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RechercherDerniers commentairesceci est mon témoignage sur la façon dont j'ai finalement rejoint le nouvel ordre mondial, les illuminati aprè
Par Mirabel, le 15.10.2024
oui
Par Anonyme, le 20.09.2023
excellent film!
Par Anonyme, le 07.04.2022
exellent film. a voir§
Par Anonyme, le 16.03.2022
un lien valide pour telecharger ce film merci
Par Anonyme, le 11.07.2021
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Date de création : 14.04.2008
Dernière mise à jour :
30.01.2025
1364 articles
LE VIRGINIEN LE SAISON 2 Vol 1 Épisode 5 : 16 Octobre 1963
TITRE ORIGINAL : THE EVIL THAT MEN DO
TITRE FRANÇAIS : pas de VF seulement des sous titres en français
REALISATEUR : Stuart Heisler
SCENARISTE : Frank Chase,
ACTEURS : James Drury , Doug McClure, Lee J.Cobb, Robert Redford Roberta Shore Patricia Blair L.Q. Jones
Le virginien (James Drury) rattrape un prisonnier (Robert Redford) échappé d’un convoi puis se ravise décidant de le prendre sous son aile et sous celle du juge Garth (Lee J.Cobb) qui va se porter garant et qui va noter l’intérêt croissant que porte sa fille (Roberta Shore ) pour ce nouvel employé dont le cœur semble porter plus vers Rita (Patricia Blair)
Le scénario repose sur une question : le prisonnier saura t-il profiter de cette aubaine ou laissera -t-il le mal l’accaparer (l’épisode s’intitule : le mal que font les hommes et provient d’une phrase de Shakespeare tirée de Julius Caesar → Act 3, Scene 2 : « The evil that men do lives after them; the good is oft interred with their bones. Le mal que font les hommes vit après eux . Le bien est souvent enterré avec leurs os »)
De nouveau l’Amérique montre son image libérale et ouverte, donc la fin est aussi prévisible qu’un changement de saison.
A la réalisation nous retrouvons Stuart Heisler metteur en scène intéressant qui nous proposa une adaptation réussie d’un polar de Dashiell Hammett The Glass Key (1942) avec Alan Ladd, et Veronica Lake couple mythique du genre, et un second avec Humphrey Bogart, Tokyo Joe (1949) et des westerns peu réédités Along Came Jones (1945) un western peu connu de Gary Cooper qu’il dirigera à nouveau dans « Dallas « 1950 et un autre non moindre avec Natalie Wood « Collines brulantes » 1956 le plus connu.
Il réussit dans les deux genres à imposer une marque. Il nous offre ici un très bon récit qui allie message et action et qui reste avec l’épisode 3 (NO TEARS FOR SAVANNAH) un des meilleurs
Robert Redford : l’acteur n’est plus à présenter, son parcours reste exceptionel puisqu’il s’accompagne de la création d’un festival, de 10 réalisations (1998 : L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux (The Horse Whisperer-- 1992 : Et au milieu coule une rivière (A River Runs Through ) et de la production d’œuvres marginales (la dernière en date demeure une série western : THE WEST en 2016 Par contre son parcours avant le vedettariat est peu connu.
L’artiste écuma les studios télévisés et participa à plusieurs séries dans les années 60 pour ses débuts ( Maverick- The Deputy*-la quatrième dimension – les incorruptibles- Alfred Hitchcock Presents) Robert Mulligan ( Inside Daisy Clover face à Nathalie Wood) en 1965 et Arthur Penn (La poursuite impitoyable face à Jane Fonda ) en 1966 le sortirent de l’anonymat, la suite s’inscrit dans l’histoire du cinéma avec sa collaboration fructueuse avec Sydney Pollack (1973 : Nos plus belles années (The Way We Were), 1975 : Les Trois Jours du condor (Three Days of the Condor), 1985 : Out of Africa : Souvenirs d'Afrique) , ses westerns ( 1969 : Butch Cassidy et le Kid de George Roy Hill-- 1969 : Willie Boy (Tell Them Willie Boy Is Here), d'Abraham Polonskyet son plus beau rôle dans le genre : 1972 : Jeremiah Johnson, de Sydney Pollack) et des films imposants (1974 : Gatsby le Magnifique (1973 : L'Arnaque (The Sting), de George Roy Hill—Gatsby le magnifique de Jack Clayton-- 1976 : Les Hommes du président (All the President's Men). Il joue ici un rebelle, traumatisé par un passé douloureux , personnage que l’on retrouvera dans sa filmographie.