale de cet article a été publiée à cet endroit.
Que penser des propositions de l’Institut Économique de Montréal dans son exposé « Onze idées pour transformer le Québec » paru dans le Journal de Montréal à la date du 12 janvier 2008 ?
À première vue, ces « idées » sont séduisantes, mais si on examine un peu plus à fond la trame maîtresse de ces suggestions, on voit nettement leur tendance à vouloir résoudre des problèmes sociaux-économiques complexes par des initiatives néolibérales qui avantagent indubitablement le monde des affaires, les classes sociales aisées et la pensée mercantile.
Alors voici une critique de ces 11 revendications de ce think tank de droite :
1- Hausser les droits de scolarité
« Le système actuel est porteur d’injustices envers les étudiants car tous paient les mêmes droits, en dépit des coûts différents des programmes et des perspectives d’emploi liées à chacun. Le gel actuel est une subvention déguisée profitant aux mieux nantis et à ceux dont les études rapporteront le plus. Par exemple, un étudiant en lettres paierait 1604 $ par session, soit moins qu’à l’heure actuelle. Un étudiant en médecine paierait 4627 $ par session ».
Donc, plus le coût d’une formation post-secondaire est élevé pour l’État, plus l’étudiant devra s’endetter afin de terminer ses études. Mais la conséquence sera que les étudiants issus de milieux favorisés, eux, pourront payer facilement ces frais élevés dans les domaines les plus dispendieux, mais ceux des milieux défavorisés s’endetteront encore plus pour pouvoir être diplômés dans ces mêmes domaines.
On évoque que le gel et la normalisation des coûts des formations avantagent les plus riches. Une logique tordue difficile à saisir. Il s’agit en fait d’une mesure élitiste réservant les professions les plus estimées et les plus rémunératrices à un petit groupe dominant et décourageant les ressortissants des milieux populaires à suivre les mêmes études.
2- Remettre les assistés sociaux au travail
« Il reste une multitude de besoins non comblés qui font appel à de la main-d’œuvre non qualifiée : des personnes âgées, handicapées ou malades à visiter ou à promener, des bâtiments et des terrains publics à entretenir, etc. Offrir aux assistés sociaux de longue date aptes au travail le droit de gagner plus de 200 $ par mois, sans perte de prestation, à condition qu’ils travaillent 40 heures dans le secteur public ou parapublic. Ils effectueraient des tâches ne requérant pas de qualifications spéciales. Ils seraient payés au salaire minimum, de sorte qu’une partie de leur prestation (40 heures x 8 $ = 320 $) serait transformée en salaire. »
Essayons de lire entre les lignes : donc, les prestataires d’aide sociale rentraient en compétition avec les salariés qui occupent déjà ces fonctions dans le domaine public, notamment dans la santé et les services municipaux. Cette méthode ferait d’une pierre deux coups : on induirait une tendance à la baisse des salaires dans ces secteurs et on mettrait en échec les syndicats de la même façon. En plus, si on extrapole à l’extrême, les présents employés pourraient perdre leurs emplois et se retrouver eux aussi à la longue au chômage et à l’aide sociale ! Finalement, une politique qui déplacerait la pauvreté au lieu de la résorber.
Par ailleurs, rien ne garantit que les prestataires voudront travailler au salaire minimum qui constitue un revenu nettement insuffisant pour faire face aux coûts de la vie. N’oublions pas que travailler comporte des frais afférents : transport, frais de garde des enfants, etc. et que plusieurs préfèrent ne pas s’engager dans un emploi au taux le plus bas.
3- Des écoles contre le décrochage
« Créer un corps d’élite de 1000 enseignants et de 1000 employés de soutien qui seraient déployés dans 25 écoles de « performance » situées en milieu défavorisé. Les membres de ce corps d’élite seraient payés en moyenne 20 000 $ de plus par an que les autres employés du système. Ils seraient recrutés sur la base de leurs compétences. En outre, ils ne seraient pas syndiqués, ce qui permettrait de la flexibilité à l’embauche et leur remplacement rapide s’ils n’arrivaient pas à atteindre leurs objectifs. Leur mission : contrer le décrochage efficacement ».
Le but de ce projet peut sembler louable, mais quel enseignant compétent et expérimenté irait perdre ses avantages syndicaux avec un incitatif monétaire si peu attrayant et la menace d’être renvoyé s’il ne rencontre pas les objectifs ? Par ailleurs, le fait de se retrouver dans des écoles « à problèmes » n’incitera que peu de professeurs à migrer vers ces institutions d’enseignement.
4- Rendement des fonctionnaires
« Le Québec pourrait s’inspirer de l’expérience de la Suède et mettre en place un régime de rémunération individualisé pour les employés de la fonction publique en vertu duquel les augmentations annuelles se feraient à 50 % selon la hausse du coût de la vie et à 50 % selon la performance et le mérite ».
Un tel système ne contribuerait-il pas à détériorer le milieu de travail ? Dans l’éventualité que les patrons décideraient des récipiendaires de ces primes de productivité, il y a risque que la jalousie et les manœuvres insidieuses de certains employés dans le but d’obtenir les faveurs des dirigeants minent l’ambiance et l’harmonie entre les co-équipiers.
De plus, la qualité des services à la population pourrait en être diminuée. Un fonctionnaire qui carbure à la rentabilité investirait moins de temps sur chaque dossier et pourrait bâcler l’ouvrage afin de passer au dossier suivant. Efficacité ne rime pas toujours avec travail bien fait.
Et pourquoi ne pas imposer plutôt un régime collectif de primes ? Pourquoi ne pas faire profiter tous les salariés si le groupe de travail performe bien dans l’ensemble ? Cela éviterait les conflits entre travailleurs et assurerait le public de la qualité des services reçus.
5- La concurrence imposée à la fonction publique
« Que les services financés publiquement – des Postes aux bibliothèques en passant par la collecte des ordures, etc. – fassent l’objet d’un appel d’offres où des entreprises privées seraient en concurrence avec les unités syndicales du secteur public pour l’obtention d’un contrat. Les contrats seraient d’une durée de cinq ans ».
Voilà une façon détournée de privatiser les services gouvernementaux et de diluer la syndicalisation qui se base sur le droit fondamental d’association. On tente de mettre sur le même pied entreprises privées et syndicats.
Si l’on contraint les syndicats à concurrencer le privé lors d’appels d’offres dans la sphère publique, rien n’empêchera le domaine privé d’en faire tout autant. Il serait possible qu’une compagnie insatisfaite de la convention collective qui régit les conditions de travail de ses employés décrète un appel d’offre envers tout sous-traitant ou autre syndicat intéressé à effectuer les tâches octroyées aux employés déjà en place. En somme, le droit de négociation serait altéré à la baisse car la menace de remplacement par une autre équipe avantagerait assurément les patrons dans toute élaboration de contrat de travail. La résultante serait alors une baisse de salaires et des avantages des travailleurs de ces entreprises ainsi qu’une violation de leur droit d’association.
6- Abolition de la taxe sur le capital
« Abolir dès maintenant la taxe sur le capital. Cette taxe rapporte annuellement 889 M$ au gouvernement. Pour compenser cette perte, Québec pourrait couper dans les subventions et les avantages fiscaux aux entreprises, qui sont réparties dans 1700 programmes ».
Le Québec a déjà le taux d’imposition des entreprises le plus bas en Amérique du Nord et sa taxe sur le capital n’est que de 0,49% (soit ½ pourcent). Alors, rien ne justifie une telle annulation.
L’IEDM suggère en contre partie de couper dans les subventions aux entreprises, qui se chiffreraient à plus de 3 milliards en 2003. Un bon « deal », aux premiers abords, mais on oublie qu’une grande partie soutient les petites et moyennes entreprises, qui, notons-le, ont créé 70% des emplois entre 1985 et 1999. Quel est alors le véritable dessein de cette politique proposée ? Nuire à l’emploi ou désavantager les entreprises les plus fragiles, pourtant créatrices d’emplois, au bénéfice des grandes entreprises ? C’est en fait une tactique pour encourager la concentration d’entreprises par l’instauration de monopoles ou d’oligopoles, ce qui est pourtant contraire à la théorie du marché.
Également, les subventions de l’État dans des domaines en demande avec un bon potentiel peuvent favoriser le développement d’industries qui ne pourraient démarrer sans le soutient des deniers publics. Si le privé ne peut ou ne veut pas investir dans certains pans de l’économie, c’est au gouvernement de le faire. Le libre marché n’est pas infaillible et c’est aux pouvoirs publics de pallier aux lacunes éventuelles.
Ici, l’IEDM démontre encore sa confiance aveugle en l’Économie Pure qui ne comporte, selon lui, aucun défaut.
7- Une médecine à deux vitesses
« Permettre aux médecins spécialistes et omnipraticiens qui le désirent de travailler pour une rémunération de source privée, à partir du moment où ils ont accompli leur travail au service de l’assureur public. Ils pourraient acquérir ce droit après 40 heures hebdomadaires dans le réseau public… Cela pourrait permettre de diminuer les listes d’attente. Les patients qui le souhaitent et qui en ont les moyens pourraient assumer les coûts de certaines chirurgies, soit directement de leur poche ou par l’entremise d’assurances privées. Du même coup, ils céderaient leur place sur les listes d’attente. Les moins bien nantis continueraient à recevoir gratuitement les services actuellement assurés. ».
On s’attendait à cette proposition de la part de l’IEDM. À la base, la médecine à deux vitesses est inéquitable et contient un dilemme éthique flagrant. Ce n’est pas parce que quelqu’un a plus de sous qu’il a le privilège de recevoir des soins avant une personne plus démunie. Fait intéressant : les gens les plus pauvres sont généralement plus malades que les gens nantis. Alors pourquoi accélérer l’admission des riches quand les demandeurs sont souvent issus des classes sociales défavorisées ?
Le drainage vers le privé des autres catégories de personnel que les médecins est aussi cause à préoccupation.
Les médecins pourraient être obligés de respecter un certain nombre d’heures de pratique ou de rendez-vous au réseau public avant d’aller soigner des patients dans un système privé. Mais qu’en est-il des infirmières, des techniciens en réadaptation ou en anesthésie, etc. ?
La croyance populaire veut que seuls les médecins soient la pièce maîtresse de la santé. Mais il n’en est rien. On peut leur imposer un quota, mais en serait-il de même pour les autres professionnels de la santé ? Rien ne retient l’infirmière ou le technicien de quitter le système public pour un système privé plus rémunérateur. Sous cet angle, l’affirmation selon laquelle la médecine privée ne drainera pas de main-d’oeuvre du secteur public, en manque chronique de personnel, semble incertaine.
Enfin, les rémunérations plus élevées des infirmières et des techniciens dans un cadre privé mettront de la pression sur le réseau public pour qu’il augmente les revenus des mêmes catégories de personnel. Ainsi, la qualité des soins déclinera dans les hôpitaux d’État et la crise financière du secteur public s’aggravera.
Une solution plus sociale aux longues listes d’attente serait de hausser les primes de temps supplémentaires des médecins en finançant les coûts par la nationalisation de l’industrie pharmaceutique qui permettrait de générer des revenus additionnels. Tout le monde sait que cette industrie engrange des profits mirobolants qui ne retournent pas à la collectivité.
8- Augmentation du prix de l’hydroélectricité
« Aux tarifs actuels, les ménages et entreprises du Québec ne sont pas suffisamment incités à utiliser l’énergie de manière efficace et responsable. Dans le cas des mieux nantis, cela se traduit par une consommation qui est à toutes fins pratiques subventionnées par les contribuables… Augmenter d’un cent le tarif de l’électricité vendue par Hydro-Québec à sa filiale responsable de la distribution. Accompagner cette hausse — qui augmentera les profits d’Hydro-Québec — d’une baisse d’impôt ».
Encore un tour de passe-passe idéologique comme seul ce think tank sait si bien le faire ! Comment affirmer que les tarifs d’énergie des plus riches sont subventionnés par la société lorsqu’on propose en même temps une diminution des impôts ?
Analysons plus en profondeur : augmenter le prix de l’électricité ne serait en fait qu’une hausse de taxe à la consommation et même si les impôts diminueraient pour l’ensemble des contribuables, le procédé ne ferait que transférer une partie du fardeau fiscal des contribuables fortunés vers la classe moyenne. Notre système d’imposition étant progressif, tout amenuisement général d’impôt sur le revenu profite avant tout aux plus hauts revenus. La balance se résulterait par une atténuation de la contribution des classes sociales richissimes aux coffres de l’État.
En outre, on évoque que cela permettrait une utilisation optimale et responsable de la ressource favorisant l’exportation. Cependant, une alternative plus sensée serait de mettre l’accent sur des politiques énergétiques plus écologiques sans faire payer d’avantage les québécois. Nous pourrions implanter une politique écosensible et un programme d’énergies alternatives d’appoint. Par exemple, des panneaux solaires sur les toits des bâtiments, des détecteurs de mouvement dans les édifices publics qui éteindraient automatiquement les lumières dans les locaux inoccupés, des thermostats intelligents à la grandeur de la province, etc.
Mais ces solutions ne sont pas envisageables pour le privé car les rayons du soleil ne rapportent pas de profit à personne et la bonne gestion énergétique ne retourne pas dans les portefeuilles du monde des affaires.
9- La retraite à 67 ans
« Hausser graduellement l’âge normal de la retraite à 67 ans afin d’atténuer la pénurie de main-d’œuvre et réduire l’impact du vieillissement de la population sur les finances publiques. Faire assumer aux travailleurs qui prennent une retraite prématurée les coûts de leur décision ; avantager ceux qui sont prêts à travailler au-delà de 67 ans ».
La société des loisirs semble encore très éloignée de notre champ de vision. C’était un leurre, voire une utopie.
Les retraités ont le droit de jouir de la vie après une carrière bien remplie. Au lieu de garder les personnes de 60 ans et plus au travail à temps complet, il serait préférable d’introduire un système de retraite progressif à heures variables qui ne nuirait pas à l’intégration des jeunes dans le monde du travail et permettrait de passer l’expertise professionnelle d’une classe d’âge à une autre.
10- Hausser la tvq et baisser les impôts sur les particuliers
« Hausser la TVQ de 7,5 % à 9,5 %, soit l’équivalent des baisses de TPS consenties depuis deux ans par le gouvernement fédéral. En contrepartie, baisser l’impôt sur le revenu de 2 milliards par an, soit l’équivalent des recettes additionnelles de la TVQ ».
Encore une fois, l’IEDM remet ça avec une hausse de taxe à la consommation assortie d’une baisse d’impôt. Comme je l’évoquais dans le point 8, une telle stratégie pelte la plus grande partie de l’assiette fiscale vers la classe moyenne à l’avantage de la classe aisée.
Par ailleurs, la taxe à la consommation est assujettie au mouvement de l’économie. Si l’activité économique est florissante, les rentrées de cette taxe sont à la hausse, mais dans le cas contraire, elles déclinent et engendrent un déficit du budget de l’État. Ainsi, l’impôt sur le revenu est plus stable et assure le gouvernement d’une pérennité budgétaire.
11- Vendre notre eau douce
« Autoriser l’entreprise privée à exporter 100 milliards de mètres cubes d’eau par année, ce qui constitue, en gros, 10 % de l’écoulement annuel de cette ressource sur notre territoire… Si on peut acheminer l’eau à des gens qui en ont besoin et qui peuvent la payer, c’est une bonne utilisation de la ressource ».
Vendre l’eau pour des raisons monétaires est indécent. L’eau est la source de la vie et elle devrait être exclue des pratiques commerciales. Si l’on permet la gestion de l’eau par la loi du marché, la rareté prochaine de cette matière hydrique fera exploser son prix et rendra son accès impossible pour la masse de pauvres qui s’étend dans plusieurs pays sous-développés.
Certains diront qu’il faut pourvoir aux besoins en eau des peuples qui ne réussissent pas à combler leurs besoins, mais ce n’est pas en déléguant sa gestion à la main invisible du marché que nous pourrons nous assurer de la bonne répartition de cette ressource aux personnes qui en ont le plus besoin. Pourquoi ne pas remettre la distribution de l’eau dans le monde à une ONG en collaboration avec les gouvernements. Ce serait évidement plus humanitaire.
En conclusion
La droite néolibérale nous martèle de tous les cotés les bienfaits de leurs politiques socio-économiques. Cet exposé n’est que la dernière tentative en ce sens.
On parle souvent de désinformation et de contrôle des compagnies dans les médias. Et bien, en voilà la preuve. Il est rare qu’un journal à grand tirage publie des réquisitoires de nature progressiste.
On met sur un pied d’estale les principes du libre marché en évitant de parler des effets néfastes (concentration des richesses, inéquités sociales) d’une telle économie sans un contre-poids social. La grande dépression des années 30 en est le meilleur rappel. Suite au krach de 1929, les gouvernements occidentaux ont pratiqué des politiques interventionnistes, comme le New Deal aux États-unis, afin de rétablir un équilibre.
Les « Onze idées pour transformer le Québec » ne sont que l’expression de penseurs de droite qui dénigrent tout ce qui est social et démontrent leur étroitesse d’esprit et leur volonté d’avantager leur classe sociale sans considération envers le reste de la société.
. L'Église de Scientologie et les fanatiques religieux - La grande dérape cognitive
Des extrémistes islamiques qu'on vous dit à la télévision sans cesse?
Regardez ces deux vidéo qu'en disent long sur d'autre formes d'extrémismes et fanatismes religieux et de culte dont on ne vous parle pas trop souvent. Ceux qui sont parmis nous. Toujours plus difficile à admettre quand c'est chez nous que de pointer fièvreusement du doigt les autres.
Alors aujourd'hui on vous présente le fanatisme de culte avec dans le rôle principal Tom Cruise, mais dans la vraie vie. Le deuxième vidéo montre un extrait d'une émission américaine où des mères de famille échangent de famille pour une semaine. Vous devriez voir la mère Chrétienne extrémiste qui disjoncte en revenant dans sa famille. Il est clair qu'elle est atteinte de maladie psychiatrique. Et je ne dis pas ça pour l'attaquer, mais bien cliniquement parlant.
Once you see Tom Cruise in this video describing how his Scientology cult must eliminate all opposition you can judge for yourself if the description of the video as maniacal is accurate…
In 2004 Cruise made a secret interview video just for Scientology cult members.
This secret video was leaked to the Internet on January 15, 2008 on YouTube.com. This was the same day that the considerably less damaging Tom Cruise: An Unauthorized Biography by Andrew Morton was released in bookstores all over the world.
This new video was so damaging to Tom Cruise and Scientology that Scientology and Tom Cruise’s attorneys immediately demanded it be removed or YouTube would be sued. YouTube removed it, but not before many, many people made it the “must see” video of the Internet.
When people saw that You Tube was bullied into removing it before the world could see for themselves the real Tom Cruise and his cult’s dangerous fanaticism, people began putting the secret Cruise video back up at YouTube under different names as well as putting it up all over the Internet.
Scientology and Cruise’s attorneys then began going after any and all websites putting up the video. Media raced to find a copy and people who have not seen it joined the “must find” search for the renegade location of the hour where to find this new secret Cruise video elsewhere on the net.
Because this video is important for dialog on public safety issues on children as it relates to Tom Cruise’s involvement and promotion of a dangerous brainwashing cult to children and young adults, Fact net will do it best to find and post on its home page the most current links to the viewing locations of the hour where you can currently find the Tom Cruise secret video.
Once you see Tom Cruise in this video describing how his Scientology cult must eliminate all opposition you can judge for yourself if the description of the video as maniacal is accurate…
The following is the link that was what was recently re-posted up at YouTube.
Scientology front group that tries to recruit through the prisons. * SP: Suppressive Person. Anyone that doesn’t like Scientology and/or criticizes Scientology. Scientology mini dictionary:
*KSW (short for Keeping Scientology Working): A policy written by Hubbard in the 1960’s that requires all Scientologists to follow his words and his rules exactly.
‘Orgs: Orgs is an abbreviation for ‘organizations’ and describes all churches of Scientology throughout the world.
*David Miscavige: He is the current leader of Scientology. He’s the equivalent of the Pope to the Catholics.
*Out-ethics: any behavior that violates any of Hubbard’s rules of conduct.
*Put ethics in on someone else: make others conform to Hubbard’s rules of behavior.
*Criminon: Scientology front group that tries to recruit through the prisons.
* SP: Suppressive Person. Anyone that doesn’t like Scientology and/or criticizes Scientology.
*PTS/SP: another Hubbard term to define behavior that goes against Scientology rules.
*LRH technology or ‘tech’: all the Scientology policies, rules, mandates, procedures. (more) (less)
When you tried to view this reposted video you see:
“This video is no longer available due to a copyright claim by Church of Scientology International”
You can watch the original uncut 9:34 min. video HERE
If you can find this secret video before it is removed again see the Factnet.org home page soon for the most current locations that we can find for this most popular must see video. For more information on Tom Cruise and Scientology see the links below:
*HERE ARE A FEW OF THE LATEST LINK LOCATIONS, THEY MOST LIKELY WONT BE THERE LONG SO GO TO THE FACTNet HOME PAGE AND WATCH FOR MORE LINK LOCATIONS AS CRUISE AND SCIENTOLOGY KNOCK DOWN NEW LOCATIONS IN A FUTILE GAME OF WACK-A-MOLE:
This editorial/opinion/news alert has been provided or distributed by FACTNet, Inc. (Fight Against Coercive Tactics Network.) Re-distribution and re-posting of this document using proper net etiquette when doing so, is appreciated! Factnet is the largest online news and referral service as well as research archive for defending freedom of thought and mind from all forms of unethical influence tactics, mind control and mental coercion/torture used in destructive cults and fundamentalist groups. Since 1993 millions have been helped. FACTNet is a tax deductible, IRS Approved 501(c)(3) non profit organization.
For breaking news, personal stories, recovery information, support groups, expert referrals, message boards, newsletters and books relating to destructive cults and fundamentalism, mind control, mental coercion and unethical psychological influence, please visit our web site at http://www.factnet.org If you would like to view over 350,000 postings on various cults, comment on this editorial/opinion/news or to share your personal experiences, go to one of our many various message boards at http://www.factnet.org/cgi-bin/discus/discus.cgi F.A.C.T.Net, Inc. PO Box 1315 , Ignacio, CO. 81137 USA, E-mail: manage@factnet.org
Here's some background. On the TV show "Trading Spouses", the producers take 2 different families form different walks of life, and for a week, the mothers swap homes and live with the other. The goal is to expose both sides to differences and hopefully get them to appreciate what they have. The mixes can be "socialite family to harlem bronx family", or "Rich family to welfare only", etc... Each family then gets $50,000 and the other person writes a letter saying how they SUGGEST the money gets allocated, based on what they see.
Well this episode they took a Pagan family and a Fundamentalist Christian family. The pagan woman was well received by the Christian's home and overall theyr family liked her...thought she was strange, but liked her. The Christian woman however was convinced that she had entered God's testing ground and basically was a nut, convinced that she was God's warrior and that she HAD to convery this heathenestic family, had the most closed mind ever, and totally lost it, clutching to her Bible crying almost every day. It was a funny 2 shows!
The clip here is after the week was over, and the Christian mother is returning to her family. As you can see, she is mentally unbalanced...there is no other word for it. Remember her family LIKED the pagan woman, as did her kid. See the terror in their eyes as this woman flips out in front of her OWN family!
Trading Spouses - Crazy Lady - "I'm a God warrior"
Il est clair que Martin Luther King fut assassiné parce qu'il était un ennemi de l'état. Comment cela est-il possible? Il disait la vérité sur les valeurs meurtrières de la classe dirigeante durant la guerre du Vietnam. Il nuisait aux intérêts privés et à la machine de guerre. La vérité est le pire ennemi d'état et des magouilleurs, car elle lève le voile qui couvre les yeux des populaces. Il est clair qu'il y a eu trafficage et manipulation et que la lumière n'a pas été fait sur l'identité des vrais tueurs, ceux qui ont payé et qui ont exécuté M. King.
Voici des pièces d'information qui risquent de vous aider à mieux comprendre ces événements. Et surtout, écoutez le speech qu'il a prononcé et qui semble être évité dans les médias de masse. J'imagine que c'est trop actuel encore comme message...
Yet you won't see this speech on US television, nor will you hear it even referred to...even on Martin Luther King Day, a national holiday in the United States.
More information about the political assassinations of the 1960s:
Just moments after Dr. Martin Luther King was killed by a sniper's bullet, a photographer took the above picture. Dr. King lies on the balcony floor. The witnesses are all pointing in the direction the fatal shot was fired from. There is no confusion among the witnesses as to where the source of the shot was. They are not confused by echoes. There is no uncertainty. All three witnesses are pointing in exactly the same direction.
The official story is that these men are pointing at the bathroom window in the rear of the rooming house from which James Earl Ray is supposed to have fired a gunshot.
But is that where the witnesses are pointing?
As part of the research, Ted Wilburn went back to the Lorraine Motel, to the very spot where Martin Luther King was shot, and took a photograph of the crime scene location that shows a great deal of the surroundings.
Indicated at left is the actual window of the rooming house from which the government maintains that James Earl Ray shot Martin Luther King.
A line has been drawn from the rooming house window back to the balcony on which the pointing witnesses were photographed. Note the end of the line near the fire extinguisher and the intersection of the line with the top of the pale blue door.
Using the fire extinguisher and the top of the door as landmarks, a line is drawn on a detail of the photo taken just moment after the shooting, indicating the direction back to the window of the rooming house.
As can be seen, NONE of the witnesses are pointing towards the window of the rooming house at 422 South Main Street!
(CNN) -- Markings on some of the test bullets fired from the rifle believed used in the killing of Martin Luther King Jr. do not match the markings on the bullet that killed King, according to an affidavit filed by confessed killer James Earl Ray's attorneys.
The results of bullet tests, conducted in May, were read in court by Judge Joseph Brown .
Lawyers for Ray, who sought the tests in a bid to prove his innocence, are asking Brown to approve additional tests on Ray's .30-06 hunting rifle .
"A comparison was conducted of the bullet material removed from Dr. King with the 12 test bullets that could be adequately analyzed," Brown said, reading from a report on the test firings.
"This comparison revealed that the gross and unique characteristic signature left on the 12 test bullets by the James Earl Ray rifle was not present on the death bullet."
Following this revelation, the FBI stonewalled further tests until James Earl Ray died in prison of a medical problem that would have been curable had he been released. Once James Earl Ray was dead the courts declared that nobody else had standing to pursue the matter of the ballistics evidence that would have exonerated his memory, and the full ballistics tests were never done.
Que gère, croyez-vous, le ministre des Ressources naturelles du Canada, Garry Lunn ? Les Ressources du pays ? Non. Loin de là. Garry Lunn gère les crises qu’il crée et les conflits qu’il génère. S’il trouve de la place pour les ressources naturelles, cela n’aura été qu’accidentel.
Les conservateurs de Stephen Harper ont pour vilaine habitude d’allumer ainsi des incendies au sein de la Fonction publique et de se plaindre, par la suite, du peu de loyauté de ses fonctionnaires. Le cynisme, l’arrogance, un manque flagrant de discernement caractérisent d’emblée les conservateurs de Stephen Harper au pouvoir, certes, mais au sein d’un gouvernement minoritaire. Pour reprendre l’analyse de Bernard Descôteaux, du Devoir : « Minoritaire, le gouvernement Harper a plutôt décidé d’affronter ses fonctionnaires en leur disant clairement qu’à la première occasion, ils seront écartés, limogés ou démis. C’est le message nullement équivoque qui se trouve dans la lettre du ministre des Ressources naturelles, Garry Lunn, à la présidente de la Commission canadienne de sécurité nucléaire (CCSN), Linda Keen ».
Dans le dossier du réacteur de Chalk River, le gouvernement Harper a dissimulé à la population, et au Parlement, la vérité. Il n’a présenté que sa vérité. Si ce n’est pas un mensonge, c’est quoi ? « Pendant 17 mois, Énergie atomique du Canada (EAC) a exploité le réacteur nucléaire de Chalk River en totale contravention avec son permis d’exploitation, qui exigeait des améliorations à la sécurité. EAC a négligé d’effectuer d’importants travaux de rénovation, dont le branchement sur des systèmes d’alimentation d’urgence de deux pompes servant au refroidissement du réacteur. Toute une négligence ! » (Le Soleil). Le gouvernement Harper avait été prévenu bien longtemps, d’avance, par la vérificatrice générale du Canada. Ce qu’il a caché à la population canadienne et au Parlement. Malgré les demandes de congédiement qui fusent de toutes parts, M. Harper se dit satisfait du travail accompli par M. Lunn et l’ensemble de son gouvernement.
Aujourd’hui, le ministre Lunn reproche à Mme Keen de ne pas avoir permis la remise en activité du réacteur nucléaire de Chalk River, dont nous avons parlé sur centpapiers, nécessaire à la santé des Canadiens. « Ces événements font planer un doute sur la question de savoir si vous possédez le bon jugement fondamental requis pour occuper le poste de présidente de la Commission et si vous vous acquittez diligemment de vos obligations, écrit-il. On peut se poser de sérieuses questions quant à savoir si la Commission, sous votre gouverne, n’aurait pas pu gérer de manière plus appropriée les risques associés à cette situation » (Le Devoir).
Dans une lettre adressée à la mi-décembre aux ministres Clement et Lunn, madame Linda Keen précisait que : « le cas de non-conformité vise les deux pompes d’eau lourde qui ne sont pas connectées à une alimentation d’urgence afin d’éviter une défaillance du combustible, ce qui pourrait entraîner des rejets radioactifs dans l’environnement ». La présidente de l’organisme avertissait que : « les deux pompes de secours, incluses dans le dossier de sûreté original, sont essentielles et nécessaires, conformément aux normes actuelles de l’industrie et aux évaluations de tolérance des risques. […] Ces pompes ne sont pas seulement en place pour parer aux secousses sismiques, mais pour contrer toutes les menaces de référence externes ».
En réponse, le ministre lance des accusations qui se révèleront sans fondement : « la Commission n’a pas su « prévenir des risques déraisonnables à la santé des Canadiens [privés d’isotopes] », ce qui « mine potentiellement la confiance publique envers le processus réglementaire de l’industrie nucléaire ». Madame Keen réagit vivement à ces attaques perfides du ministre dans une lettre de huit pages : « J’étais et suis encore profondément troublée par le ton et le contenu de votre lettre. La nature des allégations faites, combinée avec la menace de me déloger en tant que présidente, menace sérieusement l’indépendance de la CCSN. La manière avec laquelle vous abordez ces questions [...] met en lumière votre incompréhension profonde de la relation devant exister entre vous, en tant que ministre des Ressources naturelles, et la CCSN ». Mme Keen a été nommée à son poste en 2001, et elle en est à son deuxième mandat de cinq ans.
Il convient de rappeler qu’en décembre, le gouvernement Harper, avec l’appui des trois partis d’opposition, a fait adopter une loi pour ordonner la réouverture du réacteur nucléaire de Chalk River, vieux de 50 ans, contournant ainsi la Commission de sûreté nucléaire, qui estimait qu’un système auxiliaire de sécurité devait être installé d’abord pour éliminer le mince risque de fusion du cœur du réacteur en cas de tremblement de terre ou d’autre désastre. Les politiciens jugeaient plutôt qu’il fallait absolument reprendre la production de radio-isotopes utilisés en médecine.
La presse canadienne réagit vivement à ces attaques. Pour le Toronto Star, Mme Keen n’a fait que son travail : « Ce que Lunn a démontré, c’est qu’il est prêt à exercer une ingérence politique inappropriée sur un organisme réglementaire et à punir sa dirigeante pour lui avoir tenu tête ». On pouvait craindre, note le Globe & Mail, que les conservateurs tentent de faire porter le blâme à Mme Keen et la lettre du ministre Lunn est venue confirmer ces doutes. Au Soleil, les mots sont durs pour qualifier le comportement du ministre Lunn : « S’il était honnête et lucide, il conclurait que c’est lui qui devrait démissionner — si tant est que quelqu’un doit encore payer pour la fermeture temporaire du réacteur nucléaire de Chalk River, survenue l’automne dernier ». Jean-Marc Salvet écrit : « Gary Lunn s’est lancé dans une indigne chasse aux sorcières contre la présidente de la Commission canadienne de la sûreté nucléaire, Linda Keen. […]Dans cette histoire, Linda Keen a parfaitement assumé ses fonctions ».
Pour arriver à ses fins, le gouvernement conservateur de Stephen Harper recourt maintenant aux méthodes de Georges W. Bush : le mensonge par abstention. Ni monsieur Harper ni le ministre Lunn n’ont dévoilé à la population canadienne qu’ils avaient été informés par la vérificatrice générale, madame Sheila Fraser, dans cette lettre, datée du 20 décembre dernier. Mme Fraser faisait savoir au porte-parole libéral pour les ressources naturelles, Omar Alghabra, qu’elle avait déjà effectué un examen, et qu’elle en avait remis les conclusions à la société d’État au début du mois de septembre. Mme Fraser laissait également entendre que, sans y être obligée, Énergie Atomique Canada Limitée (EACL) aurait dû rendre le rapport public. « La majorité des sociétés d’État affichent ces rapports sur leur site Internet », écrivait-elle.
Donc, en résumé, la vérificatrice générale du Canada, Sheila Fraser, avait informé le ministre conservateur des Ressources naturelles, dès la fin de l’été, que le réacteur nucléaire de Chalk River était mal géré et que cela pouvait compromettre l’approvisionnement en isotopes médicaux, pénurie survenue en décembre dernier. C’est cette pénurie que le gouvernement Harper tente d’en faire porter l’odieux à un tiers. « Nous avons relevé une lacune importante liée au risque qu’EACL ne soit pas en mesure de résoudre trois questions stratégiques, [notamment] l’achèvement de l’installation de production d’isotopes et l’obtention des permis nécessaires », est-il écrit dans ce rapport de la vérificatrice générale consulté par Le Devoir.
Pourquoi le gouvernement Harper, qui a sciemment dissimulé la teneur de ce rapport, s’acharne-t-il avec autant d’insistance sur la présidente de la Commission canadienne de sécurité nucléaire (CCSN), Linda Keen ? Pour éviter d’examiner de plus près le travail bâclé d’Énergie Atomique Canada Limitée. Le dirigeant d’EACL, Michael Burns, a été un militant allianciste puis conservateur, les familles politiques de Stephen Harper. Il a notamment dirigé le Fonds de l’Alliance canadienne, a été le trésorier national de ce parti et a été un bailleur de fonds du Parti conservateur en Colombie-Britannique. Sa démission avait discrètement été annoncée le vendredi 14 décembre, en soirée, quelques jours après l’adoption d’une loi d’urgence par le Parlement pour faire redémarrer le réacteur nucléaire malgré sa non-conformité aux normes de sécurité (Le Devoir).
« M. Lunn aurait dû savoir en septembre dernier que les problèmes au réacteur nucléaire de Chalk River étaient suffisamment sérieux pour que des précautions soient prises afin d’atténuer la crise des isotopes médicaux », a déclaré le porte-parole du Parti libéral dans le dossier, Omar Alghabra. Il n’a rien fait avant que les médias ne s’emparent de la nouvelle. La présidente de la Commission canadienne de sûreté nucléaire, Linda Keen, avertit le gouvernement Harper qu’elle ne se laissera pas congédier facilement et qu’elle ira même devant les tribunaux s’il le faut pour réitérer l’indépendance de son organisme et de son poste. Elle est parfaitement dans son droit puisqu’elle a fort bien exécuté les responsabilités que lui a confiées le gouvernement du Canada. Et la vérité triomphera sur les mensonges du gouvernement Harper.
(Sources : Le Devoir, Cyberpresse, Presse canadienne)
Pour télécharger, faite un clique droit puis “enregistrer la cible sous…”
*****17 janvier 2008: Émission spéciale avec un invité de marque : on va avoir le Professeur Michel Chossudovsky en entrevue téléphonique au sujet de la situation explosive au Pakistan et sur l’affaire de l’assassinat de Benazir Bhutto. On va chercher à comprendre à qui profite la déstabilisation du Pakistan, et du reste du Moyen-Orient.
Le 21 Novembre 2007, MichelChossudovsky a donné une condérence à l'Université de Sherbrooke intitulé l'empire Américain et la guerre à la ...all »terreur. M. Chossudovsky, pendant son discours a dit: la compréhension par le mouvement anti-guerre du mensonge qu'est le 11 septembre est très important. Pendant la période de questions, Mtl911truth.org lui a demandé d'élaborer sur cette idées et de commenter sur le mouvement de la vérité du 11 septembre.
In this lecture by MichelChossudovsky, he blows away the smokescreen put up by the mainstream media, that 9/11 was an attack on America by ...all »"Islamic terrorists". Through meticulous research, he has uncovered a military-intelligence ploy behind the September 11 attacks, and the cover-up and complicity of key members of the Bush Administration.
According to Chossudovsky, the "war on terrorism" is a complete fabrication based on the illusion that one man, Osama bin Laden, outwitted the $40 billion-a-year American intelligence apparatus. The "war on terrorism" is a war of conquest. Globalisation is the final march to the "New World Order", dominated by Wall Street and the U.S. military-industrial complex.
September 11, 2001 provides a justification for waging a war without borders. Washington's agenda consists in extending the frontiers of the American Empire to facilitate complete U.S. corporate control, while installing within America the institutions of the Homeland Security State.
A keynote speech from MichelChossudovsky from an anti-war rally held in Winnipeg on Oct. 28, 2006. Included in the topics are Canada's ...all »participation in the war in Afghanistan, 9/11, Canada and American military integration, and the American war on terror.
The Long War. From the Truman Doctrine to the Neo-Conservatives.
The Implications of the US Military Agenda
MichelChossudovsky's ...Address at the Opening Session, Perdana Global Peace Forum to Criminalize War, Kuala Lumpur, 5-7 February 2007
MichelChossudovsky is the author of the international best America’s "War on Terrorism" Second Edition, Global Research, 2005. He is Professor of Economics at the University of Ottawa and Director of the Center for Research on Globalization.
Weather Modification with new technology Weather Control As A Weapon
For many, weather control suggests the ability always to have pleasant weather and to avoid serious storms or long droughts. Due to the frequency destructive storms, hurricanes and the consequent floods, or to their total absence and consequent droughts, such people assume that weather control has not been mastered and therefore is not being used. This naive view assumes that weather would always be controlled for the good of humanity.
Human nature seems to dictate otherwise. The discovery of any new power is considered to confer a military advantage, and therefore its very existence is kept secret for as long as possible. While the general public is being told that all phenomena, including some highly anomalous ones inexplicable by natural forces, are "Mother Nature" at work, various military and even private agencies have been flexing their technological muscles and playing havoc with the weather.
Although the American military has actually published a detailed document "Owning the Weather by 2025", many people will simply say "I don't believe it" when confronted with this. Why? They may say because it has not been reported in the mass media, it must not be real. (Some others will say this is a prime indication that it is real, because most of what the mass media publishes is fantasy.) But normally any military power must be kept secret, and the major media outlets are well aware that they must not cross this line or they could be shut down. Freedom of the press is allowable only if "national security" policies are not breached.
Some apologists attempt to argue away the frightening contents of this policy document by focusing on the disclaimer that it represents only possible future scenarios and should not be taken to be factual: "2025 is a study designed to comply with a directive from the chief of staff of the Air Force to examine the concepts, capabilities, and technologies the United States will require to remain the dominant air and space force in the future. Presented on 17 June 1996, this report was produced in the Department of Defense school environment of academic freedom and in the interest of advancing concepts related to national defense. The views expressed in this report are those of the authors and do not reflect the official policy or position of the United States Air Force, Department of Defense, or the United States government. This report contains fictional representations of future situations/scenarios." Emphasis included in original. (Ref.)
But such theoretical reports have a tendency to be implemented behind the scenes, even while being denied in public. In his article The Ultimate Weapon of Mass Destruction: "Owning the Weather" for Military Use, professor and independent analyst Michel Chossudovsky cites other official documents to arrive at his conclusions that weaponized weather control is already in use. He also explores how public opinion is being misled. At the time this was written, the UN was avoiding dealing with the issue of deliberate human-caused climate change. (Ref.)
More recently, the UN has showed more concern about weather and climate change. In July of 2004, they granted official advisory status to the Planetary Association for Clean Energy (PACE), which served as "NGO in Special Consultative Status with Economic and Social Council of the United Nations". PACE members with scientific expertise have been doing analysis and opinion concerning the overriding nature of the climate-change issue.
Information, sources et liens pour compléter ce qui a été discuté sur l'émission du 17 janvier 2008:
The assassination of Benazir Bhutto has created conditions which contribute to the ongoing destabilization and fragmentation of Pakistan as a Nation.
The process of US sponsored "regime change", which normally consists in the re-formation of a fresh proxy government under new leaders has been broken. Discredited in the eyes of Pakistani public opinion, General Pervez Musharaf cannot remain in the seat of political power. But at the same time, the fake elections supported by the "international community" scheduled for January 2008, even if they were to be carried out, would not be accepted as legitimate, thereby creating a political impasse.
There are indications that the assassination of Benazir Bhutto was anticipated by US officials:
"It has been known for months that the Bush-Cheney administration and its allies have been maneuvering to strengthen their political control of Pakistan, paving the way for the expansion and deepening of the “war on terrorism” across the region.
Various American destabilization plans, known for months by officials and analysts, proposed the toppling of Pakistan's military...
The assassination of Bhutto appears to have been anticipated. There were even reports of “chatter” among US officials about the possible assassinations of either Pervez Musharraf or Benazir Bhutto, well before the actual attempts took place. (Larry Chin, Global Research, 29 December 2007)
The arrival of the Marines could free up more than 1,000 U.S. Army troops who have been on loan to NATO in the south. Those soldiers could return to Eastern Afghanistan, where U.S. forces have the lead responsibility. That could help solidify security gains in the east, and also get better control of that part of the Afghanistan-Pakistan border.
Notice the interest in the Afgthanistan/Pakistan border area.
One has to wonder just how involved with operations inside Pakistan these thousand troops just might become.
In the wake of the assassination of Benazir Bhutto, a 'surge' of US Special Forces for Pakistan's remote tribal lands is unlikely to face heavy opposition from President Musharraf, who will be busy trying to stop his own name, and that of his political party, from being linked with Bhutto's assassins.
"Iran did it! Iran did it!" -- Official White Horse Souse
(Ahem)
The timing of the announcement of US troops going into Pakistan and the assassination of Bhutto strike me as more than mere coincidence.
Like FEMA in New York on 9/10/01, or the BATF's top truck bomb expert from Nevada just coincidentally being 1 block from the Murrah Building when it was bombed with a truck bomb, yesterday's announcement of US troops headed for Pakistan telegraphs that Bush knew what Musharraf was going to do.
All things have come full circle in the mountains of Pakistan. The “great game” has been played-out. The cycle of death which we unleashed upon the world there, bringing the war on terrorism home to us, now draws us inexorably into the vacuum of its violent ending. The convulsions now wracking that country threaten to become a revolutionary explosion capable of bringing down the foundations of the world.
The rapidly building democratic-revolution is now entering the “critical mass” stage. Its expansion is accelerating beyond human control. The assassination of Benazir Bhutto was a calculated risk, intended to derail democracy in Pakistan because Islamic extremists were making the democratic transition from militias into political parties. For this reason, it is unlikely that she was assassinated by real Islamists, true Taliban. It is more likely that the hit on Bhutto was connected to the Administration’s getting the “green light” (the day before the attack), to move large numbers of Special Forces “trainers” into the tribal regions.
Even though Bhutto was allegedly stirring the cauldron, “...demanding after returning to Pakistan that the ISI be restructured; and in a press conference during her house arrest in Lahore in November she went as far as asking Pakistan army officers to revolt against the army chief,” http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=7709 recent revelations by various neocon-men points to a covert US plan to eliminate her.
"A large number of ISI agents who are responsible for helping the Taliban and al-Qaeda should be thrown in jail or killed. What I think we should do in Pakistan is a parallel version of what Iran has run against us in Iraq: giving money [and] empowering actors. Some of this will involve working with some shady characters, but the alternative - sending US forces into Pakistan for a sustained bombing campaign - is worse," Steve Schippert was quoted as saying a November 2007 issue of Weekly Standard. (1. Steve Schippert | November 28, 2007 at 12:39 am “For what it’s worth, the author attributed a comment to me that I did not make in the Weekly Standard article. While I ascribe fully to what the unnamed intelligence source who actually said it did in fact say, they are not my words.”) click here
President Pervez Musharraf warned that U.S. troops would be regarded as invaders if they crossed into Pakistan's border region with Afghanistan in the hunt for al-Qaida or Taliban militants, according to an interview published Friday.
Beginning early next year, U.S. Special Forces are expected to vastly expand their presence in Pakistan, as part of an effort to train and support indigenous counter-insurgency forces and clandestine counterterrorism units, according to defense officials involved with the planning.
One has to wonder just how soon this deployment of US Special Forces will happen, and precisely where they will be deployed. If you look at a map of Pakistan, you can see that it borders not only Afghanistan, but Iran, on its southwestern border.
A US presence on that border would open up another possible front in any attack on Iran.
The Pakistani military reacted angrily Sunday to reports that US President George W. Bush is considering covert military operations in the country's volatile tribal areas bordering Afghanistan.
"It is not up to the US administration, it is Pakistan's government who is responsible for this country," chief military spokesman Major General Waheed Arshad told AFP.
It's interesting that Major General Arshad is making this statement, when the following was reported in the New York Times last month:
"According to Pentagon sources, reaching a different agreement with Pakistan became a priority for the new head of the U.S. Special Operations Command, Adm. Eric T. Olson. Olson visited Pakistan in August, November and again this month, meeting with Pakistani President Pervez Musharraf, Pakistani Joint Chiefs of Staff Committee Chairman Gen. Tariq Majid and Lt. Gen. Muhammad Masood Aslam, commander of the military and paramilitary troops in northwest Pakistan. Olson also visited the headquarters of the Frontier Corps, a separate paramilitary force recruited from Pakistan's border tribes.
Now, a new agreement, reported when it was still being negotiated last month, has been finalized. And the first U.S. personnel could be on the ground in Pakistan by early in the new year, according to Pentagon sources."
Perhaps these statements from Major General Arshad are for domestic Pakistani consumption only.
US special forces snatch squads are on standby to seize or disable Pakistan's nuclear arsenal in the event of a collapse of government authority or the outbreak of civil war following the assassination of Benazir Bhutto.
Lockheed Martin Corp LMT.N> was awarded a $498.2 million contract to supply F-16 aircraft to Pakistan, the Pentagon said on Monday, as Pakistani officials mulled whether to go ahead with a January 8 election after the assassination of opposition leader Benazir Bhutto.
Under the current situation in Pakistan, one has to wonder if the members of the US State Department are collectively out of their minds to let this deal go through.
The only other possibility is that they know that no matter who runs against Musharraf (whenever Pakistan actually holds its next "election"), that the vote will be rigged in such a way that he cannot lose.
What they appear to be forgetting, however, is the old saw that when peaceful revolution is impossible, violent revolution is inevitable.
Pakistani authorities have pressured the medical personnel who tried to save Benazir Bhutto's life to remain silent about what happened in her final hour and have removed records of her treatment from the facility, according to doctors.
U.S. intelligence officials and diplomats increasingly believe former Pakistani Prime Minister Benazir Bhutto died from a gunshot wound, placing Washington at odds with Islamabad over the cause of her death.
This was Pakistan’s 9/11; Pakistan’s JFK assassination, and its impact will resonate for years.
Contrary to mainstream corporate news reporting, chaos benefits Bush-Cheney’s “war on terrorism”. Calls for “increased worldwide security” will pave the way for a muscular US reaction, US-led force and other forms of “crack down” from Bush-Cheney across the region. In other words, the assassination helps ensure that the US will not only never leave, but also increase its presence.
The reason why Musharraf's government wants the shooting of Bhutto story to just go away.
The Pakistani police seem to have the gun used to kill Bhutto now in their custody.
(The day of the shooting and bomb blast I saw a hand gun on top of a piece of fabric that had been found at the scene of the crime. This black 9mm hand gun was on top of a piece of cloth near the side of the street in the blast area. I have tried to relocate that photo that was captioned - "After the shooting and blast a few hand guns were located in the crime/blast area." I have been unable to find that same photo again, it may have been taken down.)
Now it appears the black 9mm I saw in the photo, the gun seen in the videos, and the gun in the custody of the police are all the same 9mm black handgun.
Now guess who uses the Steyr M 9X19mm handgun exclusively - the Pakistani army - special forces division.
That may be the reason why Musharraf just wants the whole incident of Bhutto's assassination to just disappear and go away. Because the gun used was issued to a member of the Generalissimo's military.
The walk-through metal detecting gates installed at the venue of former premier Benazir Bhutto's last election rally in Rawalpindi had stopped working shortly before she was assassinated due to a power cut, a top police officer has said.
The police chief of the Pakistani city of Rawalpindi prevented doctors from performing an autopsy on the corpse of former Pakistani prime minister Benazir Bhutto, according to a lawyer on the hospital's board.
The dramatic new revelation emerged as new videotape showed a gunman in close proximity to Bhutto in the moments before her assassination, and a surgeon said he'd felt pressure to conform to the government's official story on Bhutto's killing.
If the police and Pakistani security apparatus had absolutely no complicity in Bhutto's assassination, why did they prevent the autopsy, which is required under Pakistani law?
She referred to reports that foreign troops would be sent to help fight resurgent Taliban and al Qaida in the area bordering Afghanistan.
"Why should foreign troops come in? We can take care of this, I can take care of this, you can take care of this," she said.
In her last speech before her assassination, Bhutto signaled that she didn't want foreign troops (read: US forces currently stationed in Afghanistan) inside her country to battle Pakistan's internal problems with violence.
It is very doubtful, then, that she would have had any stomach for the kind of agreement, as had already brokered in Islamabad and Washington, for the US to provide Special Service forces to fight on the Pakistani side of the Afghani-Pakistani border.
The Likely motive behind Bhutto's assassination: to move US troops into Pakistan in order to gain control of their nukes and to leave Israeli and the US in control of Central Asia and Mid-East – and as a stage, or step, building up to a War of Aggression Against Iran. It is the old Empire game of "divide and conquer."
When a news organization as venerable as the BBC censors the reportage of a story as important as the assassination of Benzir Bhutto --a highly visible critic of Bush/British policy with regard to the "War on Terrorism" et al --it is fair to ask: who is the BBC protecting? Are they covering up the motive for her murder? Are they protecting the regimes that engineered her assassination?
"The government comes up with the most bizarre, dangerous nonsense and it indicates that they are abdicating themselves of all responsibility by saying that she may have knocked her head or concussed her head against one of the levers on the sunroof," Rehman said.
The X-ray shows two "fractures". Two? From a sunroof handle? Also, this X-ray does not seem to show the inside of the skull, where we might see fragments. It's as if he X-ray was underexposed.
The audio was posted to a Web site (ah, just have to love that everyone is spied on for suspected terror chatting, while al Qaeda apparently has a Web site from which to issue threats and can do so freely... how modern for them).
The authenticity of the the tape cannot be confirmed by government officials, by the way. Yet despite the delivery mechanism and the inability to confirm, this story runs as news anyway. That is at best negligent journalism.
The Pakistani government has released a video which shows Benazir Bhutto just moments before the former prime minister was killed Thursday as she left a public rally in Rawalpindi. In the video you can see and hear the gun that is reportedly fired at Bhutto before the explosion.
After signing a condolence book for Bhutto at the Pakistani Embassy in Washington, Rice said the United States is in contact with "all" of the parties in Pakistan and stressed that the Jan. 8 elections should not be postponed. "Obviously, it's just very important that the democratic process go forward," she told reporters.
I suppose we are supposed to thank policy makers in Washington for their magnificent grasp of the obvious.
And would some responsible being in this administration please keep Secretary Rice from putting her foot so deeply in her mouth and down her throat that she's tap-dancing on her tonsils in public?
How can this woman say, with a straight face, that the ".....Jan. 8 elections should not be postponed." Memo to Secretary Rice: a major Pakistani political figure has been assassinated!!!
It is as though this reality has absolutely no ramifications for Rice, which is breath-takingly terrifying, for a person in her position.
Benazir Bhutto paid the ultimate price for having learned and stating that the US imperial policy of propping up tin horn dictators is the very root cause of world terrorism. She dared to say so.
Authorities had said on Thursday that she died from bullet fired by a young man who then blew himself up, killing 20 other people. A surgeon who treated her said Friday she died from the impact of shrapnel on her skull.
But later Friday, Interior Ministry spokesman Javed Iqbal Cheema said all three shots missed her as she greeted supporters through the sunroof of her vehicle, which was bulletproof and bombproof.
Benazir Bhutto was shot in the head, a close aide who prepared her body for burial said on Saturday, dismissing as "ludicrous" a government theory that she died after hitting her head on a sunroof during the suicide attack.
Firefighters at the scene of Bhutto's assassination washed away any hopes for an investigation when they blasted the scene of the crime with fire hoses. Any forensic evidence that was left would have been destroyed, the bullet shells washed away, the blood washed away, the tire marks washed away, all crucial evidence in gaining a lead on who was responsible for the attack.
When there was an attempt on Musharraf's life there was a thorough and detailed investigation, with the scene of the crime cordoned off for detailed examination.
In an email to Mark Siegel, her long time friend and spokesperson inside the United States she privately confessed that she thought that Musharraf was responsible for the first attempt on her life in October (a bomb blast killing 140 people). Siegel gave the email to Wolf Blitzer of CNN and told him to only report on it if Bhutto was assassinated. The email (from Bhutto to Mark Siegel) reads as follows,
"I wld [sic] hold Musharaf [sic] responsible. I have been made to feel insecure by his minions, and there is no way what is happening in terms of stopping me from taking private cars or using tinted windows or giving jammers or four police mobiles to cover all sides cld [sic] happen without him."
Bringing Scotland Yard in - after the area in which Bhutto was assassinated has been washed clean of evidence - is yet another attempt to make it appear as though they had nothing to do with her death.
However, Musharraf's refusal to allow the SY team to question those people members of government and intelligence Bhutto had previously accused of plotting to kill her telegraphs to the world that this is just another set of cover-ups and deceptions surrounding Bhutto's death.
Although the Pakistani government officially claims that Bhutto died from hitting her head on the sunroof as she ducked into her car, evidence in the video drastically contradicts that account.
The day she was assassinated last Thursday, Benazir Bhutto had planned to reveal new evidence alleging the involvement of Pakistan's intelligence agencies in rigging the country's upcoming elections, an aide said Monday.
Police abandoned their security posts shortly before Pakistani opposition leader Benazir Bhutto's assassination Thursday, according to a journalist present at the time, and unanswerable questions remain about the cause of her death, because an autopsy was never performed.
According to the UK Telegraph, "paramilitary rangers were given the authority to use live rounds to stop rioters from damaging property in southern Pakistan."
"We have orders to shoot on sight," Major Asad Ali, the rangers' spokesman, told the paper.
One wonders just how long before Musharraf again throws Pakistan into yet another "State of Emergency".
Two months before her death, former Pakistani Prime Minister Benazir Bhutto sent an e-mail to her U.S. adviser and longtime friend, saying that if she were killed, Pakistani President Pervez Musharraf would bear some of the blame.
The assassination of Bhutto leaves the U.S. without a viable West-aligned, moderate and democratic leader committed to continuing America’s war against terror in Pakistan. The U.S. administration again finds itself in a situation where seemingly it has no option but to rely on Musharraf.
Former Pakistani Prime Minister Benazir Bhutto, 54, was shot at and killed by at least two snipers before a suicide bomb attack on the periphery of her carcade.
Police confirmed that the snipers fired five bullets from AK-47 assault rifles. Two of the bullets hit Benazir in the neck, while a third hit her forehead. No one was near her car when the shots were fired at her.
Whenever turmoil is created in our world, such as assassination and bombing, and the neocons rush to point the finger of blame at ‘al Qaeda’ or some other associated ‘terror’ organisation, one can be reasonably sure that what the world has witnessed is yet another false flag operation perpetrated by a group or groups that have some ulterior, political, or even pecuniary motive or motives for creating such turmoil. And such is the case with the assassination yesterday of Pakistani politician Benazir Bhutto.
Who benefits from the murder of Benazir Bhutto? Bhutto herself told CNN's Wolf Blitzer that if she were assassinated she would hold Pervez Musharraf "responsible". Certainly, the prospects for elections are dead. Pakistan will remain stuck with Musharraf and his de facto military dictatorship. Bush's ally still wields dictatorial powers. The big winners: Bush and Musharraf, for different reasons.
Who but Musharraf has benefited from Bhutto's murder? At the very least there are new concerns about the stability of Pakistan. American military officials have already said that some $5 billion Bush has thrown at the dictator under the cover of a war on terrorism has had no effect on either Al Qaeda or the Taliban.
Bush support of Musharraf has already been compared to his administrations ham fisted response to Katrina. Musharraf was the lynchpin of Bush's War on Terror, indeed, US foreign policy under Bush. Always simplistic, Bush threw money at Musharif in hopes the "evil doers" would volunteer to be tortured. Terrorism is the perfect cover to steal oil and territory while squandering tax payer monies propping tin horn dictators.
Bush policy is the geo-political version of three-card monte: pay off Musharraf in hopes that he will cheat the "mark". Certainly, the once-uniformed Dictator went through all the motions, pretending to fight al Qaeda while spending the money on new weapons trained on India. Nevertheless, Bush now has the pretext he needs to pressure Musharraf whom Bhutto, in death, holds responsible.
Last month President Bush told Gen. Pervez Musharraf of Pakistan that he must be more aggressive in hunting down al-Qaeda and the Taliban along his country's border with Afghanistan. During his recent visit to Islamabad, Vice President Cheney echoed the claim that al-Qaeda members were training in Pakistan's tribal areas and called on Musharraf to shut down their operations. British Foreign Secretary Margaret Beckett also expressed concern recently about suspected terrorist safe havens.
Clearly, the pressure is on. Western leaders are finally beginning to recognize that Musharraf's regime has been unsuccessful in taming the Taliban, which has regrouped in the tribal areas of Pakistan while the military regime has given up trying to establish order on the Afghan border. At the same time, the regime has strategically chosen to help the United States when international criticism of the terrorists' presence becomes strident. The arrest of Mullah Obaidullah Akhund, a top Taliban strategist, by Pakistani authorities late last month is a case in point. The timing, right on the heels of American and British pleas for renewed toughness, is too convenient. Akhund was arrested solely to keep Western governments at bay.
There is little doubt that Musharraf failed to provide Bhutto with adequate security. Significantly, both Raw Story and the Washington Post are now warning that Bhutto's murder has raised the specter of nuclear apocalypse.
WASHINGTON, DC (December 27, 2007) — US Congressman Dennis J. Kucinich (D-OH) issued the following statement after learning of the death of former Pakistani Prime Minister Benazir Bhutto. Bhutto was killed in Rawalpindi, Pakistan in a suicide attack following a campaign rally.
“This is a very dangerous moment for the world,” Kucinich said.
“Benazir Bhutto represented a courageous effort to bring principles of liberty to Pakistan. She was truly dedicated to the people of Pakistan.
“The United States must change its policy direction in the region. It must stop adding fuel to the fire.”
Assassinations are carried out because they provoke anger and recriminations. Therefore, don't expect this assassination to result in trials or justice. As the murder of JFK in our own country demonstrated: assassins are almost never brought to trial because they are state sponsored. That's been the case for thousands of years. Nevertheless, finger pointers are simply playing out the role that "real killers" had hoped they would. The US, for example, will issue yet another version of Bush's script and blame the convenient demon du jour: al Qaeda. By the time you read this, such a statement will have already been issued. In that case, it must be remembered that al Qaeda is a creation of the US CIA.
Interestingly, Bhutto was ready to publicly accuse the Bush Administration and current Pakistani President Pervez Musharif of stealing up to five billion dollars from the Pakistani treasury. That five billion is probably sitting in the dictator's private offshore bank account. Real blockbusters are all but ignored by the "mainstream media", notably, Bhutto's revelation that Osama Bin Laden is dead:
In this November 2, 2007 interview by Sir David Frost, Benazir Bhutto claimed that Bin Laden had been assassinated by Omar Sheihk (http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/1804710.stm ), six minutes and ten seconds into the video. This is most interesting and, if true, it puts a lie to all those Osama bin Laden videos that have been turning up over the past five years - Omar Sheikh was sentenced to death in July 2002 for the kidnapping and murder of Daniel Pearl.
[The] story leaked by US Media that Bush threatened to bomb Pakistan after 9-11 is a diversion from the real story. The real story is that Mushareaf, Pakistani President, knows that Bin Laden is dead and knows where he is buried. And knows that the bogeyman has gone to his maker aka kidney failure, Jan. 2002.
It can now be reported that Bushfraud threatened to bomb Pakistan just one week ago when Mushareaf threatened to tell the world that Bin Laden has been dead for three years.
P.S. It should be noted that when Khalid Muhammad was arrested in Pakistan, the alleged mastermind of 9-11, a US intelligence officer, aka a Gary Best employee named Spelezio was allowed to escape interrogation by the FBI on orders directly from Bush himself.
Hang on! The world has just become a much, much more dangerous place. Pakistan --a nuclear power --may destabalize. India already feels threatened. Despite or because of Bush, terrorists are emboldened and further radicalized as they have been and continue to be by the war against Iraq. A voice for moderation in the most strategic region of the world --the Grand Chessboard --is now dead.
Au Proche et au Moyen-Orient, les ondes d’instabilité provoquées, après les attentats du 11-Septembre, par la « guerre contre le terrorisme international » ne cessent de convulsionner de nouveaux pays. Dernier en date : le Pakistan. Près de cinq ans après la prise de Bagdad, le panorama géopolitique régional apparaît désolant. A l’impasse militaire s’est ajoutée une cascade de désastres diplomatiques. Sans que le risque terroriste, contrairement à l’objectif défini par Washington, ait diminué. Aucun des conflits – Israël-Palestine, Liban, Somalie – n’a été résolu. En Irak, malgré la présence de quelque cent soixante-cinq mille militaires américains, les perspectives paraissent toujours aussi incertaines. La vie quotidienne pour les civils demeure un enfer. Les attentats meurtriers se succèdent. De surcroît, une tension nouvelle est apparue à la frontière entre le Kurdistan irakien et la Turquie, où pourraient s’affronter deux alliés de l’Oncle Sam.
Autre paradoxe, les interventions américaines ont eu pour effet de débarrasser l’Iran – « pire ennemi des Etats-Unis » – de deux grands adversaires : le régime baasiste en Irak, et celui des talibans en Afghanistan. Rarement un rival aura ainsi apporté tant de bienfaits à son ennemi principal... Cela a permis à Téhéran de se concentrer sur son programme nucléaire. Soulevant les pires craintes. Les Etats-Unis et Israël menacent désormais de bombarder les installations atomiques iraniennes. Ce qui ajouterait du chaos au grand chaos régional, et entraînerait des hausses des prix du pétrole insupportables pour de nombreuses économies.
If the plan works, the weakening or even collapse of the state of Pakistan will create a new battlefield badly needed by the White House. The “War on Terror” (as the War on Islam is often termed), like most wars, needs expansion or it collapses. If you project an “Enemy”, you also need the “Enemy” to be successful at times.
Don’t be surprised if al-Qa’ida suddenly has nuclear weapons.
Without success for the Enemy, you may no longer be sufficiently able to instill fear in the people and have them follow you.
The White House needs the destabilization of Pakistan to continue the “War on Terror”. Ms Bhutto’s execution is one big step towards that goal.
And therein lies a motive to assassinate Bhutto and destabilize the place.
Published: January 6, 2008
A plan that could authorize more aggressive operations follows concern that Al Qaeda and the Taliban hope to destabilize the Pakistani government, officials said.
If this is what this administration is truly looking to do, at appears that the negotiated deal between Musharraf's government and US Special Operations Command Olsen fell by the wayside after the assassination of Bhutto.
The rulers of Pakistan have still been enjoying their lives. There is no report that they have felt any pain, but the poor masses have been facing a very difficult situation. If the situation remains the same there is possibility that the country may face a bloody revolution. Actually this is the aim of terrorists to create bloody revolution on the pattern of Iran. Who are terrorists? I do not know who are these people. But they are in Pakistan and are busy round the clock preparing ground for a bloody revolution.
Several hundred Pakistani families have fled to neighboring Afghanistan in recent days to escape the turmoil in their country, officials said Wednesday.
Pakistan, particularly its northwest, has been wracked by Islamic militant violence, with bombings targeting the military or top officials, and clashes between security forces and pro-Taliban fighters.
Now let me get this straight: several hundred Pakistani families have been so rattled by the violence in Northwest Pakistan they feel the safest place they can be right now is.......AFGHANISTAN?????
The Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP) (Taliban movement), a conglomerate of all militant groups operating in Fata and settled districts of NWFP, Wednesday gave a two-day deadline to the government to stop military operations in Swat and rest of the tribal areas, else it would re-launch attacks on security forces and government installations.
The Taliban leadership must believe, given the violence and anger at Bhutto's assassination which Musharraf's military is hard-pressed to contain, that they now have the advantage in terms of timing.
In what appears to be a major crackdown on the PPP, thousands of its workers are going to be arrested and arraigned on charges of ransacking, looting and damaging public and private properties including banks, especially in Sindh, during the protest against former prime minister Benazir Bhutto’s assassination.
“The figure could go up to even 10,000,” a senior official told The News.
It appears that the current government of Pakistan is hell-bent on pouring gasoline on the fires of social unrest and political upheaval.
And if there are massive, massive uprisings as a response to these actions, will the military continue to support Musharraf?
If the answer, ultimately, is no, all bets are off.
PAKISTAN yesterday signalled it would launch a "massive military operation" into the al-Qa'ida- and Taliban-infested "badlands" of its North WestFrontierProvince, aimed at killing the jihadi militant leader blamed for the assassination of Benazir Bhutto.
In preparation for the offensive, Lieutenant General Ali Mohammed Jan Aurakzai, Governor of NWFP and architect of Islamabad's repeated attempts over the past year to reach peace agreements with the militants, was removed from his job and replaced by the hardline Governor of restive Balochistan, Awais Ahmad Ghani.
However this comes down, it will be ugly in the extreme.
Amid nationwide anger over the killing of the opposition leader Benazir Bhutto and a widespread belief that the country’s military or intelligence may have been involved, the population is turning against the army for the first time.
“The interests of the people of Pakistan are now totally at odds with those of the army,” said Asma Jahangir, the head of Pakistan’s Human Rights Commission, who was one of hundreds of lawyers placed under house arrest in November.
There will be a time in the not too distant future, where the military, no matter what their numbers and weapons, will no longer be able to contain the rage of the Pakistani people against their government and their military.
And of course, true to form, the US has supported Pakistan's tin pot dictator Musharraf, because he's "our thug" in the region.
Policy makers simply do not get it that when you support any dictator, there will be a point past which the people living in that country have to take a stand.
And frequently, people are willing to pay with their lives to get rid of them.