LIVRES-FOIRE DU LIVRE
Anny Duperey, artiste en équilibre ou l'histoire d'une vie tourbilonnante.
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image/hmRlBpTrebNMoHxeMBfH1Xgd6ug/600x400/regions/2025/01/17/anny-dyperey-2-13prods-678a75506a43a831575676.png" alt="Anny Duperey pendant le tournage du documentaire Anny Duperey, artiste en équilibre" width="640" height="426" />
Extrait du documentaire Anny Duperey, artiste en équilibre, réalisé par Ninon Brétécher •©POP fILMS & 13 Prods
Publié le 18/01/2025 à 08h30 Actrice populaire, aussi connue au cinéma qu’au théâtre ou la télévision, Anny Duperey a pris au fil des années une place unique dans le monde des Arts : celle d’une femme active, avec de la répartie, mais toujours la générosité d’un grand cœur vidé dans son enfance par la disparition soudaine de ses parents. Un documentaire lui est consacré.
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Notre politique de confidentialité Anny Duperey, c’est un peu notre Jamie Lee Curtis à nous.
Une « belle plante » qui ne mâche pas ses mots, une graine de liberté poussée, par un vent de force vitale, de Rouen à Paris.
Sylvie Gauthier, productrice
Invitée très jeune à jouer les rôles de faire-valoir féminins, Anny a pris au fil des années une place unique dans notre cinéma personnel : celle d’une femme qui ne s’en laisse pas conter, avec de la répartie.
Est-elle pour autant si facile à attraper, à définir ? Peut-on être à la fois une petite fille de 8 ans terrifiée par le vide, une actrice de cinéma souriant aux photographes, la mère d’une famille formidable, l’amoureuse d’un des plus grands acteurs de sa génération, une photographe que n’aurait pas reniée son père, une peintre de formation, une chanteuse de cabaret gouailleuse, une trapéziste sans filet… Une écrivaine !
La liste des « dons » d’Anny est longue. Toute sa vie, elle les a entretenus, comme on garde des petits cailloux dans une boîte secrète. Peut-être parce qu’elle a du sens pratique, en fille issue d’un milieu modeste : dans la vie, il faut savoir tout faire. Elle ne renie rien, ne regrette rien. Est-ce que la vie d’Anny Duperey ne serait pas un jeu de cache-cache avec l’ombre qui la poursuit depuis ses huit ans ? Ou le prisme d’un kaléidoscope qui définirait ce que peut être une femme-artiste en équilibre ?
Depuis plus de 40 ans, elle a décidé de vivre une partie de son temps en Creuse, dans une maison restaurée par celui avec qui elle a partagé une longue et belle période de sa vie, Bernard Giraudeau.
Si ses enfants ont peu investi le lieu, aujourd'hui, elle est heureuse de voir que ses petits-enfants s'approprient ce havre de paix et de verdure. Anny Duperey a couru les arboretums et les pépiniéristes de Creuse pour y planter plus de 180 espèces d'arbres et d'arbustes différents.
C'est ici, loin des tumultes de la vie parisienne, qu'elle aime écrire, se reposer entre deux pièces de théâtre ou deux tournages.
Feuilleter l'album des souvenirs de la vie d'Anny Duperey ne suffit pas pour la connaître. C'est ainsi qu'est née l'idée de lui consacrer un film documentaire.
La coproductrice et la réalisatrice du film ont accepté d'en dire plus.
article fr3 extrait https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/creuse/gueret/anny-duperey-artiste-en-equilibre-ou-l-histoire-d-une-vie-tourbilonnante-3093157.html
Avec ses 12 m², elle est l'une des plus petites bibliothèques de France. "C'est un patrimoine en voie d'extinction qui mérite de subsister."
Cette bibliothèque a été créée en 1865 après qu'un notable de la commune a fait un don de livres. •© Romain Burot / France télévisions
Publié le 06/01/2025 à 11h52 À Vouillé, dans les Deux-Sèvres, une fois par mois, le dimanche, la bibliothèque ouvre ses portes. Elle ne fait que 12 m² et c’est l'une des plus petites bibliothèques de France.
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Notre politique de confidentialité Pour les amoureux des livres de Vouillé dans les Deux-Sèvres, c'est un moment très attendu qui n'est programmé qu'une seule fois par mois. La bibliothèque de cette commune de 3 500 habitants au sud-est de Niort n’ouvre que le premier dimanche de chaque mois et la dernière fois, c’était ce dimanche 5 janvier : « L’ouverture a été conçue ainsi, car nous n’avions ni chauffage, ni électricité », explique Rosemarie Thin, présidente de l’association qui gère le lieu.
Une bibliothèque qui a la particularité d’avoir été déclarée « plus petite bibliothèque de France », par la Bibliothèque nationale de France, même s'il en existe une autre de 9 m² en Haute-Vienne. Le bâtiment, construit en 1889 spécialement pour accueillir les livres, ne fait que 12 m² ! « À l’origine, c’est le comte Charles d’Assailly, qui habitait le château de la Salmondière qui a fait don de livres aux personnes du monde rural en 1865 », relate encore Rosemarie Thin.
Le bâtiment a été construit en 1889, spécialement pour accueillir les livres. A l'origine, il n'avait ni chauffage, ni électricité. •© Romain Burot / France télévisions
Les livres de cette époque sont toujours là, mais l’association ne les prête plus. Dans ces 12 m², les trois bénévoles, qui tiennent la permanence à partir de 14 h, proposent 1 850 ouvrages : « Nous achetons 30 à 35 nouveautés chaque année », indique Francine Bravo, la trésorière de l’association. « Nous prenons beaucoup de livres assez simples à lire, car nous avons des lecteurs un peu âgés. »
Un trésor, cependant, pour La Rivière, ce hameau de Vouillé qui accueille la bibliothèque. Marcel est un lecteur assidu, il habite juste en face : « On m’a dit que j’habitais juste en face de la plus petite bibliothèque de France. Cela m’a estomaqué ! Et j’ai eu vite envie de la découvrir. Elle est très sympa et je suis très surpris de voir le nombre de volumes que l’on trouve ici ! »
Cette bibliothèque créée sous le Second Empire a attiré des générations de lecteurs parfois illustres comme Ernest Perochon, instituteur dans le village et prix Goncourt 1920.
La bibliothèque conserve encore les vieux livres donnés par le comte Charles d'Assailly. •© Romain Burot / France télévisions
Rosemarie Thin a plaisir aussi à ressortir les vieux registres. À l’encre noire, de jolis pleins et déliés d’une écriture d’autrefois. C’est celle de sa maman. « Elle a tenu la bibliothèque pendant la Seconde Guerre mondiale jusqu’à ce que nous déménagions de Vouillé dans les années 50 », se souvient-elle.
Cette bibliothèque n’a jamais fermé depuis son ouverture, même pendant les deux conflits mondiaux. Il n’y a eu que le Covid et ses confinements pour interrompre le service quelques semaines.
Il a cinq ans, Rosemarie Thin en a pris les commandes, dans le sillage de sa maman. « J’étais une lectrice depuis mon installation à Vouillé en 1999. J’y suis attachée et j’ai pris le relais avec grand plaisir lorsque la précédente présidente a arrêté. C’est un patrimoine en voie d’extinction qui mérite de subsister. »
Vingt-quatre adhérents
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A Vouillé dans les Deux-Sèvres, se trouve l'une des plus petites bibliothèques de France. Elle fait 12 m². •©François Bombard / Romain Burot / France Télévisions
Aujourd'hui, la bibliothèque populaire de Vouillé (c’est son nom officiel) possède 24 adhérents. C’est peu. Mais elle résiste à la concurrence de sa voisine, la bibliothèque municipale, installée dans le bourg même de la commune.
Voici que 17 h arrive en ce premier dimanche de janvier. La petite bibliothèque populaire de Vouillé vient de refermer ses portes. Rendez-vous dans un mois : le 2 février prochain pour de nouvelles découvertes littéraires.
article fr3 https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/deux-sevres/niort/avec-ses-12-m-elle-est-l-une-des-plus-petites-bibliotheques-de-france-c-est-un-patrimoine-en-voie-d-extinction-qui-merite-de-subsister-3086443.html
TEXTE DE GUY
Tout d’abord, mon rappel ou plutôt, mon appel pour annoncer que la prochaine réunion de Lire au BisTrot aura lieu un jour après Noël, le 26 décembre à partir de 20 h et s’intéressera au SEXE, sous toutes les acceptions du mot et, si j’ose dire, sous toutes ses formes et ses dimensions. J’ai bien peur qu’un grand nombre de nos habitués ne soient absents, aussi, pourquoi, vous qui n’avez jamais rejoint notre groupe ou n’y avez pas participé depuis longtemps, ne pas en profiter pour franchir le pas et vous laisser tenter par la promesse de nos réjouissantes et passionnantes expériences de lecture.
Le sexe, c’est le défi du thème que nous devrons épuiser en cette soirée encore pleine de la sainteté d’un lendemain de Noël sur la lâche proposition de Babeth qui hypocritement, j’en ai peur, sera justement absente ce soir-là. A nous de nous en tirer en nous gardant de tout débordement d’impudeur et d’indignité.
Si le sexe est indispensable à la perpétuation de la vie, l’humain n’a pas tardé à lui découvrir d’autres fonctions plus ludiques corollaires pour en nourrir son univers fantasmatique en inspirant des images ou des contes allant des plus anodins que l’on nommera érotiques jusqu’aux plus explicites que l’on qualifiera de pornographiques.
Tous les écrivains, même les plus prudes dit-on, ont leur « enfer », mais comment qualifier l’œuvre de Donatien Alphonse François Sade. À côté des 120 jours de Gomorrhe ou de la Philosophie dans le boudoir, le Kamasutra fait figure d’aimable bluette destinée à accompagner et guider les exercices de culture physique en duo de premières et premiers communiants.
Mais le sexe, en dehors de l’objet lui-même, jusqu’à il y a quelques années, désignait cette propriété physique qui permettait qu’un individu puisse faire pipi debout ou ne le puisse pas ainsi qu’il le dote d’autres caractéristiques plus ou moins accessoires mais, bien souvent, non moins agréables.
Sous la pression de différents « lobbies » de multiples obédiences, le contenu grammatical du mot genre s’est trouvée dévoyé pour le confondre avec celui du mot sexe ouvrant la porte à la création de féminins barbares les plus malsonnants et ridicules dont le moindre n’est pas le vocable « cheffe».
Mais éloignons nous de ces alternatives un peu grossières ou grivoises. Comme l’a dit je ne sais plus quel écrivain ou écrivaine, peut-être Simonne de Beauvoir, le sexe n’est pas qu’entre les jambes, le sexe est avant tout dans la tête. On prête à la femme la faiblesse, la douceur et l’aménité. Pourtant l’histoire, la littérature se plaisent, à juste titre, à démontrer la fausseté de cette image. Antigone est prête à affronter la mort pour rendre à ses frères les hommages interdits, Folcoche ou Madame Lepic, deux dragons domestiques, sont les maîtresses absolues de leur ménage. Plus étrange encore, c’est Edith qui, en 2018, nous avait fait connaître un livre d'Emmanuelle Favier intitulé énigmatiquement Le courage qu'il faut aux rivières. Bien loin de rivière ! C'est l'histoire d'une de ces femmes albanaises (il n'en existe pratiquement plus) qui choisissent ou plutôt, bien souvent, dont leur famille choisit pour elles de leur faire mener une vie d'homme dans les habits d'un homme, pratiquant des métiers d'homme en ayant renoncé par serment à toute vie amoureuse.
Vous imaginez donc que notre séance de ce lendemain de Noël ne risquera pas d’être terne et nous promet des confrontations animées aussi ne saurai-je trop vous inviter à nous y rejoindre.
L'occasion de s'évader par un polar en irlande ! un cadeau lecture pour noel
photo paysage google + photo couverture livre
Publié le 13/12/2024 à 16:50 par ensemble19syndicat
Transporter vous en IRLANDE avec mon polar ! ou direction l'aéroport cet été !
Michel Souladie-"Editions des bords du Lot"
Bonjour Francis Vous aimez le Lot, alors je vous Invite à lire ou à offrir mon livre "les Chemins de Pierre" aux "Editions des bords du Lot", un roman historique s'appuyant sur des faits réels, qui vous décrit de façon authentique la vie des Lotois au cours de l'année 1944, mais surtout le rôle ingrat des femmes, épouses, mères, veuves, filles . Vous dévorerez ce livre, pris (e) dans le tourbillon d'une aventure passionnante. Vous le trouverez en librairie, sur internet chez l'éditeur, Decitre, Raconte moi la Terre, Amazon etc... Ce livre a été récompensé par le "prix du Roman de Terroir" décerné par l'association Arcuby à partir du vote des lecteurs de la BIG (Bibliothèque Intercommunale de Gourdon) Une idée-cadeau appréciée pour les fêtes. Cordialement PS Je dédicace au marché de Noël du Vigan-en-Quercy Dimanche 08/12/2024.
Transport BB27000, le cheminot aux 100.000 abonnés sur X a fait un livre de ses anecdotes ferroviaires truculentes Article réservé aux abonnés
Publié le 27/11/2024 à 06h05
Wilfried Demaret alias BB 27000 a fait escale en gare de Brive. © Fabrice Combe
Lot. Fête du Livre, vous avez raté Brive, mais il y a Le Vignon-en-Quercy !
50 auteurs, Franck Bouysse en invité d'honneur et plein feux sur les mangas le 24 novembre à la salle des Fêtes.
L’équipe de la Fête du Livre ©Lise Jolly
Dimanche 24 novembre 2024, aux Quatre-Routes-du-Lot, commune de Le-Vignon-en-Quercy, rendez-vous pour la Fête du livre, avec un programme débordant d’animations et de belles signatures ! Ouverture des portes à 10h.
Franck Bouysse, invité d’honneur
Comme chaque année, l’équipe de bénévoles de Festivi’gnona mouillé le maillot pendant des mois pour concocter un programme aux petits oignons. Tout d’abord, l’invité d’honneur sera Franck Bouysse, l’homme aux romans noirs qui viendra présenter son dernier ouvrage « Âpre monde ». À ses côtés : 10 auteurs de romans, 2 auteurs de polars, 4 essayistes et autant de poètes ainsi que 3 auteurs de livres d’art ou sur l’art.
Pour les jeunes
Pour les plus jeunes, mais pas seulement, on trouvera aussi 9 auteurs de livres pour la jeunesse et les adolescents ainsi que six auteurs de bandes dessinées. Les mangas seront aussi en vedette avec la participation de la librairie spécialisée en mangas de Saint-Céré.
Des tables rondes et des conférences pour chacun
Comme chaque année, Radio Vicomtéanimera des tables rondes et des conférences dont les thèmes seront extrêmement variés. Sur le plan historique, il sera question du patrimoine bâti lotois, des demeures du Moyen Âge ou encore de l’histoire millénaire de la vicomté de Turenne. Mais on ira aussi du côté de la Russie avec l’histoire de la femme de l’Empire à la Fédération de Russie, ou encore du roman à la BD. Ces tables rondes seront ponctuées par le spectacle poétique de Sandrine Mage « Dans la douceur de la nuit ».
Le salon ouvrira ses portes à 10 h et sera ouvert jusqu’à 18 h. Inauguration prévue à 11 h 30. L’an dernier, 800 personnes s’y étaient rendues et avaient quasiment acheté un livre chacun.
article actu.fr https://actu.fr/occitanie/le-vignon-en-quercy_46232/lot-fete-du-livre-vous-avez-rate-brive-mais-il-y-a-le-vignon-en-quercy_61881234.html
Musique L'accordéoniste Sylvie Pullès se raconte dans une autobiographie
Publié le 20/11/2024 à 11h51
Sylvie Pullès évoque ces moments et ces gens qui l’ont marquée. © Agence SAINT FLOUR 00:00
Pour la première fois, à l’occasion de ses quarante ans de carrière, l’accordéoniste Sylvie Pullès revient sur son parcours dans une autobiographie.
«C’est l’année des anniversaires ! » sourit Sylvie Pullès. Qui, en 2024, aura participé aux 140 ans du viaduc de Garabit, aux 20 ans du viaduc de Millau, et qui va bientôt s’envoler pour l’Argentine, afin de participer aux célébrations des 140 ans de la création de la ville de Pigüé par des Aveyronnais.
Mais c’est aussi l’année d’un anniversaire qui n’appartient qu’à elle : ses 40 ans de carrière. 40 ans depuis que la jeune accordéoniste animait son premier bal, avec son père. « Il s’en est passé des choses depuis ! » sourit celle qui a glané le surnom de reine d’Auvergne. « J’ai joué à l’Olympia, à l’Alhambra, pour le Tour de France, j’ai fait de nombreuses tournées, je suis allée au Canada, en Argentine… »
Rencontres
Ce livre retrace tous ses moments forts, mais aussi ces rencontres qui ont jalonné son parcours, et qu’elle regarde aujourd’hui avec émotion. « Cela m’a ému de me replonger dans tout cela, car beaucoup de personnes qui ont compté pour moi ne sont plus là, André Verchuren, Pascal Sevran, Yvette Horner… »
On les retrouve tous, et bien d’autres encore, dans un livre qui fait la part belle aux photos car, sourit Sylvie Pullès, « je ne suis pas écrivaine ! Et je voulais que ce soit un beau livre. » Qui n’est pour autant pas avare en anecdotes, sur ses plus grands concerts comme sur le jumelage Carlat-Bruni, où l’inauguration du viaduc de Millau avec le président Chirac.
Le Cantal en bandoulière : l'accordéoniste Sylvie Pullès sort deux hymnes à l'Auvergne
Un documentaire à venir
Mais qu’on ne se trompe pas : cette autobiographie n’est pas un testament. L’artiste, qui a sorti cette année son 24e album, regarde aussi vers l’avant. À commencer par la sortie d’un documentaire, prévue pour décembre dans les salles de cinéma. Où on la verra parcourir ses deux départements de cœur, le Cantal et l’Aveyron, à la découverte des lieux et des gens qui lui sont chers, de Montboudif à Estaing où elle rencontre Louis Giscard d’Estaing pour évoquer les 50 ans de l’élection de son père à la présidence. Encore et toujours les anniversaires…
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Sylvie Pullès, le destin d’une reine en sabots. Écrit avec la collaboration de René Bécouze, préface de Pierre Bonte. Editions de l’Aulne. 128 pages. 25 €. Possibilité de le commander dédicacé auprès de Sylvie Pullès au 06.87.57.42.18 ou par mail à sylvie.pulles@orange.fr
ARTICLE LA MONTAGNE https://www.lamontagne.fr/pierrefort-15230/loisirs/l-accordeoniste-sylvie-pulles-se-raconte-dans-une-autobiographie_14594230/
Portrait "Je ne suis plus le personnage principal de mon histoire" : confidences de Baptiste Beaulieu, l'écrivain au cœur immense Article réservé aux abonnés
Publié le 18/11/2024 à 18h00
Par ses romans, essai et poésies Baptiste Beaulieu milite pour « une société un peu plus apaisée et un peu plus aimante » © Stéphanie Para Écrivain, père et médecin, Baptiste Beaulieu, lutte contre l’homophobie, le sexisme, le racisme… Son arme fatale : les mots. Rencontre avec cet hypersensible hyperactif.
Il se lève, enfile un imperméable kaki (très tendance). Baptiste Beaulieu a besoin d’air. "Mais ça va…". Il sourit. "Les gens font la queue pour me dire qu’ils m’aiment. Je ne vais pas me plaindre." Il signe ses ouvrages à tour de bras sur la Foire du livre de Brive, dimanche 10 novembre. Dans la file d’attente, principalement des femmes venues voir de plus près "le médecin qu’[elles] rêveraient d’avoir", "l’ami qui doit savoir très bien écouter" ou encore "le défenseur de ceux dont on parle, mais dont on parle mal".
article https://www.lamontagne.fr/brive-la-gaillarde-19100/actualites/je-ne-suis-plus-le-personnage-principal-de-mon-histoire-confidences-de-baptiste-beaulieu-l-ecrivain-au-cur-immense_14597399/