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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour : 31.01.2025
10705 articles


HISTOIRE DE LA FAMILLE

PAIND'EPICE

Publié le 01/11/2023 à 09:02 par papilacabane Tags : sur article
Pain d'épices sans allergènes SOS cuisine |  Recettes végétariennes  |  Publié le 01/12/2022
Pain d'épices vegan sans allergènes

Atouts nutrition Cette recette de pain d'épices ne contient ni gluten, ni lactose, ni œufs, ni noix. De plus, en remplaçant une partie du miel par de la purée de pommes, on obtient un goût sucré avec moins de glucides.

Préparation : 15 min

  • Cuisson : 35 min
  • Attente : 45 min
  • 9 portions
  • 270 calories par portion
     

Ingrédients :

  • 65 ml d'huile végétale
  • 2 c. à soupe de graines de lin
  • 170 ml d'eau
  • 30 g de miel de miellat d'acacia ou de fleurs sauvages
  •  ½ c. à café d'arôme de vanille
  • 240 g de farine de riz brun • ¼ c. à café de sel
  • 1 c. à café de bicar­­bonate de soude
  • 1 c. à café de crème de tartre
  • ½ c. à soupe d'arrow-root (marante)
  • 2 c. à café de gingembre en poudre
  • ½ c. à soupe de cannelle en poudre
  • 1 pincée de noix de muscade, râpée
  • ½ c. à café de piment de la...

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SE SITUER

Publié le 18/07/2020 à 19:44 par papilacabane

 Partie 1/4: se situer 

Avec : 
- "Les défis de la modernité", avec Gilles Hériard Dubreuil , Consultant en gestion des crises environnementales
- "Les paradoxes de la bioéthique", avec Caroline Roux, Déléguée générale adjointe et directrice de VITA International
- "Quelles clés pour se situer ?" Avec Tugdual Derville, Délégué général d’Alliance VITA.

https://youtu.be/nEdnxOfwTfI



LA VIEILLESSE ET LA MORT

Publié le 15/05/2020 à 09:05 par papilacabane Tags : sur france vie chez place société mort nuit voyage
« La vieillesse, un voyage vers l’intériorité » Pour la psychologue Marie de Hennezel, la crise sanitaire pourrait être une occasion de rompre avec le « déni de la mort » dont souffre notre société depuis la Seconde Guerre mondiale.

Le grand âge est-il, selon vous, un âge spirituel ?

Marie de Hennezel : Depuis une dizaine d’années, j’anime des groupes de parole dans une résidence pour personnes âgées autonomes. Or dans ces groupes, beaucoup disent - y compris les personnes qui n’ont pas de croyance religieuse - que la vieillesse est pour elles une aventure spirituelle, un voyage vers l’intériorité.

Dans ce voyage, la méditation sur la finitude tient une place importante, mais pas uniquement : quand on se sait proche de la mort, on réfléchit à ce que les bouddhistes appellent le « mandat céleste » - que suis-je venu faire sur terre ? Certaines personnes âgées vivent même une vraie jeunesse intérieure, avec un esprit tourné vers le nouveau et une ouverture du cœur qui me frappent.

Il a beaucoup été question des personnes âgées avec cette crise sanitaire. Êtes-vous en accord avec les décisions qui ont été prises pour les protéger du coronavirus ?

M. de H. : L’annonce par le premier ministre que l’on ne pourrait plus rendre visite à un proche en fin de vie m’a paru inacceptable. Depuis la nuit des temps, l’un des rituels le plus sacrés est l’accompagnement des mourants. Une telle interdiction - sur laquelle le gouvernement est heureusement revenu - peut avoir des dégâts considérables. Parmi eux, un fort sentiment de culpabilité chez les proches, qui peut engendrer des conduites d’échec. C’est une blessure difficile à cicatriser.

Le confinement strict, dans leur chambre, des résidents des maisons de retraite, m’a aussi interrogée. De quel droit « protéger » la vie d’une personne qui estime que l’essentiel pour elle n’est pas de vivre quelques mois de plus, mais simplement d’échanger quelques mots par jour avec un autre humain ?

De nombreuses personnes âgées souffrant de l’isolement ont cessé de s’alimenter ces dernières semaines - on parle du « syndrome du glissement ». Est-ce une mort violente ?

M. de H. :Contrairement à ce que l’on peut penser, mourir de cette manière n’est pas douloureux : ces personnes, sentant qu’elles sont arrivées à la fin de leur vie, se laissent doucement glisser vers la mort, sans souffrir de la faim ni de la soif. Mais ce glissement doit être accompagné. Ce qui est terrible, actuellement, c’est que ce n’est pas le cas, et que ce glissement résulte d’une décision extérieure qui n’a pas été acceptée.

Cette épidémie peut-elle changer la place de la mort dans notre société ?

M. de H. :Pour beaucoup, cela aura été l’occasion d’une réflexion inédite sur la mort, qui semblait « planer » ces dernières semaines. Plus que d’ordinaire, nous nous sommes figuré que nous sommes mortels et que, par conséquent, la vie est précieuse. Or c’est la fonction même de la mort : nous rappeler à quel point la vie est importante. Si l’homme n’était pas mortel, il ne serait pas créatif !

Il faut espérer que cette réflexion perdure après l’épidémie, et que la mort retrouvera sa place dans notre société. Car depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le progrès technique et scientifique a conduit à un véritable déni de la mort : nous avons peu à peu oublié que nous étions mortels, et le fantasme d’éradiquer la mort est plus présent que jamais, avec le transhumanisme.

Est-ce parce que l’on nie l’existence de la mort qu’on en a si peur ?

M. de H. :L’angoisse de la mort est en effet le fruit du déni de la mort. Le décompte quotidien des morts du Covid-19, particulièrement morbide, me semble révélateur de cette angoisse. Pourtant, nous ne saurons que dans un an s’il y a vraiment eu une surmortalité importante ce printemps 2020 - ce qui n’est pas évident, puisqu’il y a aussi eu moins d’accidentés de la route, par exemple. Tant mieux si nous avons pris conscience qu’en France, on meurt tous les jours, mais souvenons-nous que ce n’est pas que du Covid-19.



GENEVIEVE BRUN

Publié le 08/02/2020 à 14:17 par papilacabane Tags : sur vie place femme création nature pouvoir
GENEVIEVE BRUN
Millau. « Les pensées éphémères », avec Geneviève Brun
 

« Les pensées éphémères », organisées par la Cie Création Ephémère, c’est un rendez-vous convivial à La Fabrick au cours duquel le public est invité à venir découvrir et partager les écrits d’un auteur. Ce deuxième volet, vendredi 7 décembre à 19h, sera consacré à la femme de théâtre Geneviève Brun, en présence de l’auteure.

Geneviève Brun en quelques mots…

« Je suis née le 28 octobre 1944, dans le Tarn. Enfance heureuse dans une famille modeste, entre les villes (Paris, Toulouse, Albi) et la campagne originelle où se sont enracinés l’amour de la nature, la curiosité et le respect de toute vie. L’occitan et le français croisaient leurs musiques : à 10 ans, je jouais du violon et j’écrivais des poèmes. « Je n’ai jamais cessé d’écrire : poésies, récits, nouvelles, scénario pour marionnettes, livres d’artistes, articles sur cinéma, théâtre, danse, musique… ».

 

Etudes classiques (Allemand, Latin, Grec) au Collège d’Albi. Après le Bac, à Toulouse, études universitaires en Lettres classiques, vite interrompues par la nécessité de gagner ma vie… Mais il y a eu aussi la rencontre avec Maurice Sarazin, metteur en scène et comédien : le théâtre entrait dans ma vie et n’en sortira plus !

Durant 5 ans, éducatrice au Lycée Spécialisé de Ramonville, pour handicapés physiques. J’apprends avec ces adolescent(e)s confronté(e)s aux regards, les désespoirs repoussés par le courage et le sens de l’humour… et l’apprivoisement de ma propre différence. Parallèlement, préparation par correspondance au concours pour l’Enseignement en Collèges Techniques, réussi en 68. Après un an de formation à Toulouse, nommée à Millau, où j’ai enseigné (avec passion !) le Français et l’Histoire en LP. Et ouvert l’option Cinéma au Lycée… jusqu’à la retraite.

Pendant 18 ans, je passais mes week-ends à Paris. Concerts, expositions, cinéma… Le Théâtre y avait une place essentielle : à Gennevilliers, en 1985, le dialogue avec Bernard Sobel, qui suivit un spectacle controversé, l’amena à me proposer une libre collaboration à la revue « Théâtre/Public ». Longtemps alimentée par Paris, elle s’ouvrit à la province avec « Aveyron : Chroniques Provinciales » jusqu’en 2015.

A Millau, je partage toujours la passion du théâtre et l’ouverture à la différence avec la Cie Création Ephémère, dans laquelle excellent aussi les comédiens, dits handicapés mentaux. Elle est ma seconde famille. Sa collaboration avec les auteurs contemporains est passionnante.

A Avignon, la rencontre avec Tilémachos Moudatsakis, metteur en scène incomparable des corps et des voix, révèle une tout autre dimension des tragiques Grecs. Il m’invite à sonder avec lui les textes, sens et traduction. Mes dialogues avec Euripide sur la Démocratie, le Pouvoir, la Femme… participent à mes engagements citoyens, à la fraternité au-delà des frontières.

J’écris toujours : depuis mes dix ans, je n’ai jamais cessé d’écrire. La vraie vie est celle qu’on écrit avant de l’avoir vécue. »

Tout public. Entrée libre. La Fabrick, 9 rue de la Saunerie à Millau.

VIAFabien Méalet
SOURCECieCréation Ephémère


81ans

Publié le 26/07/2018 à 17:09 par papilacabane Tags : bretagne vie moi femme fille enfant jardin maison
81ans

J’ai 81 ans aujourd’hui, et c’est la fète de ANNE et JOACHIN, les parents de la vierge Marie. J’ai beaucoup pensé à eux lorsque nous étions en Bretagne et j’ai prié Ste Anne qui est aussi la patronne de ma fille Anaïs. 

Je pense à mes grands -parents à moi, les parents de maman que je n’ai jamais connus car ils sont morts tous les deux peu de temps avant que maman se marie. Son père était paysan avec un petit troupeau et quelques vignes; je sais qu’ils avaient un jardin très précieux pour eux et qu’ils allaient vendre au marché chaque dimanche le fruit de leur labeur;J’ai par contre bien connu mon grand-père paternel: Auguste, qu’on appelait Pétit au village; et sa femme Marie Dé Pétit. qui enfant s’appelait Marie-Amélie. Je les ai vu et j’ai vécu longuement avec eux pendant toute mon enfance:nous allions tous les dimanches au Bruel, dés que papa est rentré d’Allemagne, et j’ai dû faire quelques séjours dans la maison avec ma soeur quand la situations le nécessitait . Mémé, c’est comme celà que nous l’appelions, était bigotte; elle apparaissait telle… elle priait et avait toujours été entourée d’objets religieux qui leur servaient dans l’expression de leur foi. Mémé avait une soeur ainée religieuse dominicaine, vivant prés de Nimes avec laquelle elle entretenait une correspondance assidue. C ‘était la conseillère et référence pour toutes les décisions importantes de leur vie. Pépé avait été longtemps bucheron, il allait tous les jours à « la vigne »,(la cabane) cultiver la terre, faire du bois pour le feu.

C’étaient mes grands-parents.



DYLAN

Publié le 10/01/2016 à 10:59 par papilacabane Tags : vie femme coeur image centerblog
DYLAN

Tu as aujourd’hui, dix sept ans; et je m’en réjouis avec toi comme le font tous ceux qui te  connaissent et qui t’aiment. Je souhaite que s’ouvre pour toi un ère nouvelle de découverte et d’accomplissement. Demain ne sera pas très different, mais peut-être après-demain et désormais chaque jour…

 J’observe que tu as su trouver refuge auprès de ta maman pendant cette période délicate de l’adolescence et je suis sûr qu’elle sera là pour toi encore longtemps…

 

Ton père au même âge, n’as pas eu la même chance; après avoir reçu une profonde blessure en héritage , très jeune , il a dû s’adapter en tâtonnant et vivant des aventures diverses, dont tu fais partie. Jean-Luc003.jpgTu n'auras jamais  a vivre les mêmes vicissitudes, ni ne bénéficieras des mêmes excuses; pour toi, les événements et le temps ont ouvert un autre chemin, qui se déroule maintenant sans entrave . Tu trouveras auprès de ton père dont la vie a fait le coeur tendre ,l’exemple et l’affection dont peut avoir besoin un jeune adulte.RIMG0008.jpg Lui aussi a appris du temps et du déroulement de sa vie qu’on peut trouver auprès d’une femme autre chose que  l ‘amour d’une mère.



LE PIED

Publié le 19/12/2015 à 12:49 par papilacabane Tags : soi moi voiture hiver fleur image centerblog

En mars 2011,celà me parait très loin, je m'étais brulé la plante du pied gauche , en voulant arréter le feu sur mon terrain; j'étais allé aux urgences, à l'hopital où on m'avait opèré: greffe de peau, suivie d'un séjour à Lamaloue. La réparation à tenu sans incident ( j'ai marché normalement, en faisant très peu attention) jusqu'à tout récemment: un cal s'était formé à l'endroit de l'appui et il me faisait mal; j'ai voulu le réduire avec les moyens du bord... c'est à dire mal. Il en est résulté une petite déchirure qui s'est très vite agrandie.Je me suis retrouvé comme avec une chaussette trouée, j'ai dû retourner au service des brulés à Lapéronie, où on m'a remis un pansement P1010426.jpget entamé une période de soins pour un temps ...indéterminé. Il faut provoquer un rebourgeonnement de la peau pour réduire le trou.Donc, me revoilà quasi immobilisé pour quelques mois ( je n'ai pas le droit d'appuyer à l'endroit sensible, ce qui ralentirait la cicatrisation). On m'a affublé d'une chaussure spéciale, de Barouk... qui me permet de me déplacer pour les besoins domestiques, avec le moins de risques.P1010427.jpg

Ce qui me gène surtout et pénalise beaucoup B. c'est l'impossibilité d'utiliser la voiture. Sur le terrain j'avais à peu prés assuré pour la période de latence d'hiver, et je suporterai par force cette inaction je l'espère provisoire .    J'en suis réduit à attendre que fleurisse le mimosa en le regardant bouger dans le vent.P1010425.jpg



LA MAISON DE ST JEAN

Publié le 24/11/2015 à 17:11 par papilacabane Tags : photos voiture jardin moi image centerblog
LA MAISON DE ST JEAN

Celà fait maintenant un peu plus d'un an que nous avons vendue la maison de l'esplanade; je savais en la quittant pour la dernière fois que de nombreux souvenirs étaient accrochés à ces lieux,RIMG2240.jpg vous comprenez que j'ai éprouvé le besoin de faire quelques photos avant de quitter définitivement les lieux.RIMG2243.jpgJe ne les avais pas mis au jour depuis; Quand je vais à st jean et que je passe en voiture devant l'esplanade, j'ai gardé le réflexe de tourner la tête pour voir si elle est toujours là, si elle conserve globalement le même look; Je suis allé une fois me pencher par dessus le mur pour voir quel était le nouvel aspect du jardin.RIMG2254.jpgJ'ai le même réflexe quand je passe au Bruel devant la maison de mes grands parents.Je joins un échantillon des photos volées.RIMG2242.jpg Je ne vous les donnerai plus; pour le reste il vous faudra vous fier à votre mémoire,comme moi.RIMG2245.jpg



Le SOUVENIR

Publié le 02/11/2015 à 09:26 par papilacabane Tags : roman amour mort soi
Le SOUVENIR

“Durant cet après-midi de profonde intimité où je suis alléconduire ma mère vers sa mort, j’ai touché au plus grand dénuement, à ce très peu auquel nous tenons véritablement, lorsqu’un fil casse. Il ne restait que l’amour. Que cet ineffable mystère qu’on appelle Amour – avec un grand A pour dire combien il nous dépasse – et qui ne se trouve nulle part ailleurs qu’en soi.“

C'était il ya qinze ans...



LEDERNIER DIMANCHE D'OCTOBRE.

Publié le 29/10/2015 à 18:20 par papilacabane Tags : moi monde bonne belle nuit
LEDERNIER DIMANCHE D'OCTOBRE.

Après la messe de 11 heure dans  la belle église de StGhuilhem,nous avons mangé dans le village; Il faisait beau et il y avait encore beaucoup de monde sur la place et dans  la rue principale. S’il n’y avait autrefois dans le village, qu’un ou deux restaurants valables, tous les goûts peuvent être aisément satisfaits maintenant, et même moi qui suis intolérant au gluten et au lactose, je peux trouver facilement à me faire plaisir. Nous sommes restés à table dans une cour ensoleillée au pied de la mairie, le long du Verdus, quelques moments agréables, puis nous avons rejoint la route d’Arboras, jusqu'au col qui ouvre sur le plateau; il ya là, immédiatement sur une petite aire dégagée, le départ d’un petit chemin sur la droite. Il monte un peu au départ,  puis devient très vite plus civilisé. Nous avons pu marcher une bonne heure dans une belle forêt de pins où voisinent indifféremment les chênes blancs et les chênes verts; nous étions en fait à l’altitude où le chêne vert cède la place au chêne blanc, dans une végétation méditerranéenne influencée surtout par la présence de calcaire dominant.Il manquait à B. un point de vue ,avec l’horizon dégagé ,et nous avons fini par le trouver en direction du Mt . St Baudille et de la Serane. Il ne faisait pas encore nuit quand nous sommes rentrés.