Thèmes

coup course sur vie amour article femme maison annonce amour

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· CULTURE (65)
· L'ACTUALITE (62)
· JARDIN (80)
· LA LECTURE (114)
· HUMEUR,HUMOUR ! (47)
· LES SCIENCES (85)
· RELIGION (64)
· HISTOIRE DE LA FAMILLE (47)
· PRIER (70)
· POESIE (62)

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· MILLARDAIRES
· SAINT JOSEPH ,PERE.PAR LE PAPE.
· lES EMIRATS ARABE UNIS
· FORUM DE DAVOS
· LA VAGUE VERTE

· LA TURQUIE
· ALLOCATIONS FAMILIALES
· ELECTIONS AMERICAINES
· ELECTIONS
· AVEC MACRON ?
· LES PARASITES
· MARITAIN
· 1200MILLARDS DE DOLLAR SUR LES INFRASTRUCTURES
· LAFILIERE
· LE CORAIL

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "papilacabane" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour : 31.01.2025
10705 articles


KAMALAHARRISENFORCE

Publié le 22/07/2024 à 19:19 par papilacabane Tags : course sur vie amour article femme maison annonce

Kamala Harris en position de force dans le camp démocrate Malgré les doutes initiaux sur sa candidature, la vice-présidente, soutenue par Joe Biden, a reçu le ralliement de plusieurs rivaux potentiels dans la course à l’investiture démocrate, soucieux de ne pas créer de division dans un parti à bout de nerfs. Habile, elle a refusé de considérer sa désignation comme acquise, assurant vouloir la « mériter ». La vice-présidente des Etats-Unis, Kamala Harris, à Portage (Michigan), le 17 juillet 2024. La vice-présidente des Etats-Unis, Kamala Harris, à Portage (Michigan), le 17 juillet 2024. JEFF KOWALSKY / AFP

Si tout se passe comme elle l’espère, les cent sept jours les plus importants de la vie de Kamala Harris commencent. La vice-présidente de Joe Biden, longtemps dans son ombre, peinant à imprimer sa marque et à trouver sa voie originale, se voit offrir une chance historique : celle de devenir la première femme élue à la Maison Blanche. En se retirant et en lui apportant son soutien personnel, dimanche 21 juillet, Joe Biden veut rendre inéluctable le passage de témoin.

Tout autre candidat s’avançant pour la défier avant la convention démocrate de Chicago (Illinois), qui débutera le 19 août, donnerait vie à un pluralisme interne. Mais il multiplierait les handicaps. Le premier serait de risquer une aggravation des dissensions, au sein d’un parti à bout de nerfs. La démocratie pratiquée au-dessus du vide, à moins de quatre mois de l’élection présidentielle, serait un spectacle télévisé captivant, mais un risque politique excessif pour de nombreux cadres.

Face à l’urgence, il n’était guère surprenant de voir affluer les marques de soutien à Kamala Harris, y compris dans les rangs de ses rivaux potentiels, comme le gouverneur de Pennsylvanie, Josh Shapiro, ou celui de Californie, Gavin Newsom. En revanche, les gouverneurs Gretchen Whitmer (Michigan) et J. B. Pritzker (Illinois), également perçus comme présidentiables, ne se sont pas rangés derrière elle, pour l’instant.

D’abord un vote contre Trump

Qualifiant le retrait du président d’« acte désintéressé et patriotique », Kamala Harris a rendu un hommage vibrant à Joe Biden, à la fois pour leur bilan en partage, depuis près de quatre ans, et pour son caractère : « Son honnêteté et son intégrité. Son grand cœur et sa dévotion à sa foi et à sa famille. Et son amour de notre pays et du peuple américain. » Si elle s’est déclarée « honorée »du soutien du président, elle a habilement refusé de considérer une investiture comme acquise, déclarant qu’elle comptait la « mériter et gagner », pour unir sa formation et le pays entier.

Ancienne procureure générale de Californie et sénatrice, d’origine indienne et jamaïcaine, Kamala Harris s’était présentée aux primaires démocrates en 2019. L’expérience tourna court, suscitant des doutes sur sa capacité à mener une campagne disciplinée. Elle sait aussi que la candidature d’un vice-président n’a rien d’automatique. En 2015, Joe Biden, après huit ans auprès de Barack Obama, avait renoncé à se présenter aux primaires, car l’appareil du Parti démocrate s’était rangé derrière Hillary Clinton.