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Par Anonyme, le 20.09.2023

excellent film!
Par Anonyme, le 07.04.2022

exellent film. a voir§
Par Anonyme, le 16.03.2022

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Par Anonyme, le 11.07.2021

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Par Anonyme, le 04.06.2021

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Date de création : 14.04.2008
Dernière mise à jour : 12.09.2024
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795 – L’HOMME DE NULLE PART--JUBAL de Delmer Daves USA 1956

 

795 – L’HOMME DE NULLE PART--JUBAL de Delmer Daves USA 1956

Sidonis Calysta sortie DVD et Blu-Ray  Mars 2017 (*)

Quand la littérature et la science parfument un western, y gagne-t-il en crédibilité ?

Un homme fatigué, désorienté et maladroit Jubal Troop  (Glenn Ford) chute  sur  un chemin en pente  Il est soigné par un  riche éleveur  Shep Horgan  (Ernest Borgnine )  et aidé de son personnel  remis sur pied. Parmi eux se trouve les accueillants Sam (Noah Beery Jr.) et Carson (John Dierkes) et le régisseur Pinky (Rod Steiger :) qui ne son arrivée

 D’autant plus que Shep va confier à l’étranger de plus en plus de responsabilités au grand dam de Pinky qui l’agresse de façon permanente et voit pas d’un bon œil , l’attention  que lui porte Mae () la jeune femme volage de Shep qui  n’est pas insensible à ses charme, lui qui fut son amant

 La tension sera grandissante quand Jubal se porte au secours des membres d’une caravane qui se dirige vers l’Ouest, rabroués par Pinky qui ne veut pas de leur présence. Jubal tombera même amoureux et réciproquement de  Naomi Hoktor  (Felicia Farr) la fille de Shem (Basil Ruysdael) , le  pasteur qui conduit la communauté.

 

 

 Pinky avec la complicité d’un non moins recommandable McCoy (Jack Elam)  va tout faire poussant au meurtre et violant avec fracas Mae pour se débarrasser son employeur et de Jubal récupérant sa place et les faveurs de cette dernière ? Jubal va de nouveau tenter de fuir cette situation puis décider de l’affronter, secondé par une nouvelle rencontre amicale Reb Haislipp (Charles Bronson)

 

Au vu de ce résumé, tout un chacun remarquera que nous sommes en plein drame et pire encore en pleine tragédie. Jubal qui a perdu son père qui tentait de le sauver de la noyade croise une nouvelle figure paternelle qui lui redonne confiance et surtout stabilité. Car cet « Homme de nulle part » est un être blessé au passé secret, nous ne savons rien de ce prologue, de cette fuite du prologue, de ses antécédents hormis le désamour de sa mère qui le haïssait ;

 Ce lien maudit reste son principal traumatisme et il semble errer tel un « Sans terre » qui a perdu son royaume. Cette halte accidentelle est pour lui une issue salvatrice ; un nouveau port d’attache mais ces vicissitudes commanditées par Pinky un malade vont affectés son existence humaine et l’amener comme un enfant face au danger à fuir.

 

 

 Face à lui se trouvent deux êtres chers Shep Horgan et   celui par qui le malheur arrive Pinky une créature effroyable, plein d’amertume et de jalousie qui va verser sur lui toute sa bile et le déstabiliser. Pinky est l’un des plus méchants des plus violents des films de Delmer Daves , un dégénéré en provocation perpétuelle insatisfait et impulsif

 

 

Les exégètes et autres commentateurs vont citez Shakespeare et Freud ; deux maîtres dans les méthodes d'investigation psychologique, le premier par son théâtre et le second par la psychanalyse. Certes cette double observation n’est point erronée ; encore que.

Car rappelons-le toute œuvre dramatique, toute tragédie et toute traduction de conflits parlant de jalousie, de haine et autres bestialités, de trahison de sexualité, (fort présente ici) de mort du père et de générosité ne relèvent pas que de ces deux auteurs ; la Bible bien avant avait souligner ces déviances et ces sentiments généreux. D’ailleurs les thèmes sont bibliques par excellence : L’entraide, l’adultère, l’amour et cette communauté qui cherche la Terre promise. Dès tout western notamment celui-ci est vraisemblable, crédible grâce à sa maestria

 

 

 

 Delmer Daves venait de nous offrir La Flèche brisée 1950 qui modifia le regard sur la minorité indienne en ôtant tout stéréotype (violente, meurtrière et sauvage) . il persistera dans le genre avec Glenn Ford : le sublime 3h10 pour Yuma 1957 et l’épuré  Cow-boy un an après, avec Richard Widmark en 1956 : La Dernière Caravane (The Last Wagon) et le flamboyant La Colline des potences (The Hanging Tree) 1959 avec Gary Cooper

 

 

 Il fut souvent scénariste de ses films qu’ils soient adaptés ou non, de roman comme c’est le cas et se chargera d’autres pour divers réalisateurs :Eric Von Stroheim , Frank Borzage, Ray Enright et Leo McCarey, pour lequel il signa les deux versions de Elle et lui (1939 et 1957). Certaines répliques sont fortes : « Celui qui n’a pas de passé , s’interdit tout avenir » et « C’est insultant de dire que Dieu a fait l’homme à son image »

 

 

 Jubal est un livre de Paul Wellman  (1895–1966) écrivain peu connu et auteur d’œuvres fortes adaptées au cinéma : Cheyenne (1947)  de Raoul Walsh ---The Iron Mistress (1952) La maîtresse de fer de Gordon Douglas-- Apache (1954)  Apache (1954) de Robert Aldrich -- The Comancheros (1961)  de Michael Curtiz.

 

 

 

Ce réalisateur un des cinq grands du genre mis en scène des polars dont le beau et tendre Dark Passage (1947) avec Humphrey Bogart, Lauren Bacall et montre une maitrise de caméra plongée dans des grands horizons ; il réussit aussi bien les scènes intimistes que celles d’action. Il sait par exemple que l’image flash est plus porteuse que celle plus courante et souvent démonstrative ; les derniers plans l’attestent ; une corde se balance dans les mains de Charles Bronson suivi de chevaux agités encerclant le coupable à terre et un plan rapproché d’un crochet : tout est dit

 

 

 IL est rare ajouterons nous que le western parle de frustrations sexuelles et de sociales. Et dans ce monde sauvage ; il fallait un paysage qui le soit et une photo etqui le matérialise davantage (magnifiques du Wyoming et le parc Grand Teton.)

 Le moins défendu des westerns de Delmer Daves se trouve être le plus cérébral , le plus tragique mêlant psychanalyse et peinture de caractère. L’auteur signe une œuvre mémorable, éternelle qui situe dans cette décennie tant loué et pour cause (en 1956 , nous verrons Coup de fouet en retour de Sturges, La prisonnière du désert de Ford, La dernière chasse de Brooks, 7 hommes à abattre de Boetticher)

 

 

 Dans l’interprétation il y a pléthore de comédiens affiliés au western

 

Basil Ruysdael célèbre pour sa voix de baryton , qu’il utilisera dans les 101 damaltiens sera   vu dans « La flèche brisée de Daves, Le souffle de la violence de Rudolph Maté, The Last Hurrah  (1958) et en 1959 : Les Cavaliers (The Horse Soldiers) de Ford, Graine de violence de Brooks1955--

 

 

Jack Elameffrayant par son regard flouté par un œil blessé  est indissociable du polar  (1952 : Le Quatrième Homme (Kansas City Confidential) de Phil Karlson-- 1955 : En quatrième vitesse (Kiss Me Deadly) de Robert Aldrich) et du western (1952 : Le train sifflera trois fois (High Noon) de Fred Zinnemann-- 1952 : L'Ange des maudits (Rancho Notorious) de Fritz Lang -- 1953 : Vaquero (Ride, Vaquero!) de John Farrow -- 1954 : Je suis un aventurier (The Far Country) d'Anthony Mann -- 955 : Un Jeu risqué (Wichita) de Jacques Tourneur -- 1956 : Règlement de compte à OK Corral (Gunfight at OK Corral) de John Sturges -- 1956 : Règlement de compte à OK Corral (Gunfight at OK Corral) de John Sturges -- 1968 : Il était une fois dans l'Ouest (C'era una volta il West) de Sergio Leone -- 1973 : Pat Garrett et Billy le Kid (Pat Garrett and Billy the Kid) de Sam Peckinpah )

 

 

John Dierkesun ancien économiste et conseiller technique (To the Ends of the Earth (1948) de Robert Stevenson)  qui tourna pour Welles, Walsh, Corman apparaitra dans 1951 : La Charge victorieuse (The Red Badge of Courage), de John Huston-- 1954 : Le Raid (The Raid), de Hugo Fregonese -- 1954 : Tornade (Passion), d'Allan Dwan -- L'homme des vallées perdues - Shane (1953)-- 1958 : Le Gaucher (The Left Handed Gun), d'Arthur Penn -- 1959 : La Colline des potences (The Hanging Tree), de Delmer Daves-- 1960 : Alamo, de John Wayne une de ses meilleures apparitions  :

 

 

Noah Beery Jr qui reprit le nom de son père (cteur des années 10-40) a souvent incarné les camarades francs et droits qui soutiennent le héros dans le genre (1940 : The Carson City Kid de Joseph Kane -- 1948 : La Rivière rouge de Howard Hawks -- 1952 : À feu et à sang (The Cimarron Kid) et en  1957 -- 1956 : La première balle tue (The Fastest Gun Alive) de Russell Rouse --Le vengeur agit au crépuscule (Decision at Sundown), de Budd Boetticher où il magnifia son personnage thématique qui remet un Randolph Scott trompé dans le droit chemin -)

Noah Beery Jr & John Dierkes

image

Charles Bronson incarne l’ami des uns et de Jubal, c’est un être frontal contrairement à lui . Son teint buriné le cantonna dans des rôles de mexicain (Les Sept Mercenaires de John Sturges) , de métis (La Bataille de San Sebastian d’Henri Verneuil-- La Proie des vautours de)  ou des indiens (L'Aigle solitaire-- Le Jugement des flèches de Samuel Fuller.)

 

 Il débute en 1949 , tourne une multitude d’épisodes télé  entrecoupés  de films souvent des westerns (Le cavalier traqué d’ André De Toth-- L'aigle solitaire de Delmer Daves – Apache, Vera Cruz et Quatre du Texas de Robert Aldrich --- Showdown at Boot Hill (1958)  de Gene Fowler Jr. -- Les 7 mercenaires  de J.Sturges-- A Thunder of Drums (1961) de Joseph M. Newman ) en troisième ou quatrième couteau , puis en second rôle .Aldrich (12 salopards) et Sturges  (La proie des vautours 1959-- La grande évasion 1963) le réemploieront

 

Puis en 1968 2 films le projettent au-devant de la scène : un film français (Adieu l'ami 1968 de Jean Herman avec Alain Delon) et Il était une fois dans l'Ouest de Sergio Léone 1968. Sa voie de vedette venait d’apparaitre pour le pire et le meilleur.

 

 

Valerie French à qui dans ce rôle ; on donnerait le bon dieu sans confession, est une actrice modeste qui tournât des westerns : The Hard Man  (1957) Le Shérif d'El Solito de George Sherman-- Decision at Sundown (1957)  de Budd Boetticher -- Mountain  (1956) un western inédit signé de Seymour Friedman.le reste est florilège de séries télé qu’elle quittera à l’aube de la cinquantaine. Elle trouve là son meilleur rôle avec ce personnage de mante religieuse

 

 

Rod Steigerest un acteur de l’Actuor Studio ; Daves apprend-t-on le trouvait trop newyorkais .il paraitra dans peu de westerns (1957 : Le Jugement des flèches (Run of the Arrow), de Samuel Fuller-- 1971 : Il était une fois la révolution (Giù la testa), de Sergio Leone   où il cabotine à merveille)   et ses meilleures interprétations furent chez Francesco Rosi (1963 : Main basse sur la ville (Le Mani sulla città),) Sidney Lumet (1964 : Le Prêteur sur gages (The Pawnbroker),) Mark Robson (1956 : Plus dure sera la chute (The Harder They Fall). Il demeure avec ce rôle le plus affreux des méchants de l’histoire cinématographique de l’ouest dont un acolyte dira «  Pinky aime personne même pas lui ». Il recueillit  un oscar mérité pour son personnage de shérif moderne raciste qui va changer son regard sur les noirs à l’arrivée de Sidney Poitier dans In the Heat of the Night (1967) Dans la chaleur de la nuit de Norman Jewison

 

 ROD STEIGER et JACK ELAM

image

 

 

Ernest Borgnine eut une carrière similaire sans atteindre une vedettariat de même ampleur, même s’il glana un oscar en 1955 (Marty de Delbert Mann.) et une carrière plus productive (plus de 200 films) et plus longue (60 ans)  . Il fut bien souvent l’affreux jojo, le méchant sadique et violent, le m’as-tu-vu querelleur et chacune de ses apparitions nous régala. Il se devait d’être dans le western qui réclamait des personnages odieux : 1953 : Les Massacreurs du Kansas (The Stranger Wore a Gun) d'André De Toth-- 1954 : Johnny Guitare (Johnny Guitar) de Nicholas Ray -- 1954 : Terreur à l'ouest (The Bounty Hunter), de André De Toth -- 1955 : Vera Cruz de Robert Aldrich -- 1955 : À l'ombre des potences (Run for Cover) de Nicholas Ray :-- 1955 : Quand le clairon sonnera (The Last Command) de Frank Lloyd -- 1955 : Quand le clairon sonnera (The Last Command) de Frank Lloyd --- 1969 : La Horde sauvage (The Wild Bunch) de Sam Peckinpah  une des meilleures prestations dans le genre-- 1971 : Un colt pour trois salopards (Hannie Caulder) de Burt Kennedy

De temps à autre comme dans Marty et dans ce film il joua les graves types notamment chez Aldrich (1965 : Le Vol du Phœnix (The Flight of the Phoenix)- 1967 : Les Douze Salopards (The Dirty Dozen) - 1968 : Le Démon des femmes (The Legend of Lylah Clare) -- 1975 : La Cité des dangers (Hustle) qui lui fit jouer sa participation antipathique ern 1973dans  : L'Empereur du Nord (Emperor of the North Pole. A 95 ans l’année de son décès il tournait encore ; quelle vie et quel acteur superbe.

 

 

Felicia Farr qui  fut l'épouse de Jack Lemmon de 1962 à la mort de ce dernier en 2001 sera  très appréciée du réalisateur tournera dans deux de ses westerns 1956: La Dernière Caravane (The Last Wagon) et en 1957: 3 h 10 pour Yuma (3:10 to Yuma) où son apparition furtive face à un Glen Ford qui a préféré sa présence à celle des hommes de loi qui le recherchaient , reste mémorable tant sa présence sensuelle est forte.Elle en fera deux autres : 1956: Reprisal! de George Sherman et 1960: Le Diable dans la peau (Hell Bent for Leather) de George Sherman

 Son rôle dans Embrasse-moi, idiot (Kiss me stupid) de Billy Wilder la propulsera dans les grands souvenirs des cinéphiles

 

 

 

Glenn Ford incarne de façon fantastique cet homme en fuite perpétuelle qui choisit une halte dans sa vie, la première présentation de son personnage est traduite par le regard apeuré d’un enfant se trouvant en milieu hostile. Il n’a jamais été aussi bon en être blessé ou souffrant d’iniquité. Sa colère en est décuplée et il devient l’animal qui dort chez un chacun et quand il tue le père une deuxième fois ; il est brisé sans défense prompte à la dérobade.Et sa seule confession qui éclaire ce personnage aura lieu face à un membre de cette communauté qui à l’égal de lui , recherche un havre de paix

 

 

 Les réalisateurs comprirent et utilisèrent ce potentiel  (1946 : Gilda de Charles Vidor face à une Rita Hayworth plus désirable que jamais -- 1953 : Règlement de comptes (The Big Heat)  en flic revanchard de Fritz lang qui le réutilisera dans  Désirs humains (Human Desire)  un an plus tard --- 1962 : Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse (Four Horsemen of the Apocalypse) de Vincente Minelli qui l’engagera pour une comédie : Il faut marier papa (The Courtship of Eddie's Father) et pas uniquement  dans le western dont il sera pourtant un des plus grands représentants  (1941 : Texas, de George Marshall-- 1943 : Les Desperados (The Desperadoes), de Charles Vidor -- 1948 : La Peine du talion (The Man from Colorado) : -- 1949 : Le Démon de l'or (Lust for Gold)  un western méconnu et ô combien captivant -- 1953 : Le Déserteur de Fort Alamo de Budd Boetticher -- 1953 : Les Pillards de Mexico (Plunder of the Sun), de John Farrow -- 1955 : Le Souffle de la violence (The Violent Men) -- 1956 : La première balle tue (The Fastest Gun Alive) de Russel Rouse au final déconcertant et bien sur les deux autres westerns de Delmer Daves : 1957 : 3 h 10 pour Yuma (3:10 to Yuma)  en méchant humanisé et  en 1958 : Cow-boy (Cowboy) en conducteur de troupeaux intraitable -- 1958 : La Vallée de la poudre (The Sheepman) un film désopilant et en  1964 : Le Bataillon des lâches (Advance to the Rear) de George Marshall

 

 

 

1960  sera l’année de son dernier grand western  La Ruée vers l'Ouest (Cimarron) d’Anthony Mann: Yancey 'Cimarron' Cravat  en personnage charismatique et éclatant - 1967 : Le Pistolero de la rivière rouge (The Last Challenge)et en  1967 Le Pistolero de la rivière rouge (The Last Challenge) de Richard Thorpe – Il fera meme une série Sam Cade qui mettait  en scène les enquêtes d’un comté  du shérif Sam Cade  et sera même le père adoptif de Superman dans le premier opus en 19782

 

 

(*) Présentation du film par Patrick Brion , François Guérif  Bertrand Tavernier

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