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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
31.01.2025
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Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui a obtenu de nouvelles promesses de matériel militaire ainsi qu’un soutien diplomatique des pays du G7 lors de son déplacement ce week-end à Hiroshima, au Japon, avait demandé à converser directement avec son homologue brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, dit Lula, très réticent à condamner l’invasion russe.
Mais les deux dirigeants n’y sont pas parvenus à cause de leurs agendas respectifs trop chargés, ont-ils justifié. Un rendez-vous manqué qui, selon M. Zelensky, a probablement laissé le président brésilien « déçu ». « Je n’étais pas déçu », lui a répondu Lula, lundi lors d’une conférence de presse, avant de quitter le Japon. « J’étais contrarié, car j’aimerais le rencontrer et discuter du sujet, a-t-il poursuivi. Mais M. Zelensky est une grande personne. Il sait ce qu’il fait. »
Lula a précisé qu’une rencontre avec M. Zelensky aurait dû avoir lieu dimanche après-midi, au dernier jour du G7. Mais le président ukrainien est arrivé en retard et son agenda, trop chargé, les a empêchés de programmer un nouveau rendez-vous, a-t-il expliqué.
Lula a toutefois déclaré qu’il ne voyait pas l’intérêt de rencontrer M. Zelensky dans l’immédiat, estimant que ni lui ni Vladimir Poutine ne souhaitaient la paix. « Pour l’instant, ils sont tous deux convaincus qu’ils vont remporter la guerre », a-t-il justifié.
A l’inverse de plusieurs puissances occidentales, le Brésil n’a jamais imposé de sanctions financières à la Russie ni accepté de fournir des munitions à Kiev et tente de se positionner, tout comme la Chine et l’Indonésie, en tant que médiateur. Lula avait suscité une vive controverse en affirmant le mois dernier à Pékin que les Etats-Unis devaient cesser « d’encourager la guerre » en Ukraine et que l’Union européenne devait « commencer à parler de paix ».
Des propos durement critiqués par Washington, qui avait accusé le Brésil de se « faire l’écho de la propagande russe et chinoise sans prendre en compte les faits ». Lula a changé de ton par la suite, condamnant l’invasion russe, avant de renouveler ses critiques, lundi. Selon lui, le président américain, Joe Biden, envoie le message suivant : « Poutine doit se rendre et payer pour ce qu’il a complètement détruit. » « Ce message n’aide en rien, » a-t-il ajouté.
L’armée ukrainienne affirme mener des contre-attaques dans la ville dévastée de Bakhmout, dont Kiev dément la capture revendiquée par Moscou.
Le chef du groupe paramilitaire russe Wagner, Evgueni Prigojine, dont les hommes sont en première ligne dans les combats, puis le ministère de la défense russe avaient assuré samedi avoir « totalement libéré » Bakhmout, ville minière de l’est de l’Ukraine et épicentre de la bataille la plus longue et la plus meurtrière de la guerre débutée en février 2022. Mais le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui se trouvait lui au Japon pour le sommet du G7, a assuré dimanche que la ville « n’est pas occupée » par les troupes russes, après une série de déclarations ambiguës sur la situation sur place.
« Il n’y a rien dans cet endroit (…) juste des ruines et beaucoup de Russes morts », a-t-il lancé, en semblant suggérer que Bakhmout ne serait qu’une victoire à la Pyrrhus pour les Russes. Le président a, par ailleurs, fait un parallèle entre les images des destructions causées par les combats à Bakhmout et celles du bombardement atomique d’Hiroshima par les Etats-Unis, en 1945, qui avait fait environ 140 000 morts. « Je peux dire franchement que les photos d’Hiroshima détruite me rappellent Bakhmout. Il n’y a absolument plus rien de vivant, tous les bâtiments sont détruits (…) une destruction absolue et totale. »
Le commandant des forces terrestres ukrainiennes, Oleksandr Syrsky, a fait savoir que ses troupes ne contrôlaient plus qu’une partie « insignifiante » de Bakhmout, tout en « continuant à avancer » sur les flancs au nord et au sud de la ville.
Selon la vice-ministre de la défense ukrainienne, Hanna Maliar, les forces de Kiev ont « encerclé partiellement » Bakhmout grâce à leur percée récente sur ces flancs tenus par des troupes régulières russes, ce qui rend selon elle « très difficile » la présence russe dans la ville. Elle a une nouvelle fois affirmé que les défenseurs ukrainiens à Bakhmout même contrôlent toujours « certaines installations industrielles et infrastructures ».
Un porte-parole de l’armée ukrainienne sur le front est, Serhi Tcherevaty, a fait savoir dimanche soir que ses troupes menaient des contre-attaques dans Bakhmout et dans les environs. Les forces russes « tentent de prendre le contrôle de toute la ville. Nos unités tiennent la défense de plusieurs bâtiments et d’un certain nombre de fortifications dans la partie sud-ouest[de Bakhmout] » , a-t-il déclaré à la télévision nationale.
Des affrontements violents ont eu lieu dans d’autres villes et villages de l’est, notamment Marïnka et Avdiïvka dans la région de Donetsk, selon un communiqué de l’état-major ukrainien, qui précise que les Russes ont effectué quatre frappes de missiles et 45 frappes aériennes dimanche. « Bakhmout et Marïnka restent l’épicentre des hostilités », dit le communiqué. « La bataille pour la ville de Bakhmout se poursuit. »